Hauts-de-chausses

dans le théâtre permet de déterminer une époque, d'indiquer le temps de l'intrigue. En effet, selon la manière dont sont accoutrés les personnages, on peut deviner à quel siècle se déroule la trame. On s'imagine donc dans le texte A, avec les « hauts de chausse » et les « perruques » que l'on se situe au 17 ème, aux temps de Louis XVI, ou il était banale de porter des perruques. Egalement, dans te texte C, avec les « cravates », on sait que l'on est dans un monde moderne . Le costume au théâtre est

le spectateur sur le contexte historique le lieu ou se déroule l’histoire. En effet, selon la manière dont sont vêtues les personnages, on peut deviner à quel époque se déroule la pièce. On s'imagine donc que dans l’Avare de Molière avec les « hauts de chausse » et les « perruques » , que l'on se situe au 17 ème siècle , aux temps de Louis XVI, En outre il nous renseigne sur le personnage lui meme . Le costume est la première impression que nous nous faisons st du personnage , il nous aide à l’identifier

.............................................................................3 3.1 Les sous-vetements...............................................................................3 3.2 Les hauts…...........................................................................................3 3.3 Les bas……………………………………………………..................3 3.4 Les manteaux…………………………………………........................3 3

pouvons indiquer qu’un costume de théâtre permet d’identifier deux choses principales durant une pièce de théatre. Premièrement, il permet de dater l’époque du déroulement de la scène. Dans le texte 1, « leurs perruques d’étoupes » et « leurs hauts-de-chausses » nous indique très vite que la pièce se déroule dans les alentours du 17ème siècle, et non du 21ème. Le second texte, quant à lui, ne nous permet pas de dater précisément la pièce. En effet « sa chaussure », « son chapeau » sont des expressions

masculin : Les principales variantes jouent sur la longueur des chausses, c’est-à-dire de la culotte (le pantalon, couvrant toute la jambe, est méprisé par les gens riches qui l’abandonnent aux gens du peuple, qualifiés plus tard de “ sans-culottes ” au moment de la Révolution de 1789). Les jambes des gens “ de qualité ” sont couvertes de bas, montant plus ou moins haut selon la longueur des chausses. Sous Louis XIII, les chausses descendent sous les genoux et on ne voit plus les jambes cachées

Lorsque Louis XIV monte sur le trône, le secteur du textile, se porte bien : Louis XIII, son père, à la suite d'Henri IV et de François Ier, a considérablement développé les manufactures de tissus. Lyon, carrefour des étoffes italiennes, bénéficie de la protection royale. A Nîmes et à Montpellier, on fait commerce florissant de velours, de satin. Les négociants, merciers, drapiers, amassent des fortunes. Mais avec le Roi-Soleil, véritable passionné de style, le secteur de la mode va s'enrichir dans

brodés à l’avant, à cols hauts. Une ceinture y était souvent ajoutée. Les manteaux courts ont remplacés les longues tuniques. En-dessous, ils avaient des culottes, des chausses et des vêtements blancs. Les manches étaient fendues pour apercevoir le vêtement blanc. Elles étaient étroites et boutonnées sur les avant-bras. Les hauts de manche étaient rembourrés. Et ils portaient des sortes de jupes à plis. Les habits étant devenus plus courts, il fallait prévoir des chausses plus longues qui étaient

pas trop mal » il fait même un litote avec « pas trop mal » pour dire que cela est même bien. Après il ajoute « mais quoi, ils ne portent point de hauts-de-chausses ! » il utilise l'ironie en disant cela car on devine qu'il cite les européens qui s'exclament et s'indignent (point d'exclamation) du fait que les amérindiens ne portent pas de hauts-de-chausses ce qui est inconventionnel. Mais avec cette phrase Montaigne montre que cela n'a pas réellement d'importance.En conclusion, le regard étranger peut

. -- Les voilà. HARPAGON . -- Les autres. LA FLECHE . -- Les autres ? HARPAGON . -- Oui. LA FLECHE . -- Les voilà. HARPAGON , désignant les chausses. -- N'as-tu rien mis ici dedans ? LA FLECHE . -- Voyez vous-même. HARPAGON , tâtant le bas de ses chausses. -- Ces grands hauts-de-chausses sont propres à devenir les receleurs des choses qu'on dérobe, et je voudrais qu'on en eût fait pendre quelqu'un. LA FLECHE , [à part.] -- Ah ! qu'un homme comme cela

je voie. Montre-moi tes mains. LA FLECHE : Les voilà. HARPAGON : Les autres. LA FLECHE : Les autres ? HARPAGON : Oui. LA FLECHE : Les voilà. HARPAGON (désignant les chausses) : N'as-tu rien mis ici dedans ? LA FLECHE : Voyez vous-même. HARPAGON (tâtant le bas de ses chausses) : Ces grands hauts-de-chausses sont propres à devenir les receleurs des choses qu'on dérobe, et je voudrais qu'on en eût fait pendre quelqu'un. LA FLECHE (à part.) : Ah ! qu'un homme comme cela mériterait bien