Hauts-de-chausses

dévalorisant des européens II) Par les indiens, étonnement naïf de l'organisation sociale de la France, de la hiérarchie, réflexion sur le pouvoir « quelle est la source du pouvoir ? », remise en cause, et par Montaigne « ils ne portent point de hauts de chausse » Quand les indiens répondent aux questions de Montaigne, attaque de l'Europe indirecte, organisation du texte : « indiens sur l'Europe, puis sur eux-mêmes », le narrateur attend que le lecteur fasse une comparaison avec l'Europe Montaigne

à montrer qu'ils ne se laissent pas impressionner, ils veut montrer la lucidité de ceux-ci. Pour finir, Montaigne termine cet extrait par une phrase complètement ironique : « Tout cela ne va pas trop mal : mais quoi, ils ne portent point de hauts de chausses ! ». A travers cette phrase il feint d'être en accord avec la société française qui pense qu'on ne peut écouter les hommes qui ne sont pas habillés de façon noble, alors qu'au contraire, il pense que l'accoutrement ne fait pas l'intelligence

hommes que de jeunes blondins ? et peut-on s'attacher à ces animaux-là ? HARPAGON. — C'est ce que je dis tous les jours, avec leur ton de poule laitée et leurs trois petits brins de barbe relevés en barbe de chat, leurs perruques d'étoupe4, leurs hauts-de-chausses5 tout tombants et leurs estomacs débraillés. FROSINE. — Eh ! cela est bien bâti auprès d'une personne comme vous ! Voilà un homme cela ! Il y a là de quoi satisfaire à la vue, et c'est ainsi qu'il faut être fait et vêtu pour donner de l'amour

comme le plus grand danseur de son époque, il fut l’étoile des Ballets russes et marqua de son interprétation les créations de Schéhérazade, du Spectre de la rose, de Petrouchka et de L'Après -midi d'un faune. Nijinski se refuse à porter les hauts-de-chausses réglementaires. C'est ainsi que dans L’Oiseau de feu, en 1911 et malgré une brillante interprétation avec sa partenaire, Tamara Karsavina, il est mis à la porte, son justaucorps court et son maillot moulant considérés comme indécents. B/ Igor

TPE : COMMENT LA MARQUE CONVERSE™ S’EST-ELLE DÉVELOPPÉE ET DIVERSIFIÉE POUR DEVENIR PHÉNOMÈNE DE MODE MONDIAL ? Introduction : Depuis 100 ans, la marque Converse est présente dans nos esprits. Malgré des hauts et des bas, ce symbole de multiculturalisme a toujours réussi à revenir sur le devant de la scène. Nous allons donc voir comment la marque des chaussures de sport Converse s’est développée et diversifiée pour devenir un phénomène de mode mondial, en étudiant dans un premier temps l’évolution

que de jeunes blondins ? et peut-on s'attacher à ces animaux-là ?
HARPAGON. — C'est ce que je dis tous les jours, avec leur ton de poule laitée et leurs trois petits brins de barbe relevés en barbe de chat, leurs perruques d'étoupe(4), leurs hauts-de-chausses(5) tout tombants et leurs estomacs débraillés.
FROSINE. — Eh ! cela est bien bâti auprès d'une personne comme vous ! Voilà un homme cela ! Il y a là de quoi satisfaire à la vue, et c'est ainsi qu'il faut être fait et vêtu pour donner de l'amour

« fraise » (p15), « vos vêtements de draps »(p29), ceci faisant référence aux tenues de Mr de sainte colombe. Il y aussi « un petit collet à ruché de dentelle »(p28), « perruques à grappes »(p29), « pourpoint » et « collier de bufle » (p56), « hauts de chausses »(p101)… Tous ces accoutrements ayant bien existé à une époque, on les a tous déjà vu sur des portraits du 17e siècle avec Louis 14 par exemple. Et pour conclure sur les faits rationnels du texte, on peut aussi analyser le lexique employé dans

pourpoint d'avec un haut de chausse. Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien ; 25/ Leurs ménages étaient tout leur docte entretien, Et leurs livres un dé, du fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les femmes d'à présent sont bien loin de ces mœurs : Elles veulent écrire, et devenir auteurs. 30/ Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde : Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir

au ridicule. Dans cet extrait, Harpagon critique l’apparence des jeunes gens de son époque soit disant débraillés : (l.10) «  ton de poule laitée et leurs trois petits brins de barbe relevés en barbe de chat, leurs perruques d’étoupes, leurs hauts-de-chausses tout tombants et leurs estomacs débraillés. » et il n’est lui-même pas sensible à son propre ridicule. Le ridicule d’Harpagon est ici compris à travers l’ironie de Frosine : (l.17) «  Voilà un corps taillé, libre et dégagé comme il faut, et qui

aux cannibales leurs pensées : L 5-6-7 La vision des cannibales dénonce les inégalités sociales de certaines catégories : L 13 14 15 . A la dernière phrase le narrateur raille les préjugés vestimentaire L 25 : « ils ne portent point de hauts-de-chausses « : ce sont donc des sauvages. II. Le portrait des cannibales. Ils sont courageux, ils ont du bon sens, ils savent argumenter … Les cannibales critique ce qu’ils voient. Chez eux la supériorité est physique, leur chef prend des risques