Hayek Crise 1929

Reagan le faisait bien ; ne connaissait pas Washington : grand succès quand il dénonce les abus de la bureaucratie fédérale. Clinton le fait plus finement. * Confiance dans les solutions économiques et dans l’ordre économique lui-même : la crise actuelle entame peu cette confiance, pensent que c’est une perversion de l’ordre mais que l’ordre est bon. Vient de la puissance du dollar, considéré comme un instrument essentiel du progrès : « ce qui est bon pour Général Motors est bon pour l’Amérique »

• vertus collectives ‚. Son analyse qui tend „ faire de la consommation une action tout aussi utile que l'€pargne annonce les th†ses futures de John Maynard Keynes. Par d'autres aspects, elle pr€figure le lib€ralisme €conomique et, selon Friedrich Hayek, l'ordre spontan€[3] . Les philosophes des Lumi„res d€veloppent aussi des analyses €conomiques. Montesquieu est salu€ par Keynes pour avoir compris le premier le rˆle des taux d€int€rƒt comme instrument de la cr€ation mon€taire dans De l€esprit des

DUESENBERRY |   |   |   |   | EDGEWORTH | ENGEL |   |   |   | FISHER Irving | FITOUSSI Jean-Paul | FOGEL Robert | FOURASTIÉ Jean | FRIEDMAN Milton | FRIEDMAN (David) | | | |   | GALBRAITH | GIFFEN | | |   | HAAVELMO | HARROD | HAYEK (von) | HECKSCHER | HICKS | HIRSCHMAN |   |   |   | KAHN | JEVONS | |   |   |   | KALDOR | KEYNES | KLEIN | KUZNETS |   | LAFFER | LAFFEMAS | LÉNINE | LEWIS | LIST | LUCAS |   |   |   |   | MALINVAUD | MARKOVITZ | MALTHUS

libéralisation du commerce international sont mises à mal par la grande crise de 1873 qui se poursuit jusqu’au milieu des années 1890. La Première guerre mondiale puis l’entre-deux-guerres sont marqués par une relative stagnation du commerce international. Cette tendance à la fermeture des économies sur leur espace national ou colonial, particulièrement visible dans le cas de l’économie française, est encore renforcée par la crise de 1929. Cette fermeture des économies nationales qui se traduit par une

du libéralisme, il est à la fois en progression et en crise. Ses progrès sont évidents sur le plan économique, le système économique français est libéral, depuis les années 1860 ont été signés les premiers traités de libre-échange. Ces progrès se voient aussi sur le plan institutionnel, la IIIème République met en place un régime libéral, les autres grandes puissances mondiales connaissent une évolution similaire. Mais de l'autre côté une crise surtout idéologique de libéralisme survient, la révolution

mécanisme selon lequel la population augmente plus vite que les subsistances. Selon lui, la population augmente selon une progression géométrique alors que les denrées alimentaires augmentent selon une progression arithmétique. Ceci aboutit à une crise démographique. Malthus proposait des moyens naturels de limiter la croissance démographique (limiter des naissances et retarder les mariages, abstinence). Il est fondamentalement pessimiste. SECTION 1 : Les Néoclassiques. La théorie néoclassique

n'ont rien de définitif n'y d’exclusif on peut se construire un avantage comparatif. L'économie n'est pas quelque chose de figé, c'est un organisme vivant qui évolue dans le temps. Cette théorie du libre-échange est toujours d'actualité, en temps de crise il y a toujours des replis sur soi (protectionnisme...). III- Malthus : Le pessimisme de Malthus est plus fort que celui de Ricardo, il est connu car il a donné son nom à la politique malthusienne. Il est très lié avec les auteurs de son époque

a. Les fondements théoriques du développement durable 70 b. Du Sommet de Rio à nos jours 71 c. Le développement durable en France 72 XI. Les crises économiques 73 a. Une définition de la crise économique 73 b. Interdépendance et crise économique 75 c. Les explications des crises économiques 77 d. Les politiques anticrises 80 XII. Le commerce intérieur 82 a. L'activité de vente et d'achat 82 b. Commerce et distribution

théorie marginaliste 23 D) L’école de Lausanne 24 1. L’équilibre général walrasien 24 2. L’Etat et le marché 24 1-3 Synthèse des théories de la crise selon les différentes écoles 25 1. L'école classique 25 2. Les néoclassiques 25 3. L'analyse de Marx 25 4. Les théories keynésiennes 26 A) Les apports fondamentaux 26 B) L'analyse keynésienne de la crise 27 Conclusions 28 Bibliographie 29 Index des idées économiques 30 Annexes 32 1. Le circuit néoclassique 32 2. Le circuit keynésien 33

partir des années 1970, notamment suite à l’apparition de la stagflation. De façon relativement inédite, on voit coexister très faible croissance économique, et donc une quasi-stagnation, et inflation. La crise des années 1970 sera mutatis mutandis aux politiques keynésiennes ce qu’a été la crise de 1929 à la loi des débouchés : la mise en évidence apparente de l’échec d’un modèle. Parallèlement à ces évolutions, la théorie économique évolue et se transforme. Le paradigme keynésien perd de sa vigueur