Hayek Et La Crise

la première moitié du XXème siècle (1920-1945), la théorie de l'équilibre général de Walras fait l'objet d'un débat entre deux courants de pensée. Les « socialistes de marché » (Taylor, Lange) Les « économistes autrichiens » (libéraux) (Robbins, Hayek) L'objet du débat : les socialistes s'appuient sur la théorie de l'équilibre général pour démontrer la viabilité d'une économie socialiste ; les libéraux récusent ce lien en TEG et socialisme A)L'origine du débat 1917 : Révolution russe 1925 :

subvention ou un impôt pouvait influer sur le degré de satisfaction des consommateurs. À l'encontre de son élève John Maynard Keynes qui pensait que l'intervention massive de l'État était importante pour relancer l'activité économique en temps de crise, Marshall, ardent défenseur du « laisser faire, laisser passer », pensait que l'intervention de l'État n'était bénéfique que pour encourager les productions rentables mais était contre-productive pour les activités en perte de vitesse qui ne devaient

institution étrangère au monde du travail au point que le patronat juge le régime des Assurances sociales excessif. Ses publicistes désigneront les lois créant les Assurances sociales comme une législation « folle ». Critiques qui redoubleront durant la crise et verront Laval ne pas hésiter à diminuer le taux des cotisations afin de rétablir la trésorerie des entreprises. Notons également que les médecins, généralement hostiles aux Assurances sociales, rejettent les tarifs de responsabilité. Leur opposition

On est en position complètement différente par rapport au factory system où on a des textiles bas de gamme. Ici, en plus de la qualité du produit, il faut ajouter la qualité de service. Ce service va être considéré par les économistes (Schumpeter, Hayek) comme le moteur de la croissance économique. Schumpeter dit que le modèle de Watt/Boulton et de l’entrepreneur innovateur assure la dynamique de la croissance économique. En effet, selon lui, ce sont de petites structures d’entreprises qui apparaissent

régaliennes. Théorie des avantages absolus dans le commerce international. • • • ACTUALITE Division Internationale du Travail (D.I.T.) (cf. infra.) Fin 19e s. - 20e s. : Taylorisme & Fordisme ; de nouvelles organisations du travail apparaissent depuis la crise des années 70 mais le taylorisme demeure largement présent dans nos sociétés. (cf. "O.S. du tertiaire" : vendeurs de pizzas, "équipiers" chez Mac Do', etc.) Libéralisme triomphant dans le monde entier (cf. infra.) 2 . Cf. fiche sur Marx. . Id. 4

gouvernement, il découle de la théorie de la main invisible et c’est l’un des principes directeurs du capitalisme et d’une économie de marché libre. Comme l’a souligné l’économiste et philosophe Hayek, le meilleur moyen pour une économie de se relancer était de laisser faire, même après une récession telle que la crise de 1929. Mais ce n’est pas tout, dû aux deux problématiques soulevées dans le premier point de la deuxième partie, la dite incohérence du discours de Smith, il existe une multitude d’interprétation

ou encore les monétaristes (Milton Friedman). L’école néoclassique fut la principale école de pensée jusqu’à la crise de 1929 (bien qu’elle redevient dominante après la stagflation des années 1970) et l’avènement du keynésianisme que nous allons étudier dans une troisième et dernière partie. Les critiques apportés par Keynes et Marx Le krach boursier de 1929 ainsi que la crise qui s’en suivit a mis en évidence les limites des théories économiques néoclassiques ; le capitalisme libéral mis

Wagner ( extens° croissante de l'activité publique= hausse des dépenses pub par rapport au PIB sous l'effet de l'industrialisation ) Des 2 guerres MONDIALES et des CRISES (crises des années 30)=> Obligat° de l'Etat à intervenir; PEACOCK et WISEMAN => Crise et War = A° des dépenses Pub par bond successif =>Après les dépenses diminuent MAIS reste supérieures à avant Politiques KEYNESIENNES (1950-60) ===> Années 70-80: TOURNANT LIBERAL=> perte de pouvoir du à 2 facteurs : Mondialisation de l'économie

de sa personnalité, il perd le sens du travail : c'est l'aliénation. • • ACTUALITE Division Internationale du Travail (D.I.T.) (cf. infra.) Fin 19e s. - 20e s. : Taylorisme & Fordisme ; de nouvelles organisations du travail apparaissent depuis la crise des années 70 mais le taylorisme demeure largement présent dans nos sociétés. (cf. "O.S. du tertiaire" : vendeurs de pizzas, "équipiers" chez Mac Do', etc.) Libéralisme triomphant dans le monde entier (cf. infra.) • • • • POSITION DE L'AUTEUR

l'élite du pouvoir. Pour Tocqueville, on pouvait se passer de ces convulsions révolutionnaires et d'une manière générale des coups de force car il croit en un développement inexorable de l'Histoire vers la démocratie. On retrouvera le cas semblable chez Hayek : l'autorégulation de la société par le marché rend superflu voire dangereux les politiques autoritaires. En France les rois se sont montrés les plus actifs et constants des niveleurs ». Autres causes qui annoncent l'avènement de l'aristocratie : la