Hda Caricature

aiguisa son sens de l'observation et grava dans sa mémoire une multitude de caractères qu'il libérera dans ses œuvres ultérieures. Lors des mouvements populaires de 1830, son talent pour la satire éclata au grand jour. Il ne cessera dès lors de caricaturer les travers de la société et des hommes, ce qui lui vaudra simultanément la prison et la célébrité en 1832, à la suite d'une représentation irrévérencieuse du roi Louis-Philippe. Libéré, il n'en poursuivra que plus vivement ses attaques satiriques

courtisans que les campagnes laborieuses de ses capitaines. Caricature du roi Soleil. Doc2 : Faire rire et faire mal voila le but de la caricature. C’est une arme, puissante et ancienne car elle est née au 16e s. Elle s’attaque à tout et fait peur aux pouvoirs. Cri révolutionnaire. Les premières caricatures sont celle des rois et princes. Ex : Pape en gorgone, Luther en moine paillard ou affublé d’une tete de loup. La caricature est agressive par nature, elle déforme les visages « animalise »

« un petit enfant ridé, barbu » (p. 65), « que c’est beau une robe moche » (p. 92)… A ses stéréotypes quasiment proverbiaux : « beaux restes » (p. 34) « l’Etat, c’est moi. » (p. 69), « Après lui, le déluge » (p. 115) Comique d’exagération : caricature, accumulation (les dégâts que subit le royaume, les exploits du jeune Roi où les mots semblent s’emballer, s’auto-générer) Comique de répétition : double présentation de Juliette au début, annonces du Garde qui répètent les propos des autres

le ridicule du professeur, mais elle prend également une dimension inquiétante, et on pourra voir comment ionesco fait du langage dramatique un mélange entre comédie et tragédie. I- Un personnage ridicule 1) Un personnage autoritaire 2) Une caricature vivante 3) Un personnage dénué de sens Transition : Les différents ressorts du comique sont déployés pour souligner le caractère ridicule du personnage du professeur qui exerce sa domination par l'utilisation d'un langage dénué de sens. La scène

sur le fait qu'un état d'esprit enjoué, non névrosé est nécessaire à la bonne « mise en place » de ce rire. Pour ce qui est de déclencher le rire, on peut relever diverses méthodes qui ont fait leurs preuves: comique, absurde, ridicule, insolite, caricature, grotesque, non-sens, hors-propos, ironie et parfois cynisme. Citons pour ce dernier, un exemple de Pierre Desproges, qui rongé par son cancer, et voyant sa fin approcher n'hésitait plus à déclarer « plus cancéreux que moi, tu meurs ». L'humour

issue du chapitre « De l'homme », où Jean de La Bruyère dénonce l’égoïsme des hommes à travers la satire de Gnathon, personnage aussi grotesque qu'égocentrique . Nous nous demanderons par ailleurs comment Jean de la Bruyère dresse la caricature de cet homme afin de blâmer un certain vice et transmettre une certaine morale a son lecteur. Dans un premier temps nous analyserons la manière dont Gnathon est mis en valeur dans ce portrait, puis nous étudierons le ton moralisateur de

flambeaux revèlent bien sa noblesse ainsi que les mousquetaires (armes à feu) et "Quatre et cinq de mes gens" Dans le mm temps,il met en valeur la bourgeoisie de Dimanche: il l'appelle bien monsieur dimanche (pas noble) Il insiste sur la famille: caricature de la famille bourgeoise(enfants,chiens..) DJ gène dimanche avec la différence du milieu social. b) La surenchère de l'accueil DJ joue en double jeu: il flatte Dimanche en l'humiliant.Il critique ses laquais d'avoir fait attendre mr dimanche

reprennent, amplifient, utilisent des idées déjà en place dont la naissance ne leur doit rien. L'humoriste s'amuse de l'air du temps, le caricature parfois mais ne le crée pas. D'ailleurs, à supposer qu'il ait des idées neuves, il n'influence guère les gens. La plupart du temps le public rit et retransmet, avant tout, ce qui va dans le sens de ses opinions. Les caricatures sociales ou politiques par exemple amusent souvent les gens en fonction des idées qui les ont conduits à tel spectacle et pas à tel

la caricature met en scène de nombreux personnages plus ou moins exagérés tels que l’Arlequin ou le Polichinelle. Même si la commedia est l’art de l’improvisation, preuve que les acteurs jouent quasiment comme dans la vie courante, la mise en scène reste néanmoins extrêmement caricaturale avec des façons grossières de se déplacer ou de s’exprimer. De plus, dans ces pièces, tous les acteurs portent un masque, symbole de la commedia et qui éloigne les personnages de la réalité. . La caricature est

| | |Faire sourire ou rire, amuser, souvent dans un but |- les effets de contraste et de décalage. | | |critique (caricature). |- le comique de geste (gifle, chute, etc.), de situation (quiproquo, écart entre attitude| |Comique | |et statut social, renversement, répétition