Hector Guimard

du présent et precise ce qu'il va arriver :  « leur envoyé arrive. » De plus, ils ne s'aiment plus l'un l'autre : l.24 « Pâris ne tient plus à Hélène. Hélène ne tient plus à Pâris » répétition + chiasme, situation fixée, sans issue de secours → Hector dont on entend l'approche, il revient d'une guerre : l.11-12 « il arrive ! Tu entends assez ces trompettes... » c.Une situation encore très équilibrée (infos recueillies par le spectateur) équilibre montrée par la jeune servante → le chœur populaire

court instant). De plus, le dieu Zeus pourra être symboliser par des bruits de foudres grondant. Le passage suivant sélectionné représente la mort de Hector, le héros de Troie (mettant encore en évidence la chute d'Illion). La scène sera joué par un court affrontement entre un comédien représenant Hector, et un autre représentant Achille. Hector tombe, mort, et la lumière les éclairant s'éteind. Le troisième passage symbolisera le massacre de Troie par les Grecs. Pour ce faire, lorsque l'une

le lui avait dit plusieurs années auparavant. 2) EXTRAIT 1 : Extrait du chant III de Iliade. C'est un texte grecque de l'Antiquité écrit par Homère entre 850 et 750 avant J.-C. Les Troyens s'apprêtent à se battre contre les Grecques. Hector parle à Pâris, qui se réfugie derrière ses compagnons car il a peur de Ménélas : « Malheureux Pâris! sois donc fier de ta beauté,maintenant,guerrier efféminé, lâche séducteur! Plût au ciel que tu ne fusses jamais né, ou que tu fusses mort sans

cour de Pyrrhus. Un enjeu politique nait de cette révélation. En effet, les grecs réunis en conférence (v.60-61) désignent à l'unanimité Oreste en tant qu'ambassadeur envoyé auprès de Pyrrhus pour réclamer la tête d'Astyannax par vengeance contre Hector (v. 92-93) et n'offrir aucune descendance royale aux troyens. Alliées hier pendant la guerre de Troie, la Grèce et l'Epire connaissent aujourd'hui des relations tendues et sont prêts à devenir des ennemies si Pyrrhus ne leur livre pas ce fils maudit

Suite d’Oreste. La scène est à Buthrot, ville d’Épire, dans une salle du palais de Pyrrhus. L'argument de la pièce se résume en une phrase: Oreste aime Hermione, mais elle aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime encore le souvenir de son mari, Hector, tué pendant la guerre de Troie et elle aime son fils Astyanax. Acte I Scène 1: Séparés par une tempête, le roi d’Argos, Oreste, et son ami, Pylade, se retrouvent à Buthrote, capitale de l'Épire, à la cour de Pyrrhus, «le fils d'Achille et le vainqueur

mois, il m’a juré que cette guerre était la dernière ». Acte I, scène 2 : Andromaque, Cassandre, Hector. Scène très brève, seulement cinq répliques. Là encore, l’absurde s’installe, avec un quiproquo : Hector (à Cassandre) : « Tu as quelques choses à me dire ? Andromaque : Ne l’écoute pas !... Quelque catastrophe ! Hector : parle ! Cassandre : ta femme porte un enfant. » Acte I, scène 3 : Andromaque, Hector, puis Cassandre. Les deux époux, seuls, parlent de la guerre, qui est personnifiée. Elle est vue

plus joué et admiré, et ses oeuvres complètes paraissent dès 1687. Andromaque L'argument de la pièce se résume en une phrase : Oreste aime Hermione, mais elle aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime encore le souvenir de son mari, Hector, tué pendant la guerre de Troie. Au lendemain de la guerre de Troie, Oreste, fils d’Agamemnon, est envoyé par les Grecs à la cour du Roi d’Epire, Pyrrhus. Il est chargé de réclamer deux prisonniers : Andromaque et son fils Astyanax, le seul descendant

mari décédé, Hector ou la mort de son fils, Astyanax. Ce choix est considéré comme tragique qui est le principal registre de l’œuvre. Effectivement, Andromaque nous situe dans le contexte de son dilemme en faisant des références à un événement du passé bien défini « à cette nuit cruelle » (v.5), « une nuit éternelle » (v.6), ici, elle fait référence à la nuit où Troie a été envahie puis, brûlée « Entrant à la lueur de nos palais brûlants » (v.8) et où Hector « Dois−je oublier Hector privé de funérailles

s’éternisera et, lors de la dixième année du conflit, une querelle avec Agamemnon le pousse à quitter le combat : c'est la « colère d'Achille » chantée par L'Iliade. Par la suite, la mort de son ami et amant Patrocle le poussera à se venger en affrontant Hector, le leader du camp Troyen. Malheureusement, Achille trouve la mort peu après l'avoir tué, atteint à la cheville par une flèche de Pâris guidée par le dieu Apollon. J'ai choisi Achille come heros car il fait preuve de bravoure et de courage. Il est

première fois au château du Louvre le 17 novembre 1667. Elle comporte 1648 alexandrins. L'argument de la pièce se résume en une phrase : Oreste aime Hermione, mais elle aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime encore le souvenir de son mari, Hector, tué pendant la guerre de Troie. Racine s'inspire de chants de L'Iliade d'Homère, notamment pour la figure d'Andromaque. Son histoire avait déjà été traitée par Euripide dans ses pièces Andromaque et Les Troyennes, cette dernière ayant été adaptée