Hédonisme

condition afin de travailler à un but qui se situerait après la vie. La religion servirait alors de régulateur social de l’existence. En plus de cela la religion permet à l’homme d’échapper à une vie matérialiste et de ne pas tomber dans un hédonisme ou l’homme n’aurait pas de but. Grace à la religion l’homme n’a pas à vivre dans une société ou la finalité serait la recherche permanente du plaisir, à n’importe quel prix. Elle lui est indispensable car sans elle l’homme vivrait dans une société

suite » loin des promesses du lendemain. Ce mode de vie suppose donc un hédonisme effréné, quitte à foncer dans le mur, comme règle de vie la plus satisfaisante. Cela pose aussi la question de l’être humain face au trépas, puisqu’ici le sujet accepte l’idée de la mort au tournant et celle de la valeur de la vie. Nous argumenterons les différents arguments présents dans cette assertion. I) Vivre à 100 à l’heure :Un Hédonisme effréné comme norme de vie ? L’assertion est une forme extrême de carpe

et nuisibles sur le moyen/long terme. Les vrai hédonistes selon Socrate est celui qui calcule les plaisirs et les peines ce qui le conduirait a être tempérant. Il est donc nécessaire d’avoir un hédonisme philosophique qui fait intervenir la raison. Il y a un échec de Socrate à montrer qu’il y a un hédonisme qui montre que le bonheur fait intervenir la tempérance et la prévoyance. Le cas des tyrans ou Socrate montre qu’une fois arrivé au pouvoir, les tyrans se heurtent contraintes objectives et ne

consommation de masse". La logique de la quantité domine, grâce à l’instauration d’une distribution de masse (grandes surfaces en libre service, discount). Le confort, le quotidien, les pratiques sexuelles, tout semble "en révolution". Individualisme et hédonisme sont les maîtres mots. Cycle 3 : 1980 jusqu’à nos jours. Le système est moins hiérarchisé, plus dérégulé, hyper-segmenté, hyper-individualisé. Le consommateur devient turbo-consommateur, zappeur, mobile, imprévisible. Lipovetsky parle de consommation

max de plaisir (YOLO) => Hedonisme : doctrine philosophique qui place le plaisir comme but de la vie. => Satisfaction des désirs quelles que soient les conséquences de mes actes et leur valeur morale. Limites : => la souffrance liée aux conséquences de mes actes peut-être plus grande que le plaisir obtenu. => La frustration sera toujours présente = bonheur partiel, incomplet => Le plaisir est certes une émotion vive mais passagère => Bonheur ephémère => Hédonisme : Le plaisir est gagné

nous pouvons nous demander si Epicure prétend nous proposer un hédonisme : la philosophie du plaisir est-elle vraiment réaliste ? Car si on lit le texte dans ses nuances, il s’agit finalement de se contenter de manger du pain quand on a faim et de boire de l’eau quand on a soif … N’est-ce pas décevant ? Sa philosophie ne s’apparente-t-elle pas plus un ascétisme qu’à un hédonisme ? (ascétisme = renoncement à tout plaisir sensible), (hédonisme = philosophie qui pose le plaisir comme règle de vie). Cependant

rétribution l’art d’argumenter dans les affaires publiques et privées ; peuvent défendre publiquement la thèse et l’antithèse) et les philosophes (amoureux de la sagesse, cherchent la vérité). Le personnage de Calliclès y défend un « hédonisme débridé ». (Hédonisme : doctrine faisant du plaisir le souverain bien ; aime les plaisirs des sens de façon immodérée). Selon ce personnage, il faut « vivre dans la jouissance, éprouver toutes les formes de désirs et les assouvir », « pour bien vivre il faut

qui veut qu’une providence divine agisse sur le sort des hommes Conclusion : L’homme ne subit plus les évènements, il est acteur de l’histoire, artisan de son destin individuel et collectif V L’aspiration au bonheur 1/ Hédonisme L’homme a droit au bonheur Hédonisme : fait de la recherche du bonheur le but de l’existence humaine Après l’idéal chrétien d’austérité Madame du Chatelet : Discours su le bonheur, (1779) Citation : « Nous n’avons rien à faire dans ce monde qu’à nous procurer

l’école et donc en EP. Définition du plaisir On peut partir des motifs d’agir selon Durand, 1987 : - hédonisme - motif d’affiliation - motif d’accomplissement (progresser, se sentir compétent) • Le plaisir est jouissance facile, immédiate, gratuite et insouciante. Dans ce sens, le plaisir est aux antipodes de toutes idées de contraintes et d’efforts. (Delignières et Garceau, 2004) o hédonisme • Si le plaisir peut se trouver dans une activité ponctuelle, la joie ne s’éprouvera que dans un apprentissage

L’épicurisme est un hédonisme (recherche du plaisir), mais aussi un eudémonisme (recherche du bonheur, distinct du simple plaisir). On appelle eudémonisme une morale qui fait du bonheur le « souverain bien », cad la fin ultime (on cherche tous à être heureux) et la fin parfaite de l’existence (le bonheur n’est jamais un moyen pour une autre fin : on cherche à être heureux pour être heureux. A l’inverse, on gagne de l’argent pour autre chose que l’argent). C’est un hédonisme mais aussi un éloge de