Hegel Désir Conscience Et Liberté

correction dissert conscience et liberté Sujet : la conscience est-elle ce qui me rend libre ? Introduction DEF : La conscience est la faculté de s’éloigner, de s’abstraire, de prendre du recul par rapport à ce qui est. Ce qui est, peut désigner aussi bien le monde que soi-même. Ainsi la conscience est la faculté qui nous permet à la fois de nous séparer du monde et de nous-mêmes pour pouvoir réfléchir. La liberté, elle, suppose qu’on dispose d’une conscience ou mieux d’une raison – être en

Conscience, inconscient I. La conscience psychologique: un outil de connaissance de soi et du monde, vecu sur le mode de dedoublement. a. une presence a soi meme: le connaissance de mes etats interieure par l'introspection b. une representation de monde filtre par notre subjectivite II. La construction de soi a. par rapport a autrui par rapport au monde exterieure III. Descarte et l'emmergence du sujet transcendant conscient de lui meme. IV. Les illusion de la conscience.

culture invite chacun de ses membres à y participer : c’est en se sens qu’on parle de « se cultiver » soit chercher à s’exercer à être soi-même. Si être cultivé c’est participer activement à une culture cela signifie qu’être cultivé c’est exercer sa liberté. Chaque culture ne propose pourtant qu’une vision du monde, un projet d’humanisation qui lui est propre. Etre cultivé c’est aussi comprendre et participer à cet ordre symbolique en inventant de nouvelles règles ou bien en composant avec celles déjà

accoucher), la vraie connaissance ne peut venir que de l’intérieur de chacun. L’ironie de Socrate, l’analogie du taon. En 399, il fut accusé d’introduire de nouveau dieu et de corrompre la jeunesse. Il aurait pu demander grâce mais il plaçait sa conscience et la vérité plus haut que sa propre vie. Condamnation à mort et poison. Point commun entre Jésus et Socrate : pas de trace(s) écrite(s), l’art du dialogue, ils provoquaient l’ordre établi en critiquant l’injustice et l’abus de pouvoir sous toutes

cache cette sacralisation du travail ? Le philosophe affirme d’un ton ferme que le travail pénible et incessant tient l’individu prisonnier et l’aliène. Il dit aussi que ce travail occupent tellement l’homme qu’il n’a pas le temps pour réfléchir, désirer et être libre ; c’est-à-dire qu’il conditionne l’individu et l’oblige à penser collectivement. Il rétorque également que le travail pénible épuise la force nerveuse. Nietzsche s’attachera tout d’abord à désigner ce qu’on entend par la « glorification

premier temps, on ne choisit pas d’être celui que l’on est. C’est donc inconsciemment que nous changeons et que nous forgeons nôtre être. Il n’y a rien de plus difficile que de percevoir ce que nous devenons inconsciemment car cela échappe à nôtre conscience. Freud disait notamment : « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison ». L’homme ne possède pas tous les pouvoirs, il ne peut contrôler, par exemple, ce qu’il est à travers le génétique ou encore l’hérédité. La nature humaine est tout d’abord

LE DESIR Le désir est de nature ambiguë. Tour à tour, il est manque (Platon, Sartre), ou production (Hegel). Il est à la fois un creux au cœur de l’homme et une création authentique. Si le désir est un manque perpétuel car il n’est jamais totalement satisfait, il est aussi le mouvement par lequel on peut accroître les perfections de son être. Il convient également de distinguer le désir du besoin , manque fondamentalement matériel, alors que le désir peut être de nature spirituelle. Ainsi

L’Idée et illusion au second degré.  L’art, chez Platon, vient donc au 3° rang des réalités. Il est cet illusionniste qui nous égare (l’art, pas Platon, quoique ?), synonyme de mensonge et d’illusion.  C’est pourquoi, dans La République, Platon désire évacuer de l’éducation des gardiens les chants plaintifs qui détendent les cordes du courage et bannir, purement et simplement, les poètes de sa « cité idéale », afin de ne pas amollir l’âme de ces jeunes gens. Pour Platon, l’art est un véritable

faux, et était parfois ridiculisé… ⇒ Fût condamné à mort (par poison) à cause de son activité philosophique, accusé d’introduire de nouveaux dieux, et de corrompre la jeunesse. Affirmant agir pour le bien social, il ne voulu pas demander grâce : sa conscience et la vérité au dessus de sa vie… « Il fit descendre la philosophie du ciel, la laissa vivre dans les villes, entrer dans les maisons en contraignant les hommes à réfléchir à la vie, aux mœurs, au bien et au mal » (citation de Cicéron, philosophe

On définit souvent la liberté comme l'absence de contraintes, la liberté de faire ce que l'on veut, à condition d'être un homme libre. La liberté est alors l'absence d'obstacles. Or, autrui peut lui-même être présenté comme une certaine forme d'obstacle, puisque il m'empêche, indirectement, de faire tout ce que je veux. Il semble alors légitime de s'interroger sur la véritable valeur d'autrui quant à sa relation avec la liberté. Limite t il ma liberté, ou au contraire est il une condition nécessaire