Hegel Et La Double Existence

soi-mm. - Acte spécifique de l’humanité = la pensée, recul entre soi et soi-mm, nous dégage de tte immédiateté, impossible prégnance du corps, interdit l’inconscience, distingue hme/nature - Double existence de l’hme : matérielle, phénoménale (facticité, déterminisme physique) Nouménale : pour soi (Hegel)= réflexivité, être doté d’esprit, capacité d’introduire entre lui et tte autre chose la pensée (Pascal) ➢ Analyse du pouvoir de dire JE (Kant) - représentation de l’hme à lui-mm (dématérialisation

Contre l'asservissement de l'art. II- L'art satisfait un besoin de l'esprit (Hegel). III- L'art obéit à une "finalité sans fin" (Kant). "L'artiste est l'ouvrier qui n'introduit dans la matière que l'organisation d'une jouissance désintéressée". Kant. INTRODUCTION. Dans l'introduction de l'Esthétique, Hegel écrit que "l'oeuvre d'art poursuit une fin particulière qui lui est immanente". Si l'on suit Hegel, l'art serait donc une activité libre, indifférente à toute préoccupation utilitaire

famille, la religion -> principe et centre par lequel la pensée s’organise. Ce qui est libre est d’abord la cité et on est libre par son statut social (/= de esclave). 2)La conscience de soi comme sujet : notion de créature. Si on rapporte son existence propre non plus à une certaine immanence du groupe, ce n’est pas pour autant que la notion de sujet va apparaitre. Mais vient la notion de transcendance, qu’elle relève d’un sujet absolu (dieu) , ou d’une forme intelligibles (Platon et ses idées

du TOUT, son opposé ? Comme avec les couleurs où le blanc est la réunion de toutes les couleurs et le noir l’absence de toute couleur. Le néant : C’est le contraire de l’existence. le Néant est un état d'inexistence, encore dit la non-existence, c'est-à-dire le non-être. Le néant est le caractère de ce qui n'existe pas où tout sujet vient du néant, trouve sa place à un instant donné. Il le quitte lorsqu'il est, puis retourne au néant. Nous sommes tous des fils et filles du temps et

se presenteraient t elles pas comme des tuteurs voulant peut etre nous transmettre de » » bonnes chooses « en leur transmettant leurs propores pensees quaquels nous n avions pas penser auparvant? Rien de grand ne s est fait sans passion ditrait hegel , ici il nouslaisse clairemnt comprendre que les prjugés sont vitaux ! BCROIRE RAISONNER il semblerait que les hommes ont inculqué cette notion et nous sommes tous a sa conquete , du moins c ce que l on croit , on « croit » tous raisonner quand

vie et par conséquent qu'il nous rend heureux, puis nous étudierons le point de vue contraire c'est-à-dire que le désir ne nous apporte que souffrance, et enfin dans une dernière partie nous envisagerons que désirer quelque chose ou quelqu'un est à double tranchant, et qu'il faut donc hiérarchiser ses désirs. Ière partie: Le désir l'essence de la vie Dans cette 1ère partie nous verrons que le désir est le moteur même de la vie de chacun. Cependant il va d'abord falloir définir ce qu'est le désir

l'ampleur et la richesse de son langage. - Hegel a posé de manière nette cette naissance de la pensée dans le langage : « On croit ordinairement, il est vrai, que ce qu'il y a de plus haut c'est l'ineffable… Mais c'est là une opinion superficielle sans fondement; car en réalité l'ineffable c'est la pensée obscure, la pensée à l'état de fermentation, et qui ne devient claire que lorsqu'elle trouve le mot. Ainsi, le mot donne à la pensée son existence la plus haute et la plus vraie. Sans doute on

« l’homme est seulement, non seulement tel qu’il se conçoit, mais tel qu’il se veut ». En obéissant aux devoirs ou obligations, l’individu acquiert une double libération : d’une part il n’obéit pas aux injonctions des pulsions et autres désirs inconscients et affirme ainsi sa liberté morale ; mais aussi il se préserve de l’action liberticide d’autrui. Cf. HEGEL « il se libère de la dépendance qui résulte des instincts naturelles aussi bien que de l’oppression où il se trouve comme subjectivité particulière »

statique, identique à lui-même ? (Hegel s’opposerait donc à toute la tradition philosophique de Platon jusqu’à lui ?) Comment peut-on concevoir la raison comme ayant une histoire ? Ces deux difficultés se résument en une question : comment concevoir la raison dans l’histoire ? Rappel, KANT : La moralité est formelle, elle s’impose à notre Esprit et non dans nos actes. La réalité empirique de la vie humaine en fait souvent un être barbare, voire un démon. Pour Hegel Kant n’a pas tout à fait tort

apprendre » est l'activité d'une vie qui consiste à toujours remettre en question l'ordre établit, à s'interroger sur le sens d'être de nos pensées et de nos comportements, « la philosophie naît de notre étonnement au sujet du monde et de notre existence, qui s'impose à notre intellect comme une énigme dont la solution ne cesse dès lors de préoccuper l'humanité. » écrit Schopenhauer dans Le Monde comme volonté et comme représentation. Elle dénonce aussi les illusions et préjugés, la philosophie est