Hegel Propédeutique Philosophique Vengeance Et Punition

Philo DM HEGEL L’extrait étudié est issu du Propédeutique philosophique d’Hegel, philosophe allemand, où est interrogé la différence entre la vengeance et la punition. Il tente de répondre à la question suivante : La vengeance est-elle plus juste que la punition ? L’auteur défend l’idée selon laquelle la punition est plus juste que la vengeance puisque la vengeance résulte de la subjectivité de la victime, le jugement étant troublé

texte suivant : La suppression du crime est sous sa forme primitive vengeance. Selon son contenu, la vengeance est juste, dans la mesure où elle est la loi du talion. Mais, selon sa forme, elle est l’action d’une volonté subjective, qui […] n’est juste que d’une manière contingente, de même que, pour autrui, elle n’est qu’une volonté particulière. Du fait même qu’elle est l’action positive d’une volonté particulière, la vengeance devient une nouvelle violation du droit : par cette contradiction, elle

meilleur moyen de réamorcer la spirale de la vengeance que le droit entend briser ?En tant qu'acte de droit, la justice s'oppose rigoureusement à la logique purement passionnelle de la vengeance.  Texte à utiliser: "La vengeance se distingue de la punition en ce que l'une est une réparation obtenue par un acte de la partie lésée, tandis que l'autre est l'oeuvre d'un juge. Il faut donc que la réparation soit effectuée à titre de punition, car, dans la vengeance, la passion joue son rôle, et le droit

l'autre, la commodité du souverain; l'autre, la coutume présente, et c'est le plus sûr : rien, suivant la seule raison, n'est juste de soi ; tout branle avec le temps. Pascal, les pensées, (III.Misère) Sujet 11 : La vengeance se distingue de la punition. Hegel, Propédeutique philosophique. Sujet 12 : Faut-il rendre l'injustice pour l'injustice ? (problématique posée avec force dans l'Orestie d'Eschyle) - Voir une analyse de ce sujet ICI Sujet 13 : Si c'est un devoir absolu de n'être jamais injuste,

la vengeance), on finirait par tomber dans un cercle vicieux, et l'homme deviendrait alors un « loup pour l'homme ». Les lois sont donc là pour réparer les injustices qui ont été commises tout en évitant de véritable « guerre de famille ». C'est ce que dis Hegel dans Propédeutique philosophique. Il fait dans son texte une distinction entre vengeance et punition. La vengeance étant la punition passionnelle qui s'effectuerait à chaque injustices commise si la loi n'était pas là, et la punition étant

est juge dans sa propre cause il est très difficile d'être objectif.Celui qui qui a commis un acte injuste aurait tendance à sous estimée son action car son intérêt personnel est en jeu. Texte16: GeorgesbWilheim Friedrich Hegel (1770-1831), propédeutique philosophique, Hegel insiste sur une dimension essentielle qui anime les hommes : la passion. Ce qu’introduit le droit est une sorte de facteur qui dépassionne le débat. La passion jouera un rôle moindre et par conséquent pourra mieux satisfaire

impartial : le juge ou la loi ont plus de chance être partiaux * 2e éléments : la notion de vengeance Une décision de justice ne satisfait jamais les 2 partis car les 2 surestiment leurs intérêts et il serait dangereux de satisfaire les 2. Donc le désir des parties n’est pas la justice mais la vangeance. Le droit est un mode de régulation qui fait sortir rapport social qui exclut la vengeance : car chacun des 2 évaluent de façon passionnel leur intérêt * Fait divers : juins 2010 lynchage

produire institutions et mœurs qui donnent une réalité aux droits de la personne). La disposition éthique produite alors par coutume produit elle-même des actions justes. On passe de la liberté comme devoir être à la liberté comme réalité effective (Hegel) • Sociabilité domestique et coopération sociale A l'affranchissement intellectuel (qui se sépare dans l'âge positif de l'âge théologique et métaphysique) correspond un affranchissement de la société plus rationnellement organisée

épicurien: il était recommandé de méditer sur les modèles de perfection qu'on devait chercher à égaler. Ainsi Epicure résolvait le problème religieux en parfaite cohérence avec les buts et les principes qui justifiaient pour lui toute activité philosophique à savoir le bonheur. b) L'idée de la mort ne doit pas troubler l'âme. La mort n'est point où nous sommes (puisque nous sommes vivants) et nous ne sommes pas là où est la mort (puisque par définition nous ne serons plus). Puisque l'âme est matérielle

ce point de vue l? , ils sont inégaux tout ? la fois quant aux forces du corps et quant aux dispositions de l'esprit, et c'est par la violence et la ruse qu'ils font valoir l'un contre l'autre leur différence. » Hegel (Friedrich-Georg-Wilehelm) 1770-1831 :, Propédeutique philosophique, extrait de principes de la philosophie du droit. On pose la question de savoir si l'homme est par nature moralement bon ou mauvais. Il n'est ni l'un ni l'autre, car l'homme par nature n'est pas du tout un être moral