Hélène Boucher

seule du fait de sa maladie qui est très avancée. Elle ne se rappelle plus comment manger, c'est-à-dire qu’elle a des difficultés à placer correctement sa langue dans sa bouche, et qu’elle oublie parfois de mâcher et de déglutir. De plus, dès qu’elle a déglutit, il faut donc directement lui remettre la cuillère devant la bouche, sinon il faut lui « réapprendre » et donc ça reprend du temps. De ce fait, l’aide alimentaire est assez longue avec cette dame. Une aide soignante est entrée dans la chambre

« Le cri » D’Edvard Munch I) Les personnages . Au premier plan nos voyons un personnage la bouche grande ouverte sur une passerelle, les mains sur les oreilles. Au deuxième plan il y a deux autres personnages, une rivière et un coucher de soleil. . Le personnage principal est chauve, il a le teint blafard, et il porte une sorte de longue robe noire. Son visage fait penser à un mort. On pourrait dire que ce qui oppose le personnage du premier plan à ceux du deuxième, est qu’on ne voit

ROXANE Taisez-vous ! CYRANO Un baiser, mais à tout prendre, qu'est-ce ? Un serment fait d'un peu plus près, une promesse Plus précise, un aveu qui veut se confirmer, Un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer ; C'est un secret qui prend la bouche pour oreille, Un instant d'infini qui fait un bruit d'abeille, Une communionayant un goût de fleur, Une façon d'un peu se respirer le coeur, Et d'un peu se goûter, au bord des lèvres, l'âme ! ROXANE Taisez-vous ! CYRANO Un baiser, c'est si

du continent. Elle laissa échapper des gémissements amusés alors que l’homme jouait, un sourire aux lèvres, avec le plus profond de son être. Fedris renversa la femme et lui offrit son membre érigé de toute sa longueur. Il le fit pénétrer dans sa bouche, tenant ses cheveux d’une main et son sein droit de l’autre. L’homme riait de plaisir alors qu’une femme lui appartenait pour la première fois ; il se dit qu’il ne raterait pas sa chance. Vierge et fragile, la jeune femme ne put que pousser un cri

vers son enfant, et dans la gravité du visage de l’enfant tourné vers son père. À cela s’ajoute le parallélisme des corps, des bras et des jambes. Le regard de l’enfant est aussi curieusement tourné vers ailleurs, défocalisé, presque absent. La bouche entrouverte, soulignée par la rondeur du menton et du cou et prolongée par l’arrondi du bras, désigne la source lumineuse, une bougie à la longue flamme dont la partie la plus ardente est cachée par la main, rendue translucide. C’est cette flamme

baiser : « Un point rose qu’on met sur le i du verbe aimer ; c’est un secret qui prend la bouche pour oreille, un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille ». Pour atténuer l’héroïsme il empreinte ces métaphores a la nature : « bruit d’abeille, gout de fleurs ». Néanmoins il utilise le champ lexical des sensations et n’hésite pas à éveiller ses sens en jouant avec les différentes parties du visage : Lèvre, bouche, oreilles. De plus, si on observe le volume de parole, on constate que Cyrano a de longues

que vous voulez, la vie est bien trop courte, et nous avons si peu de temps à vivre pour dire au gens a quel point on les aime, combien ils sont importants pour nous et combien on regrette de ne pas pouvoir faire mieux. Efforcez vous ouvrez la bouche, montrez les dents faites des grimaces, cela vous détendra mais surtout cela détendra votre cœur, vos pensées, et votre journée s'annoncera sous de meilleurs auspices.

Observation d’une Personne âgée, deuxième cas. Monsieur B est né en 1950. Il est marier mes n’a pas d’enfant, mais il a trois sœurs qui viennent régulièrement lui rendre visite. Antécédents médicaux : Cancer de la peau et de la langue (carcinome épidermoïde). Oropharyngectomie latérale gauche avec curage cervical suite à son cancer. Importante sécheresse buccale De part ses problèmes de santé, il parle difficilement, mais on parvient à le comprendre. Il est autonome pour la toilette

impossible. La désespérance m'envahi, comme l'eau de la mer envahi les roches et les dévastes, les brises en mille morceaux... Mon regard se trouble derrière les larmes qui coulent lentement mais surement sur mes joues rosées par la tristesse, ma bouche rouge, tellement le sang coule rapidement dans mes veines. Tu es la assis. En face de moi. Tes yeux brillent et ton sourire m'ensorcèle. Mais tu me la déjà, tu ne m'aime qu'en simple amie."Restons amis" une phrase, 2 mots, 4 syllabes, 11 lettres qui

rendez-vous Un jeune homme qui me ressemble M'habituer m'habituer Si je ne le puis qu'on m'en blâme Peut-on s'habituer aux flammes Elles vous ont avant tué Ah crevez-moi les yeux de l'âme S'ils s'habituaient aux nuées Pour la première fois ta bouche Pour la première fois ta voix D'une aile à la cime des bois L'arbre frémit jusqu'à la souche C'est toujours la première fois Quand ta robe en passant me touche Prends ce fruit lourd et palpitant Jettes-en la moitié véreuse Tu peux mordre