Héloïse d'Argenteuil

essentiel pour l’homme car s’il n’éprouvait aucun désir, sa vie n’aurait aucun sens. Il n’aurait ni sensations, ni sentiments. Il ne ressentirait aucun plaisir non plus puisqu’il ne pourrait rien accomplir de se qu’il voudrait. Dans Julie ou la Nouvelle Héloïse, Rousseau a écrit : « Malheur à celui qui n’a plus rien à désirer ». Car en réalité, la vraie souffrance est de ne pas ou ne plus désirer. La vie de l’homme sans existence de désirs serait alors monotone, vide, et sans enjeux. Ainsi ne peut-on pas

les Égarements du coeur et de l'esprit ou Mémoires de M. de Meilcour (1736), le Sopha, conte moral (1740), la Nuit et le moment, ou les matines de Cythère (1755). Duclos, Histoire de Madame de Luz (1741). Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse (1761). Loaisel de Tréogate, les Soirées de mélancolie (1777) Denon, Point de lendemain (1777). Louvet, les Amours du chevalier de Faublas (1787-1790). Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie (1788). Choderlos de Laclos, les Liaisons dangereuses

Julie ou la Nouvelle Héloïse est un roman épistolaire de Jean-Jacques Rousseau paru en 1761 chez Marc-Michel Rey à Amsterdam. Maintes fois réédité, il a été l'un des plus grands succès de librairie de la fin du XVIIIe siècle, révélant ainsi la place faite à la sensibilité au temps des Lumières. En dépit du genre romanesque sous lequel se présente La Nouvelle Héloïse, l’œuvre baigne dans une théorie philosophique où Rousseau explore les valeurs morales d’autonomie et d’authenticité pour accorder

les Dangers de la ville de Restif de le Bretonne raconte la déchéance progressive d'une paysanne venue à Paris. Ce nouveau genre permet de mêler intrigue amoureuse et longues dissertations politiques ou morales, comme dans Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau (1761). C-L'anti-roman L’Anglais Laurence Sterne, dans Vie et opinions de Tristram Shandy (1759-1767), joue avec le roman : le fil du récit, interrompu par des digressions constantes, se perd. Diderot, dans Jacques le fataliste(1796)

Mondain de Voltaire écrit en 1736. Dans ce poème, Voltaire compare son époque à celle de ses ancêtres tout en décrivant son époque comme étant un âge de plaisirs et de luxes. Le dernier extrait est la lettre X du roman épistolaire Julie ou la nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau paru en 1761. Dans ce dernier extrait, Saint-Preux montre à son ami que pour vivre heureux il ne faut pas forcement vivre dans le luxe et la richesse. Nous allons voir quels regards les textes du corpus nous amènent-ils à

habitants de Trie-Château contre lui. Aujourd'hui, il ne subsiste que la tour de ce château. Quelques œuvres de Jean-Jacques Rousseau : - Discours sur les sciences et les arts, dissertation philosophique et morale, 1750. - Julie ou La Nouvelle Héloïse, roman épistolaire, 1761. - Le contrat social, essai de philosophie politique, 1762. - Émile ou De l'éducation, traité d'éducation, 1762 - Les Confessions - Les Rêveries du promeneur solitaire, 1776-1778, publication posthume en 1782.

qui s’impose en utilisant la force pour conserver les richesses . Rousseau caricature donc la société comme étant la responsable de tous les malheurs de l’homme. imaginant des solutions pour ces conflits , Rousseau écrit « Julie ou la nouvelle Héloïse » en 1761, c’est un roman épistolaire , romantique qui raconte l’histoire de deux amants qui vivaient une belle histoire d’amour mais qu’ils étaient contraints par une succession d’obstacles. Cet œuvre représente pour Rousseau une de ses rêveries

nous perdrions le goût de vivre si nous n’avions plus rien à désirer. Phrases clefs * « Le désir est l’essence de l’homme », Baruch Spinoza, Ethique, 1677. * « Malheur à qui n’a plus rien à désirer », J-J Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse, 1761. * « L’homme est fondamentalement désir d’être Dieu », Jean Paul Sartre, L’Etre et le Néant, 1943.

Objet d'étude ; Etude de l'argumentation, démontrer,convaincre, persuader. Corpus de textes TexteA : Jean-Jacques Rousseau. ou la NouJelle Julie Héloîse, partie, 5è'" t"*" f .ffi t---J TexteB :JulesVallès.L'Enfant, " Texte : Olivier C P*"ul-MourrËtard.'Tétérahz-fi/2666 ô \tA(r\f$\n k\ù.(L [ryy} de Saint-Preux, hqos de La Nouvelle Héloïse (ramanéoistolaire J.-J- Ruûsseau), s'ad.resse, tiçns cet au cbâexrait, à sqnami fuIilordE;mt*iéiourn, teau deM. ili Wotntaret de sonépouse, a Jalie

hyperboloïde, et on trouve une surenchère du genre. A l’extrême du roman libertin on trouve le roman sentimental, comme le plus emblématique et le plus connu, celui de rousseau, qui fut le premier « best seller » européen : Julie ou la nouvelle Héloïse Le roman de Laclos aura un tel retentissement qu’il épuisera le genre. 3. autres auteurs libertins Crébillon : la nuit et le moment le sofa les égarement du cœur et de l’esprit Diderot : les bijoux