Hémistiche

(gradation décroissante ou décrescendo ou descendante). Figures de répétition : ce sont l'anaphore, l'épiphore, l'anadiplose et l'antépiphore. Anaphore : reprise au début d'un élément (c'est-à-dire une phrase, une proposition, un vers, un hémistiche, un paragraphe, etc.), d'un terme qui se trouve au début de l'élément qui précède : ☼ ---------- , ☼ ----------. Epiphore : reprise à la fin d'un élément, d'un terme qui se trouve à la fin de l'élément qui précède : ---------- ☼ , ----------

l'arrivée, et une certaine façon de se déplacer, dont la détermination est soulignée par l'emploi répété du futur. La situation de ces verbes à l'intérieur du poème ("je partirai" occupe les premiers pieds du vers 2, "j'irai" ponctue le début de chaque hémistiche du vers 3) fait de chacun d'eux une étape importante et décisive de l'itinéraire. Ils ponctuent le texte en soulignant une volonté que rien ne saurait arrêter. C'est précisément cette détermination, et la manière de voyager, qui font apparaître

« tu veux ». On remarque toujours au vers 1 que le nom de son ami/poète est mis entre parenthèse. On peut supposer que si son nom est mis comme tel, c’est qu’il lui parle à lui, mais aussi de manière plus générale aux autres poètes. Le deuxième hémistiche du vers 1, « si pour être savant », débute par la conjonction de subordination « si ». C’est une anaphore du « si » que l’on trouve dans ce sonnet, on le voit au vers 4 « Si tu veux », et au vers 6 « si tu es sage », le mot « savant » étant du même

rythme son ampleur. En sa belle jeunesse, en sa première fleur (v. 2). Dès le second vers, la rose se trouve personnifiée par le mot « jeunesse ». Ainsi se trouve déjà suggérée l'idée qu'à la rose va se substituer la femme. De plus, les deux hémistiches parallèles produisent une impression d'équilibre. L'épanouissement de la rose semble échapper au temps : on constate, en effet, que ce vers ne comporte aucun verbe. C'est ce qu'on appelle une construction nominale : les noms « jeunesse » et « fleur

1ère surprise Symétrie prosodique (2 hémistiches) Symétrie syntaxique (présence sujet-verbe)  met en relief l'opposition - Un équilibre a été rompu par l'apparition de la poule. Évènement souligné par la rupture de temps : Passé Simple = singularité de l'évènement "survint" Imparfait = duratif "vivaient" Paix rompue entre evt masculin "les 2 coqs" et evt féminin "la poule" Rupture d'équilibre souligné par l'absence dans la 2ème hémistiche d'un terme symétrique à "en paix" •

du poète, due à la forte dégénérescence de son corps, et d’autre part, sa très grande lucidité. Il sait qu’il n’a plus rien à espérer, il est résigné. Mais outre ce sentiment de résignation face à la mort, apparaît celui du regret, dans le second hémistiche du sixième alexandrin, comme si, précédemment, il avait cru aux pouvoirs de la médecine. Dans le vers suivant, Ronsard utilise la métaphore du « soleil », qui représente la vie. L’exclamation présente ici exprime tout le chagrin, le mal-être du

la "Parque" (voir fiche références antiques), l'emploi du passé composé (valeur d'achèvement), soulignent le côté inexorable de cette mort, le destin ne peut être changé et il est subi, tout scandaleux qu'il est. Tout est condensé sur le premier hémistiche du vers 11, le second rétablissant une certaine sérénité par l'emploi de l'euphémisme "tu reposes" et l'évocation des cendres qui estompent le côté macabre qu'aurait une allusion plus directe au cadavre (l'emploi de la virgule devant la conjonction

entier, hémistiches égaux · Oxymore “aimable/remords” -> remords simulé d’un plaisir coupable , paradoxal · Comparaison du “mendiant” + diérèse = choquant, paradoxal, -> on nourrit ce qui nous fait du mal · “têtus” et “lâches”, allégories, antonymes mais tous deux péjoratifs -> caractères humains donc fautes humaines Le premier hémistiche (péché) est pardonné

sont appelés « hémistiches ». Ex 1 : « Un Homme vit // une Couleuvre. » (Victor Hugo) Les mots « vit » et « couleuvre » sont accentués. Ex 2 : « D’où vient que personne // en la vie » N’est satisfait // de son état ? (La Fontaine, Fables) 1er vers : la césure intervient après personne parce qu’elle ne peut pas tomber après « que » qui est un mot vide de sens (aucun intérêt de le mettre en relief, de même que les déterminants, prépositions, …). 1er hémistiche : 5 syllabes, 2e hémistiches : 3 syllabes

le fuir serait un moyen de pouvoir aimer Hippolyte en toute liberté et sans contrainte. Au vers «  mais vous m'aimez,Seigneur,et ma gloire alarmée... » dans le premiers hémistiche, elle montre qu'elle sait qu'Hippolyte l'aime et qu'elle veut partir avec celui qu'elle aime et qui l'aime. Mais dans le second hémistiche Aricie déplore aussi l'idée de partir car si elle part avec lui, elle perdra son honneur et elle ne sait si elle doit partir, les points de suspension exprime le fait qu'elle