Hémistiche

parfois sortir// de confuses paroles Tous les alexandrins du poème sont coupés en deux hémistiches par une coupe obligatoire la césure à l’exception du 8 ème vers. Chaque hémistiche se répartit à son tour en deux groupes rythmiques, Régulier, un peu solennel, le tétramètre (4 accents, 4 groupes de 3 syllabes) Qui chantent / les transports / de l’esprit / et des

ensuite que l'héroïne ne supporte plus la réalité, elle ne fait que subir ce que la vie lui inflige. A son entrée sur scène, on peut voir que Phèdre est affaiblie, épuisée, autant physiquement que moralement. Dès les deux premiers vers, les hémistiches « N'allons point plus avant. Demeurons chère Œnone. » et « Je ne me soutiens plus ; ma force m'abandonne. » séparés par une césure révèlent la fatigue qu'elle éprouve. Les césures au milieu des alexandrins des deux premiers vers soulignent l'abattement

d’accompli : action achevée, terminée. La mort a œuvré, il n’y a plus à faire. « je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble » Parallélisme //1er vers, le verbe mis à la rime est « tremble » L’angoisse s’exprime clairement dans le 2e hémistiche qui cumule le nom « peur » et le verbe « tremble ». Elle se manifeste de manière physique, sa cause est aussi le physique. Le corps est au centre de toute chose ici. Plus que / squelette/décharné, dénervé, démusclé, dépulpé/ que le trait

que lecteur. On note que la construction de ce vers lui donne une portée considérable, tout d’abord parce qu’il se termine par un point, c’est à dire qu’il s’agit d’un jugement définitif (comme un aphorisme). On note aussi le rythme dans le 1er hémistiche avec l’exclamation « hélas » qui rompt la régularité du vers et tend à le ralentir. Noter aussi l’allitération en [ l ]. Dans la suite du poème, nous relevons une énumération de tout ce que le poète renie. [Pour comprendre ce passage il faut lire

est écrit en alexandrin modifié, ce qu’on appelle le trimètre romantique (se laisse découper en trois mesures; Vendez l’état! coupez les bois! coupez les bourses!), pour le rendre plus expressif et plein d’émotions. (alterne avec hémistiches). Au lieu de deux hémistiches et quatre accents on révèle la césure qui n’est pas fixe et la quantité des accents est six. Le mètre est soumis à l’intonation exclamative. Le ton révolté du héros lyrique représente son fureur et sa haine envers les autorités et

stable, la mort de « La femme du lion » faisant en fait partie d'un rituel codifié. L'élément perturbateur du schéma narratif se situe au vers 25. On retrouve une proposition indépendante très brève (un hémistiche) comme au premier vers : « Le Cerf ne pleura point. » Au vers 28, le premier hémistiche, introduit par l'adverbe bien significatif « Bref» est une phrase simple qui reprend cet événement charnière. La forme négative répétée vient briser l'ordre établi par le proto­cole déroulé dans les vers

« et « langoureux ». La fluidité musicale de la valse est suggérée par l’allitération des liquides « l/r », « valse mélancolique et langoureux vertige ». En outre, l’harmonie est rendue sensible par la scansion régulière de l’alexandrin en deux hémistiches 6 /6. La coupe centrale du vers, appelée césure, permet de mettre en valeur les mots placés devant ou derrière elle. Cette position est souvent occupée par les verbes qui irradient leur mouvement dans tout le vers : « Chaque fleur s’évapore/ ainsi

répétition d'un mot Hémistiche : coupure au milieu du vers Comique de geste : les mimiques grimaces habits ridicules accessoires extravagants... Comique de mot (jeux de mots): façon de parler outrée Comique de répétition (de gestes,mots) Comique de situation (quiproquo): Comique de caractère : caricature Diérèse : en vi eu se S'enfle s'étend se travaille : allitération en -s Anti thèse : 2 images ou 2 idées qui s'opposent Anaphore : répétition d'un mot Hémistiche : coupure au milieu

On retrouve toujours la même structure : sujet + verbe + complément. C’est régulier, répétitif. « Flambeau » : métaphorique, qui va s’éteindre un jour. - Du général au particulier, v. 1 à 14 -> processus d’anéantissement - 1ère hémistiche vers 1 et 2ème hémistiche vers 14 sont identiques : structure circulaire en boucle qui peut symboliser la fatalité de la mort. - Rimes masculines : syllabes accentués ; rimes embrassées, suivies et croisées -> montre le désordre. Conclusion : Jean de Sponde

par des phénomènes d'assonance en "é" et en "a" et d'allitération en "v". Des rimes à l'hémistiche viennent encore affaiblir la rime essentielle dans le poème classique ( vers 1). le premier hémistiche du vers 1 rime avec les hémistiches des vers 6 et 13. le premier hémistiche du vers 2 rime avec les hémistiches des vers 4 et 7. Une mélopée seconde s'installe. [ Définition de la mélopée : chant ou mélodie monotone. ] Conclusion Ce texte illustre certaines règles romantiques : expression des sentiments