Henri De Montherlant

ce beau cri [de Jacques Copeau], suivi de la création du Vieux-Colombier, le théâtre chez nous, et c’est notre dette inépuisable envers Copeau, a retrouvé peu à peu ses lettres de noblesse, c’est-à-dire un style. Gide, Martin du Gard, Giraudoux, Montherlant, Claudel et tant d’autres lui ont redonné un faste et des ambitions disparus depuis un siècle. En même temps un mouvement d’idées et de réflexion sur le théâtre dont le produit le plus significatif est le beau livre d’Antonin Artaud le Théâtre et

von Heyse, La Fin de Don Juan, 1884. Verlaine, Don Juan pipé (poème), 1884. Edmond Haraucourt, Don Juan de Mañara, 1898. Konstantine Dmitrievitch Balmont, Don Juan, extraits d'un poème non écrit, 1898. Lesja Ukrainka, L'Invité de pierre, 1913. Henri Ghéon, L'Homme de cendres. Edmond Rostand, La dernière nuit de Don Juan (théâtre), 1921. Guillaume Apollinaire, Les Exploits d'un jeune Don Juan. Azorin, Don Juan (roman), José Corti, 1922. Michel de Ghelderode, Don Juan ou les Amants chimériques

de Troie n’aura pas lieu (1935), Electre (1937) * ------------------------------------------------- Jean Anouilh, le voyage sans bagarre (1937), Antigone (1944), L’Alouette (1953) * ------------------------------------------------- Henri de Montherlant, La reine morte (1942), Le Maître de Santiago (1947), Port-Royal (1954) * ------------------------------------------------- Albert Camus, Caligula (1944) * ------------------------------------------------- Jean-Paul Sartre, Les Mouches

Fr pour récupérer le royaume de Naples), les forcent à se sacrifier. Contexte : monarchie absolue en France, règne de François 1er (1494/1547, dynastie des Valois, entre capétiens et bourbons) renforcement de l’autorité royale : absolutisme) (puis Henri 2 et Charles 9). B) Idem chez les animaux Ex Si on se tourne vers les animaux, des insectes sociaux organisés en colonie (juin 2013) comme les abeilles Jadai protègent l’entrée du nid des abeilles voleuses (soldats) + petites que les autres abeilles

c’était lui, parce que c’était moi. » Montaigne – Essais • Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Lamartine • Un seul être vous manque et tout est repeuplé. J. Giraudoux • Tout ce qui n’est pas passion est sur fond d’ennui. Montherlant – Aux fontaines du désir • Plus on aime quelqu’un moins il faut qu’on le flatte. Molière – Le misanthrope • Le plaisir de l’amour est dans le changement. Molière – Dom Juan III. Justice Patrie • Il ne faut point juger les gens

Philipe (Bubu de Montparnasse, Marie Donadieu, le Père Perdrix, 1901-1904), Istrati (Récit d'Adrien, 1925), Hermant (la Carrière, 1894), Tharbaud (la Fête arabe, 1906), Malraux (la Condition humaine, 1933), Aragon (le Paysan de Paris, 1926), Colette, Montherlant, etc. - des romans italiens et espagnols : Borgese (Rubè, 1921), Ibanez (Fleur de mai, 1895), Baroja (Vies sombres), etc. - des romans de langue anglaise : Benett (la Famille Clayhanger, 1916), Crane (Maggie, fille des rues, 1893), Lewis (la Grand'rue)

que de l'être pour soi-même." La Rochefoucauld, Maximes. "La vraie sagesse est de ne pas sembler sage." Eschyle, Prométhée enchaîné. "Laisse-moi mes folies. Une petite flamme de folie, si on savait comme la vie s'en éclaire !"  Henry de Montherlant, Malatesta. "Chose paradoxale : c'est avec les gens intelligents qu'on déconne le mieux." Frédéric Dard. "Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit." La Rochefoucauld, Maximes. "Le coeur du fou est dans sa bouche, mais la bouche

bannir toute cohérence dans les intrigues, et l'identité des personnages. Les nouveaux romanciers veulent faire abstraction du temps au profit d'une « liberté » d'écriture tournant le dos à toute réalité extralinguistique. On peut citer enfin Henri de Montherlant qui écrit qu'« il ne faut pas qu'un écrivain s'intéresse trop à son époque, sous peine de faire des œuvres qui n'intéressent que son époque ». Selon lui, les romanciers qui veulent arrimer leur œuvre à leur époque n'ont pas d'avenir et se condamnent

son œuvre ? L’anthologie s’ouvrira sur le poème de Baudelaire intitulé «l’ennemi » extrait des Fleurs du mal, écrit en 1857, dans son poème, Baudelaire constate les effets du temps sur lui-même. On peut lier ce poème avec une citation d’Henri Montherlant que j’exposerai lorsque je présenterai le poème dans son intégralité. On établira un lien entre l’œuvre et une peinture représentant les 4 saisons, puisque le poème porte plus particulièrement sur celle-ci. On poursuivra par l’Horloge du même auteur

redoutable « une mante religieuse mais elle fascine ». Dans la dernière partie du livre l’auteure évoque la vision qu’ont cinq écrivains de la femme. Henri de Montherlant dont une grande partie de l’œuvre est imprégnée d’un total mépris à l’égard du sexe féminin n’est pas épargné. Il est « exécuté » par l’auteure en trois phases mordantes : « Montherlant n’accepte comme maîtresse que des femmes dont son orgueil peureux n’ait à craindre aucun jugement » ou « il croit qu’il suffit de se divertir des femmes