Henri De Montherlant

mythe d’Œdipe .La reprise du mythe antiquer permet d'exprimer les interrogations profondes de l'homme dans le contexte moderne (guerre, exclusions …) et conduit à une réflexion sur le tragique de la condition humaine La tradition classique. Henri de Montherlant (1895-1972) renoue avec l'esthétique du théâtre classique, tant au niveau de l'intrigue que des personnages : héros en quête d'absolu déchirés par les contradictions, tel ferrante dans La Reine morte (1942) En France les écrivains philosophes

profondes de l’homme dans le contexte moderne (guerres, exclusions, barbaries, perte des valeurs…) et conduit à une réflexion sur le tragique de la condition humaine. A partir de 1945 : tradition et Nouveau théâtre  La tradition classique. Henri de Montherlant (1895-1972) renoue avec l’esthétique du théâtre classique, tant au niveau de l’intrigue que des personnages : héros en quête d’absolu déchirés par les contradictions, tel Ferrante dans La Reine morte (1942).  Le théâtre engagé. En Allemagne

Sartre, théoricien de l’engagement, le romancier Henri de Montherlant semble prôner, au contraire, un certain détachement de l’écrivain vis-à-vis de la société de son temps quand il écrit : « Il ne faut pas qu’un écrivain s’intéresse trop à son époque, sous peine de faire des œuvres qui n’intéressent que son époque. » Il ne s’agit pas de prêcher l’absolue indifférence de l’auteur esthète pour les contingences politiques et sociales puisque Montherlant prend soin de nuancer son propos par l’emploi de

1939-1940. Quitte la France après l’armistice pour les États-Unis où il enseigne à la New School for Social Research de New York. Engagé volontaire dans les Forces françaises libres, affecté à la mission scientifique française aux États-Unis. Fonde avec Henri Focillon, Jacques Maritain, J. Perrin et d’autres l’École libre des hautes études de New York, dont il devient le secrétaire général. Rappelé en France, en 1944, par le ministère des Affaires étrangères, retourne aux États-Unis en 1945 pour y occuper

avec la tradition : Montherlant, Claudel (théâtre poétique), Giraudoux, Anouilh (reprise de sujets anciens, traités de façon moderne. Mise en question de l’illusion théâtrale ≠ vraisemblance, jeux de langage). * Théâtre politique et philosophique. * Théâtre qui rompt complètement avec toutes les traditions. * Théâtre de l’absurde : Samuel Beckett, Comesco Jean Anouilh, 1910/1987 Auteur du milieu du XXe siècle, soit la même génération que Giraudoux, Montherlant : théâtre historique :

pièces sont principalement jouées dans la soirée, à partir de dix-sept heures mais sont également jouées lors d'occasions telles que les fêtes de village ou les foires. A partir de 1945 : tradition et Nouveau théâtre La tradition classique. Henri de Montherlant (1895-1972)renoue avec l’esthétique du théâtre classique, tant au niveau de l’intrigue que des personnages : héros enquéte d’absolu déchirés par les contradictions, tel Ferrante dans La Reine morte (1942). Le théâtre engagé En Allemagne

référence à de nombreuses reprises dans son œuvre, particulièrement dans ses trois premiers romans. En 1954 il est à la Sorbonne, en Lettres Classiques. Il suit également des cours de russe aux Langues Orientales. En 1957, il rencontre Henry de Montherlant, dont il demeure un fidèle et un intime, malgré des brouilles intermittentes, jusqu'au suicide de ce dernier en 1972. Tout au long de sa carrière, Gabriel Matzneff a collaboré à de nombreux organes de presse, de couleurs politiques fort diverses :

est un plateau de jeu --> Mise en abîme de la vie. Artaud suggère que "le théâtre doit chercher à représenter quelques-uns des côtés étranges de la construction de l'inconscient". Lieu d'expérimentations. Ex : Faust, Goethe CONCLUSION : Henri de Montherlant, académicien : "Une pièce de théâtre ne m'intéresse que si l'action, extérieure, réduite à la plus grande simplicité, n'y est qu'un prétexte à l'exploration de l'homme, si l'auteur s'y est donné pour tâche non d'imaginer et de construire mécaniquement

(Joseph)   4/ Le difficile n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, mais quand ils ont tort. Malraux (André)   5/Quelques-uns prennent pour de l'amitié ce qui est de la charité. Montherlant (Henry Millon de) 6/Les feux de l'amour laissent parfois une cendre d'amitié. Régnier (Henri de)   7/Vivre sans amis, c'est mourir sans témoin. George Herbert   8/Avoir beaucoup d'amis, c'est n'avoir pas d'amis. Aristote   9/Il n'y a pas d'amis, il n'y a que des moments d'amitiés

engagé l’œuvre dramatique constitue un moyen efficace de sensibilité le public à sa réflexion morale, philosophique et politique. Il a recourt pour cela aux technique théâtrale conventionnelles. La tradition Armand Salacrou, Jean Anouilh, Henri de Montherlant et Marcel Aymé créent des œuvres de manière classique qui respectent la cohérence, la progression et le souci de vraisemblance de l’action dramatique. Ce théâtre se veut réaliste. Son argumentation claire s’adresse à l’intelligence. Mais sa