Henri Louis Duhamel du Monceau

d’artifice, etc.) afin d’épater le royaume voisin. Le prince utilise le savant et le technicien pour affirmer sa propre puissance. Afin de servir leurs intérêts, ils vont entremêler leur destin à celui des savants et techniciens de l’époque moderne. Louis XIV est le premier roi européen à mettre en œuvre une véritable politique de protection des savants. Cependant, dès le départ, la création de l’Académie des Sciences est articulée à une fonction utilitaire ; elle doit améliorer la navigation astronomique

prussique obtenu par l’action de l’acide sulfurique sur un colorant, le bleu de Prusse. En ce qui concerne les bases, nous savons que Lavoisier utilisait la potasse (ou alcali végétal) et la soude (alcali marin) qui avaient déjà été distingués par Duhamel du Monceau. Ce dernier, avec son collaborateur Jean Grosse, obtiennent la « liqueur de Frobenius » par action de l’huile de vitriol (acide sulfurique) sur l’esprit de vin (alcool éthylique). Jean Grosse met au point la technique de distillation de l’alcool

rencontrer notre première représentation ésotérique. Le fronton central de la façade est décoré d'une « Minerve. entourée des Muses et de la Victoire, couronnant le buste de Louis XIV ». L'æuvre a été sculptée, en 1808 seulement, pâr François Lemot ; et son buste de Napoléon I" a été remplacé à la Restauration par celui de Louis XIV, mais on a ( oublié » d'effacer les emblèmes impériaux qui ornaient le bouclier de Minene. De toute façon, ces menues modifications ne changent en rien t2 ClLlll)E DL:

Olivier Dard, université de Metz. 19h : Un homme politique chrétien dans les années 1960, par Jacques Barrot, ancien vice-président de la Commission européenne, membre du Conseil constitutionnel. Samedi 11 décembre 2010 8h : Messe à l’église Saint-Louis en L’Isle, présidée par Mgr Charrier, évêque de Tulle. 9h à 11h30 : La réconciliation Présidence : Gabriel de Broglie, chancelier de l’Institut 9h : La réconciliation entre la monarchie et la Ve république (De Gaulle et le comte de Paris), par

plusieurs années de jachères (élevage restreint de gros bétail qui fournit l’essentiel de l’engrais). Cependant, ce gros bétail ne permet pas d’améliorer la productivité de la terre : c’est le « cercle vicieux de l’agriculture traditionnelle » selon Duhamel de Monceau. Les récoltes de l’époque moderne restent très dépendantes des aléas météorologiques. Le froid, les pluies trop fortes avant les moissons, la grêle peuvent détruire les récoltes. Cette situation est aggravée par le « petit âge glaciaire »

chevaliers On connaît la chanson… Guillaume au court nez et sa femme Guibourc Raoul de Cambrai a la haine Huon de Bordeaux a tué Charlot Des envoyés très spéciaux : les chroniqueurs Villehardouin : pleins feux sur la IV e croisade Joinville et son Saint Louis Jean Froissart mène l’enquête Du Téméraire à l’Araigne : Commynes Chapitre 2 - Le théâtre : on prie, on rit La religion en scènes Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Sur les places : le Jeu de saint Nicolas (1200) Un grand son

On connaît la chanson… Guillaume au court nez et sa femme Guibourc Raoul de Cambrai a la haine Huon de Bordeaux a tué Charlot Des envoyés très spéciaux : les chroniqueurs Villehardouin : pleins feux sur la IVe croisade Joinville et son Saint Louis Jean Froissart mène l’enquête Du Téméraire à l’Araigne : Commynes Chapitre 2 - Le théâtre : on prie, on rit La religion en scènes Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Sur les places : le Jeu de saint Nicolas (1200) Un grand

historiques de l'agriculture bio. « L'agriculture biolo- gique s'est développée avec des professionnels qui partageaient un certain nombre de valeurs, estimant qu'elle ne pouvait se résumer à la simple définition de la réglementation 24 », rappelle Henri de Pazzis, président de ProNatura. Il est vrai que le souci des grands distributeurs reste avant tout économique, les consommateurs étant de plus en plus nombreux à comparer les prix. Ce qui explique la montée en puissance des marques de distributeur

français Aimer la langue, celle où l'on pense, où l'on ressent, celle où l'on vit, celle qu'on habite et qu'on respire, ne relève pas d'un libre choix. Ceux qui méprisent et haïssent leur idiome maternel sont malheureux. Il arrive qu'ils soient malades. Louis Wolfson, l'auteur new-yorkais d'un livre étonnant qu'avait parrainé Gilles Deleuze, Le Schizo et les langues 1, écrivait en un français malaisé, créatif et fautif. Il faisait tout pour éviter, contourner, liquider sa langue maternelle, l'anglais —

Hors-série n° 3, nov. ... Accéder au texte » jeu 31 jan 2008 Philosophie économique: Adam Smith: du libéralisme économique à l'économisme/par Vincent KABUYA KITABI, Assistant à l'Université de LUBUMBASHI E-mail kabuya.kitabi@unilu.ac.cd Par Abbé Louis Mpala in Revues, Articles ← Nature humaine: Où est l'homme? | Aurore. On reconnaît l'arbre à ses fruits/ par Pr E.Banywesize Université de Lubumbashi → Mais qu’est-ce donc que le libéralisme ? Cette question, apparemment scolaire, recouvre pourtant