Henri Poincaré

terme fut utilisé pour la première fois à la Chambre des députés le 4 août 1914, par le Président de la République, Raymond Poincaré, dans son message aux Assemblées. Cela fut le cas immédiatement car l’ensemble des organisations syndicales et politiques de gauches se rallièrent au gouvernement. Cette unanimité nationale persista, jusqu’à la fin du conflit. Raymond Poincaré fut l'artisan de l'Union sacrée, aux cotés de Georges Clemenceau. Les années 30 vont être marqués par une crise politique

du sentiment national Pour soutenir les français, aussi bien au front qu'à l'arrière, le gouvernement de Poincaré (1854-1912) à pour mot d'ordre de donner confiance à cette France. C'est donc dès 1914 que la Nation s'engage en guerre pour défendre la République et ses valeurs: l'Union Sacrée ou la Réconciliation Nationale est née. Cette expression d'Union Sacrée revient à Raymond Poincaré (1860-1934), président de la République depuis 1913. Le 4 août 1914, la volonté d'union est annoncée par René

aux Français conscience de leur Empire ». L'exposition coloniale de 1931 s'inscrit donc manifestement dans l'œuvre de la propagande colonisatrice engagée par le parti colonial qui était principalement composer à l'époque de Félix Faure, Raymond Poincaré, Paul Deschanel, Gaston Doumergue, Paul Doumer et Albert Lebrun. Elle marque par ailleurs, l'apothéose de la IIIe République, et de l'œuvre dont elle a sans doute étè la plus fière: la colonisation ou la mise sous protectorat d'une bonne partie de

RAYMOND POINCARE Date et lieu de naissance : Raymond Poincaré est né à Bar-le-Duc le 20 août 1860. Milieu social et études : Fils de parents très conservateurs avec un père ingénieur des Ponts-et-Chaussées nancéien, Raymond Poincaré commence ses études dans sa ville natale. Après avoir achevé ses études secondaires au Lycée Louis-le-Grand à Paris, il entreprit des études de droit. Il devint avocat au barreau de Paris en 1880 et obtint en 1883 le titre de docteur en droit. En 1885, il ouvre son

Les années 1920 : une gestion difficile de l’après guerre (1919-1929) [modifier] Une vie politique intérieure dominée par Raymond Poincaré [modifier] La question du positionnement des radicaux [modifier] Les élections de 1919 se traduisent par une large victoire de la droite et d'une partie des radicaux dans le Bloc national. Article détaillé : Élections législatives françaises de 1919. Celles de 1924 sont une victoire moins nette de la gauche : Édouard Herriot forme un gouvernement radical

libre des sciences politiques de la rue Saint-Guillaume, le plus jeune avocat de France. Très intéressé par les questions économiques et financières, il soutient en mars 1928 une thèse sur la « politique de redressement du franc menée par Raymond Poincaré », dans laquelle il salue l'efficacité « brute » de cette politique, mais en critique les conséquences économiques et sociales. Il est initié le 19 mai 1928 à la Respectable Loge Paris et visite la Loge Union et Progrès à Pacy-sur-Eure4. En

Bibliographie de Raymond Poincaré (1860-1934) R .Poincaré est un homme politique de la troisième république, qui fut au pouvoir, à différents postes à partir de 1903. Il commença sa carrière politique en devenant sénateur de la Meuse en 1903 jusqu’en 1913. De Janvier 1912 à Décembre 1913, il devient président du conseil, succédant à J. Caillaux. Il décida de garder pour lui le domaine des affaires étrangères dans un ministère comprenant des députés du centre ainsi que des députés radicaux.

l'évolution de la position économique de la femme dans la société. En 1897, elle dépose une proposition de loi visant à accorder aux femmes l'accès au Barreau : proposition refusée. Elle réussit à gagner à sa cause Léon Bourgeois, Paul Deschanel, Raymond Poincaré (avocat lui-même). Grâce à leur soutien et à celui de René Viviani, la loi est votée à l'Assemblée le 30 juin 1899. Le Sénat la ratifie le 13 novembre 1900. Jeanne Chauvin s'inscrit alors au Barreau de Paris le 19 décembre 1900, ce qui ne va pas

politique économique et financière du cartel des gauches, le président de la République, Gaston Doumergue, fait appel, en juillet 1926, à Raymond Poincaré, lui même ancien président de la République (1913-1920). Ce dernier forme un gouvernement au sein duquel il se réserve le poste de ministre des finances. Le texte retranscrit un discours de Poincaré prononcé devant la chambre des députés le 21 juin 1928. Il y dresse le bilan positif de sa politique économique et financière, marqué notamment par

Jaurès, mort quelques jours plus tôt, est président du Conseil d’une Assemblée très à gauche, tout en occupant le poste de Ministre des Affaires étrangères : c’est lui qui est chargé de lire dans la première partie du texte le discours de Raymond Poincaré, plus conservateur, Président de la République depuis 1913 et connu pour être un artisan actif de l’alliance franco-russe. S’ensuit alors le discours de René Viviani parlant à son nom. Les deux discours décrivent une situation d’entrée en guerre