Henry Lehrman

fonctionnelle car elle spécialisée dans un seul domaine d’activité stratégique : la chimie inorganique. Le site est divisé par fonction : Recherche&Développement, production court terme, production long terme,… Les mécanismes de coordination selon Henry Mintzberg sont : * L’ajustement mutuel ; dans le cadre du comité de pilotage paritaire sous forme de débat afin de comprendre les besoins des équipes. * Standardisation des qualifications puisque l’entreprise est articulée autour d’équipes

Elément de base Mécanisme de coordination ou contrôle Enjeux du contrôle Exemple Organisation entrepreneuriale ou structure simple Sommet stratégique Supervision directe -Pilotage stratégique du dirigent -Pilotage des stratégies émergentes Organisation bureaucratie mécaniste Technostructure Standardisation des procédés Arbitrages entre formalisation et flexibilité Grandes entreprises industrielles Mc Donald’s Air Canada Bombardier Organisation divisionnalisée Ligne hiérarchique

• Qu’est ce que la stratégie ? • Distinction entre « corporate strategy », « business strategy » et « strategic management ». • La segmentation stratégique (les domaines d’activités stratégiques ou DAS, les facteurs clés de succès ou FCS, …..). • Stratégie délibérée et stratégie émergente (Mintzberg). • Les écoles de pensée en stratégie. I. Qu’est ce que la stratégie ? Quand je dis « stratégie » à quoi pensez-vous ? Cela renvoie à : orientation à LT, pouvoir, compétence, différenciation

taylorisme : les méthodes de production mise au point par l’ingénieur américain Taylor (1856-1965) qui consiste à diviser le travail en tâches simple et répétitives confiés à des ouvriers spécialisées. Le fordisme : les méthodes mises au point par Henry Ford qui associe les principes du taylorisme et du travail à la chaine. Le toyotisme : la méthode de productions élaboré par la firme japonaise Toyota dans les années 1960 pour lutter contre les couts superflus selon les principes des 4 zéros (0

L’auteur a qualifié le strategic thinking d’avoir été traité dans les années 90 , avec des termes généraux mais sans une explication précise. Et ce n’est que récemment que des approches plus concrètes autout du sujet ont vu le jour .Il a cité l’exemple de Mintzberg qui a considéré que le strategic thinking ne concerne pas uniquement tout ce qui se rapporte au management stratégique mais c’est une façon de penser avec ses propres caractéristiques. Selon Mintzberg , le strategic thinking se

tant Fordiste que Postfordiste (Toyotiste), dont l´évolution à travers le temps, a sérieusement influencé l´ émergence des plusieurs courants de pensées en termes organisationnels des entreprises et de gestion des ressources humaines, résumés par Henry Mintzberg dans son approche théorique, par une représentation structurelle selon le type de configurations « entrepreneuriale », « missionnaire », « mécaniste » « ,adhocratique » , « professionnelle » et « hybride ».( Jean Nizet et François Pichault

les différentes tâches d'exécution d'autre part (le travail à la chaîne). L'ouvrier taylorien est plus productif mais le travail devient plus aliénant et déresponsabilisant. FORDISME Bien sûr, ce concept est lié au taylorisme dans la mesure où Henry Ford développe et prolonge les principes de l'OST qu'il applique dans sa production automobile. Très vite, toute l'industrie (pas seulement automobile) applique ces principes de productivité. Mais la notion de fordisme va plus loin. Chez Ford tout

lieu où il va se remémorer. Ex : le mémorial du Mont-Valérien, le 18 juin 1960 là où les allemands ont fusillés 4500 personnes. En 1964 les cendres de Jean Moulin ont été transférées au Panthéon et il devient la figure de la résistance. L’historien Henry Rousso appelle ce mythe «  le résistancialisme ». Avec ça on ne pose pas de question sur Vichy. Il y a des nostalgiques du régime de Vichy d’extrême droite dans des revues en particulier «  aspect de la France » qui publie un numéro sur Pétain en

Schumpeter insiste sur la notion de destruction créatrice. L’économie est en évolution permanente, et l’entrepreneur ne peut pas se reposer sur ses propres lauriers, il doit évoluer en permanence, ce qui implique la disparition de ce qui est obsolète. Henry Ford est le prototype de l’entrepreneur, car il a pris des risques en investissant son propre argent, «  production des voitures Ford t, système de rémunération confortable pour ses employés. Il a montré au début de sa carrière son sens des affaires

social, par le processus de déqualification, soit à une dévalorisation des diplômes, comme Louis dans le document 4, qui est un ouvrier dans une hot line avec un bac+3. Le fordisme est une autre méthode d’organisation du travail inauguré par Henry Ford (1863-1947) datant de la moitié du 20e siècle. Comme nous l’explique le document 3, le fordisme n’est pas une rupture par rapport au taylorisme. Puisque cette nouvelle méthode reprend les principes du taylorisme en y introduisant trois innovations