Heptasyllabe

et la perte d'identité Variété et irrégularité de la métrique. La métrique introduit un élément de variété : diversité des strophes (distiques, quatrains, sizains...), des vers (octosyllabes, décasyllabes, alexandrins, mais aussi vers impairs, heptasyllabes). Le choix est toujours significatif : deux sizains massifs d'octosyllabes (strophe III) traduisent la pesanteur du temps. Variété de l'énonciation. Apollinaire s'invente des interlocuteurs pour lutter contre la solitude, il « sonorise » sa cellule

roux indique plus l'automne) des personnages équivoques se livrent à un jeu sentimental dans lequel le paysage reflète leurs états d'âme et réciproquement en est reflété. I- Le libertinage amoureux, toile de fond Ce poème en alexandrins et heptasyllabes traite comme les autres poèmes des fêtes galantes, de la recherche de l'amour vue sous un jour superficiel. " En sourdine " baigne dans une lumière crépusculaire, prélude à la nuit solitaire et glacée de " Colloque sentimental ". On retrouve le

voyage a-t-elle sur la forme (tradition ou libération des règles poétiques) PLAN : I Structure II Relation texte/titre III Rapport strophes/refrains Intro : I Structure : -3 strophes (12 vers longueur ≠) séparées par un refrain, heptasyllabes et pentasyllabes : le poème présente une forte musicalité -Composé en vers impaires (←théorisé par Verlaine) →aboutie a bref alternance

Musicalité : Vérité = allitération en fricative sonore [v] : renforce la vieillesse de la voix. ⇨ CONTRASTE ENTRE LES PERSONNAGES. Majorité de dialogue : Vers 11 à fin ( Texte dynamique. Vers irréguliers mais forte présence d’octosyllabes / heptasyllabes : vers courts : Dynamisme / rythme rapide. Renforcé par l’irrégularité des rimes : embrassées / suivies / croisées. Morale implicite : continuité avec le récit, pas de rupture. ⇨ RECIT PLAISANT ET ANIME. II- Réflexion morale : Vérité =

phrases courtes. L'histoire également est simple, et comporte deux personnages seulement. 2. Un récit attrayant Utilisation du discours direct rendant la fable vivante. Rimes suivies puis croisées => changement. Utilisation de vers courts : heptasyllabes et trisyllabes => lecture rapide. 3. Une fable Les animaux sont personnifiés et parlent => Fable. Portée universelle : indice spatiaux et temporels vagues, époque indéterminée. II. L'opposition de deux mondes La fable est construite

forme poétique : Le poème compte 8 strophes : dont 4 quatrains (strophe de 4 vers) et un refrain repris dans 4 strophes de deux vers, des distiques. Tous les quatrains ont la même structure syllabique : 10/4/6/10 Le refrain compte 7 syllabes (heptasyllabe), refrain impair. Les rimes sont libres et essentiellement féminines (fin des vers en e). La répétition du son « ne » donne une impression négative et renforce la monotonie du ton. La forme du poème est donc libre. L'absence de ponctuation rend

», « jeunes filles » : personnificat° = dit adieu à sa jeunesse & vie + « ô » : interject°= lyriq = sentiments forts. Lecteur proche du poète. . 2) La cellule centrée sur les sensat° du poète. - Quatrain avc heptasyllabes +2 syllabes, versificat : versificat° = ressemble à distiques d’ennéasyllabes : devient impair, vers se fragmentent comme poète. « Non », « Ne… plus » : Nég = qui s’appliquent à la 1ère personne (« je », « Me », « Moi- même ») : perte de son

Juste avant l’affrontement, Hugo décrit le port de Navarin, les deux flottes. Une partie avec des allitérations (figure de style de la répétition), des alexandrins, et des quintiles (5 vers). PARTIE IIII. Une partie constituée de vers impairs (heptasyllabes). Nous sommes dans le combat, dans la bataille navale, le rythme est beaucoup plus rapide. PARTIE V. Des octosyllabes, et des alexandrins. Nous sommes en plein dans la bataille, au cœur du combat. Hugo met en évidence l’incendie, c’est le spectacle

poète même si la notion de peine implique un état de souffrance + « souvienne » rime avec « peine »Distique : refrain qui se répète à l’identique ambivalence entre la fuite irrémédiable du temps et la permanence de l’être ⇒ rythme binaire des heptasyllabes que la césure coupe au même endroit (+ schéma 4-3) champs lexical du tempsverbes de mouvement qui viennent s’opposer à « je demeure » ⇒ volonté du insensée de retenir le tempsII- Paroxysme de l’amourMétaphore du pont pour désigner un amour partagé

Crise et échec Les deux dernières strophes Lecture analytique 3 : L’invitation au voyage La forme * Forme originale : pas codifiée classiquement * Un refrain * Pentasyllabe * Pentasyllabe * Heptasyllabe * Pentasyllabe * Pentasyllabe * Heptasyllabe * Régularité du rythme Vers 10 : mystérieux = diérèse AA : rimes suivies ABBA : rimes embrassées Eléments correspondants aux segments du titre : Invitation / Voyage Invitation : * * Vers 1 : « mon