Herbert Simon

La Malédiction de Toutânkhamon I. Introduction (contexte historique) La malédiction de Toutankhamon est une légende ayant pris naissance au début du XX° siècle lors de la découverte du tombeau de Toutânkhamon, dans la Vallée des Rois, part Howard Carter (archéologue et égyptologue britannique) et Lord Carnarvon (lui aussi égyptologue britannique). Le 4 Novembre 1922 après 6 ans de fouilles sans résultats à la recherche du tombeau de Toutânkhamon , Howard Carter le trouve enfin, au pied de la

sociales. Il crée une dimension inaccessible à toute autre expérience – une dimension dans laquelle les êtres humains, la nature et les choses ne se tiennent plus sous la loi du principe de la réalité établie. Il ouvre à l’histoire un autre horizon. » Herbert Marcuse (1898-1979) « L’Art est un anti-destin. » André Malraux (1901-1976) « Les excuses ne figurent pas dans l’art, les intentions n’y sont pas comptées : à tout moment l’artiste doit écouter son instinct ce qui fait que l’art est ce qu’il

devant Washington). Nous pouvons nous demander quelles sont les mesures prise contre la crise ? Nous verrons en premier lieu… I) Les Etats Unis face a la crise. En 1932, ce sont de nouvelles élections pour les Etats Unis, le président sortant Herbert Hoover n’est pas très populaire, il sait que les américains ont une opinion très hostile à son égard avec sa politique du «  laisser aller » qui a clairement aggraver la crise de 1929. A) L’arrivée de Franklin Delano Roosevelt. Le président sortant

comme Karl Abraham, Sandor Ferenczi ; les innovateurs comme Melanie Klein ; les dissidents comme Wilhelm Reich), son influence se fait aussi sentir sur l'ethnologie (Géza Róheim, l'ethnopsychanalyse), le marxisme (les tentatives de freudo-marxisme, Herbert Marcuse), les sciences politiques, la philosophie (Deleuze, Derrida), et même sur l'art (le surréalisme, André Breton[2], la « méthode paranoïaque-critique » de Salvador Dali, etc.). De nombreux documents sur la vie et l'œuvre de Freud, comme certains

comme Karl Abraham, Sandor Ferenczi ; les innovateurs comme Melanie Klein ; les dissidents comme Wilhelm Reich), son influence se fait aussi sentir sur l'ethnologie (Géza Róheim, l'ethnopsychanalyse), le marxisme (les tentatives de freudo-marxisme, Herbert Marcuse), les sciences politiques, la philosophie (Deleuze, Derrida), et même sur l'art (le surréalisme, André Breton2, la « méthode paranoïaque-critique » de Salvador Dali, etc.). De nombreux documents sur la vie et l'œuvre de Freud, comme certains

« freudo-marxisme » Ce n’est que chez certains marxistes moins orthodoxes que l’inconscient est pris en considération. C’est notamment en interrogeant la signification potentiellement politique du désir que des auteurs commeErnst Bloch, Wilhelm Reich ou Herbert Marcuse tentent d’articuler les théories de Freud aux analyses deMarx, pour constituer avec ce que l’on nomme le « freudo-marxisme » une théorie révolutionnaire globale, qui concerne aussi bien les aspects économiques que la dimension mentale de l’existence

"darwinisme social" désigne l'application de la théorie de la sélection naturelle, en principe réservée au monde animal, à la société humaine.  Cette doctrine sociopolitique est apparue au XIXe siècle notamment dans les écrits du philosophe et sociologue Herbert Spencer (1820-1903), contemporain anglais de Charles Darwin. Spencer voit dans l’origine des espèces la clé qui permettrait de comprendre le développement de la civilisation. Ainsi, le mécanisme de la sélection naturelle décrit par Darwin serait totalement

industrialisés connaissent alors le chômage, l’inflation et la misère. La fin des Années folles En 1919, les populations des pays occidentaux qui sortent de quatre années de guerre se lancent dans une course effrénée à la consommation. Le futur président Herbert Hoover, alors en campagne électorale, affirme en 1928 : « Les Américains sont aujourd’hui plus près de vaincre la pauvreté que n’importe quelle autre nation dans l’histoire.  » La Bourse connaît une expansion considérable. Plus de 1,5 million d’Américains

Jean Capart (1877-1947) Biographie: Jean Capart (21 février 1877 - 16 juin 1947) est un égyptologue belge qui deviendra un homme incontournable dans le paysage scientifique belge de l'époque, il est né le 21 février 1877 à Bruxelles. Il est le fils d'Alphonse Capart (1847-1925), docteur en médecine, et d'Alida Carbonnelle (1852-1922). Il acheva à l'Université libre de Bruxelles (1895-1898), ses études entreprises à la faculté universitaire de Notre-Dame de la Paix à Namur (1893-1895) jusqu'à

appliqués dans le cadre de la société humaine, que l’on pourrait tout de même penser régie par des lois autres que celles de la nature. Et en effet, le darwinisme social ne fut pas inventer par un naturaliste, ou un biologiste, mais par Herbert Spencer qui fut sociologue et philosophe. Son but était donc peut-être à la base de trouver un autre modèle de société, tout en s’appuyant sur ce qui n’était qu’à l’époque qu’une théorie. Effectivement, dans le monde animal, tout semble simple : les