Hernando Pizarro

Cette déclaration de foi du « Che » sonne, en Colombie, comme une condamnation des principaux leaders du Parti communiste, auquel les groupes dissidents reprochent son attentisme légaliste. Elle sonne donc comme un appel au soulèvement et Eduardo PIZARRO, « La guerilla revolucionaria en Colombia », in Gonzalo SANCHEZ / Ricardo PEÑARANDA (dir.), Pasado y Presente de la Violencia en Colombia, CEREC, Bogota, 1986, p. 395. 5 Gabriel SILVA, « Desarrollo económico, paz y reforma política. Un conflicto latente

Participó en Conquista del Imperio Azteca Estatus legal Marqués Nombre real Hernán Cortés Monroy Pizarro Altamirano Nacimiento 1485 Medellín, Badajoz, Extremadura, Corona de Castilla Fallecimiento 2 de diciembre de 1547 Castilleja de la Cuesta, Sevilla, España Ocupación Alcalde de Santiago de Cuba Firma Firma de Hernán Cortés Escudo de Hernán Cortés completo.svg Hernán Cortés Monroy Pizarro Altamirano (Medellín, Badajoz, Extremadura, España, 1485 – Castilleja de la Cuesta, Sevilla, 2

de Castille, en Espagne. Son père, Martin Cortés de Monroy, est un capitaine d'infanterie d'une famille noble mais possédant de maigres ressources (un moulin, un rucher et une vigne)[1]. Sa mère est Catalina Pizarro Altamirano, de fait, Hernán est le cousin au second degré de Francisco Pizarro[2], futur conquistador de l'Empire inca. On ignore l'essentiel de l'enfance de Cortés, les sources ne s'y intéressant pas ou peu[1]. On sait cependant qu'il était roux, aux yeux marron et relativement chétif

jusqu'au début du 16ème siècle. Début XVIème siècle : Les espagnols débarquent pour la première fois sur les côtes du pays au début du XVIe siècle et profitèrent de l'affaiblissement du pouvoir Inca. Les conquistadores, sous la direction de Francisco Pizarro, envahirent le pays en 1532; deux années plus tard, ils devinrent maîtres de la région, qui prit le nom de royaume de Quito. XIXème siècle : Premiers mouvement d’indépendance et de révolte. En 1830 : Le pays obtient son indépendance sous le nom

de Mendoza est une des plus grandes qui soit mise sur pied par la Couronne espagnole : plus de dix navires et environ 2’500 hommes la composent ; Martínez Sarasola, Carlos, Los hijos…, p. 72. Les trois autres provinces sont octroyées à Francisco Pizarro (Haut Pérou), Diego de Almagro (Chili), et Simón de Alcazaba y Sotomayor (Patagonie) ; Bandieri, Susana, op. cit., p. 48. 90 Rappelons ici que les Espagnols amenèrent aussi -outre les deux animaux précités- porcs, brebis, chèvres et poules dans le

de Mendoza est une des plus grandes qui soit mise sur pied par la Couronne espagnole : plus de dix navires et environ 2’500 hommes la composent ; Martínez Sarasola, Carlos, Los hijos…, p. 72. Les trois autres provinces sont octroyées à Francisco Pizarro (Haut Pérou), Diego de Almagro (Chili), et Simón de Alcazaba y Sotomayor (Patagonie) ; Bandieri, Susana, op. cit., p. 48. 90 Rappelons ici que les Espagnols amenèrent aussi -outre les deux animaux précités- porcs, brebis, chèvres et poules dans

de se rallier au roi, et en leur faisant miroiter des promesses. Il parvient ainsi à faire le vide autour de Gonzalo Pizarro, qui est vaincu et exécuté en 1548. Avec son élimination, le Pérou est définitivement réintégré dans l’empire. Après 1548, la poussée espagnole se poursuit, à la fois au N et au S du continent. Pedro de Alvaro conquiert le Nicaragua, tandis que Hernando de Soto reçoit l’autorisation de CQ d’aller conquérir la Floride. Au sud du continent, les esp s’efforcent de soumettre

religieuses et astronomiques. Machu-Pichu, « la ville des aigles » à une centaine de kilomètres de Cuzco, regroupe le plus grand centre religieux des Incas. Temples, palais, demeures sont orientés au Soleil levant. L’Empire inca fut détruit en 1532 par Pizarró et ses compagnons. Une guerre civile opposant deux successeurs à l’Inca défunt facilita l’emprise des conquistadores sur cet empire qui avait été le plus vaste de l’Amérique du Sud. © Groupe Eyrolles 253 Chapitre 14 De l’apport culturel