Héroïnes

après sa mort ». Le mot était sans doute un terme de respect et de politesse. Héroïne : nom féminin; est emprunté plus tardivement au latin heroine, du grec hêroinê, qui sert de féminin à hêrôs. Le mot est passé par emprunt dans de nombreuses langues indoeuropéennes Cf : - Anglais hero - Russe geroi C’est avec le sens de « demi-dieu » que héros est introduit, aujourd’hui en emploi didactique ; héroïne est employé dans un contexte mythologique, au sens de « femme qui s’est distinguée

et la vertu, sont-ils inhérents aux romans fin de siècle et, d’une certaine manière, dénoncés dans Nana, Tess d’Urberville et Effi Briest ? Nous développerons d’abord cette dichotomie entre femme fatale ou virginale, incarnée dans nos trois héroïnes, avant de réfléchir sur la manière dont les auteurs dénoncent d’une manière plus ou moins forte cet état de fait. En cette fin de siècle, deux types de femmes se distinguent : les victimes du vice ou du malheur qui vendent leur corps opposées

rêverie et l'émoi d'Emma. I. Une héroïne métamorphosée (transfigure) 1) éloge de la passion adultère - connecteurs logiques à chaque début de paragraphe "dès" "mais" "alors" -> texte organisé qui montre l'évolution des sentiments d'Emma envers l'adultère - 4eme paragraphe : v. délecter "délectant" notion de plaisir - discours direct introduit par un verbe de parole : "Elle se répétait : "j'ai un amant ! Un amant!"" -> hystérie/émoi fort d'Emma, une héroïne fan de l'adultère - personnification

conversation, cette scène est très romanesque et se passe à Coulommiers. On se demande alors quel type d'héroïne est la P. de C. ? Une héroïne vertueuse Une héroïne pas si morale PARAGRAPHES I. Une héroïne vertueuse Héroïne caractéristique du XVIIème. Représentative de "l'honnête homme". Sens du devoir et de la morale prime la raison doit l'emporter sur la passion Une héroïne de devoir a) l'affirmation de sa vertu Convaincre de sa vertu et de sa fidélité (l.8/9). Elle tente de rassurer son mari qu'il

servante de Félicité chez Mme Aubain. C’est le courage du personnage qui est mis en évidence dans cet extrait. Nous étudierons tout d’abord la narration d’un épisode à suspens et nous nous poserons la question suivante : Félicité est-elle une véritable héroïne ? I. Un épisode à suspens. a) Les temps verbaux utilisés sont le passé simple et l’imparfait : Le passé simple permet de raconter l’histoire (l.156 à 159) et l’imparfait permet de décrire le paysage (l.150 à 154). Le passé simple est utilisé

venir ». L’imparfait a ici une valeur de répétition, renforcée par « tous les jours » : ce n’est donc par la première visite que « le prince » fait à sa « courtisane ». De fait, on assiste à une sorte de rituel au cours duquel Emma s’identifie aux héroïnes de ses romans. Flaubert compare son personnage à « une courtisane » et les préparatifs de la jeune femme deviennent « professionnels », c’est pourquoi aucun détail n’est laissé au hasard. Elle va donc transformer son intérieur de manière à ce que

modernité. Nous pouvons ainsi nous demander par quels moyens Madame de Clèves, personnage principal de l’œuvre, a pu ainsi être qualifiée de “triple héroïne de l’amour, de la vertu et des convenances” ? Nous allons analyser cette citation en deux parties distinctes. En premier lieu, nous envisagerons le fait que Madame de Clèves soit une triple héroïne de l’amour, de la vertu et des convenances non seulement pour elle-même, mais également aux yeux de la cour. Puis, nous verrons que le coté héroïque

divers”, 1982 Problématique “Le voyage : du rêve à la réalité”  Le titre du recueil renvoie d'abord à celui de la première nouvelle, “La ronde”, terme polysémique. C'est un jeu de petites filles, ce que sont encore Pouce et Poussy, ses deux héroïnes, qui vont vivre ce voyage comme un moment de joyeux amusement. Mais c'est aussi la ronde des policiers, des guetteurs, des soldats sur le chemin de “ronde”, ce qui sous-entend déjà un danger et suggère une atmosphère plus lourde… Le lecteur s'interroge

littéraire qui se fait moqué, et de se cas par Raymond Queneau. Ainsi, le passage que nous allons étudier est extrait de Le Chiendent rédigé par Raymond Queneau et publié en 1933. Il s’agit d’un monologue qui évoque les échecs et les rêves sordides d’une héroïne burlesque. Nous allons nous demander en quoi ce texte est-il une réécriture parodique des romans réaliste voire naturaliste ? Dans un premier temps, nous analyserons l’évocation d’un monde triviale. Puis nous analyserons la place de l’héroïne.

studiolo, autour de 1500, Isabella d'Este demande à Mantegna de lui peindre quatre tableaux à caractère décoratif représentant des sujets littéraires antiques. Il exécutera cette commande en offrant comme produit final des œuvres représentant des héroïnes du passé antique, respectivement intitulées "Sophinisba", "Tuccia", "Judith avec la tête d'Holopherne" et "Didon". Les deux premières sont aujourd'hui situées à la National Gallery à Londres, et les deux autres se retrouvent au Musée des Beaux-Arts