Hier Au Soir Hugo

Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses. S1 LE DEUIL D’ORPHÉE - TEXTE 2 Demain, dès l'aube... Victor HUGO, Les Contemplations, 1856 Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

de E. T. A. Hoffmann, dont le climat d’inquiétante étrangeté devait beaucoup à l’influence de Tieck, une anticipation des découvertes de la psychanalyse : qu’aurait-il dit des très étranges souvenirs d’enfance que Bertha (Eckbert le Blond) évoque un soir, à la demande de son époux, devant l’ami énigmatique, et de ce brutal « retour du refoulé » (Strohmian) qui la rend malade à mourir ? La Büchner-Forschung der années 1970 veut en faire un anti-idéaliste. Lenz pour illustrer see idées sur la morale

veuve que depuis trois ans. On avait bien chuchoté qu'ils s'étaient aimés du vivant du premier mari, mais on n'en avait aucune preuve. C'était moi la preuve, la preuve qu'on avait cachée d'abord, espéré détruire ensuite.     J'attendis. Elle reparut un soir, toujours accompagnée de mon père. Ce jour-là, elle semblait fort émue, je ne sais pourquoi. Puis, au moment de s'en aller, elle me dit: « Je vous veux du bien, parce que vous m'avez l'air d'un honnête garçon et d'un travailleur ; vous penserez sans

que depuis trois ans. On avait bien chuchoté qu'ils s'étaient aimés du vivant du premier mari, mais on n'en avait aucune preuve. C'était moi la preuve, la preuve qu'on avait cachée d'abord, espéré détruire ensuite.     J'attendis. Elle reparut un soir, toujours accompagnée de mon père. Ce jour-là, elle semblait fort émue, je ne sais pourquoi. Puis, au moment de s'en aller, elle me dit: « Je vous veux du bien, parce que vous m'avez l'air d'un honnête garçon et d'un travailleur ; vous penserez sans

Grenzüberschreitungstheorie. Nach Renner werden „die Grenzen der klassischen Grenzüberschreitungstheorie […] sichtbar, wenn das Geschehen in einem Raum spielt, in dem sich keine topographische Grenze ausmachen läßt“ (Renner 2004: 360). Der Ansatz von Lotman stößt hier an seine Grenzen, da dieser immer zwei getrennte Räume voraussetzt und daher nicht-topografische Ereignisse nicht erfassen kann. Aus diesem Grund wird die Grenze als Strukturmerkmal des Lotmanschen Raummodels von Renner durch die Konfiguration der

Chevalier. « Le théâtre, les affiches, tout est prêt […] les billets, les fauteuils, les décorations ». Au programme : « Poursognac, une pièce de Berquin, une de Scribe et un proverbe dramatique de Carmontelle » Entrée au Collège royal de Rouen : « Un soir, à trois heures, en veste bleue ». Flaubert a onze ans. Flaubert envoie ses vœux à son oncle Parain, sa femme et leurs enfants, les Bonenfant. 1833 Séjour à Nogent-sur-Seine. Flaubert a été au spectacle : trois pièces, dont la troisième, Simple Histoire

maintenant à l'occupant nazi, il n'est plus question d'en rechercher. Georges passe ses journées à la bibliothèque municipale du quartier. Conscient de ses lacunes en matière de poésie, il apprend la versification et lit Villon, Baudelaire, Verlaine, Hugo et tant d’autres. Il acquiert ainsi une grande culture littéraire qui le pousse à écrire ses premiers recueils de poésies : Les Couleurs vagues, Des coups d'épée dans l'eau, annonçant le style des chansons à venir et À la venvole, où son anarchisme

revient dans sa ville natale, où il obtient un poste officiel de la Commission permanente de la Mairie comme archiviste de la province de Lérida. Cet emploi est reconduit en 1906. Il meurt en 1908 : nous pouvons lire dans la presse locale : « Hier matin, est mort dans cette ville notre cher ami, l’avocat D. Javier Viñes Solano, archiviste de la Mairie, père très aimant de nos deux grands amis Jose et Ricardo, éminent pianiste, que nous avons eu la joie d’ovationner il y a peu de temps. C’était

citer de ce Pardon dans le cadre restreint que nous nous sommes imposé. Mais il nous paraîtrait mal de prendre congé de Corbière sans donner en entier le poème intitulé la Fin, où est toute la mer. O combien de marins, combien de capitaines Etc. (V. Hugo.) Eh bien, tous ces marins - matelots, capitaines, Dans leur grand Océan à jamais engloutis... Partis insoucieux pour leurs courses lointaines, 8 Sont morts - absolument comme ils étaient partis. Allons ! c’est leur métier ; ils sont morts

Si ventru que son doigt n’atteint pas son nombril, Pour les femmes encor se croit un doux péril, Et leur fait, cependant qu’en jouant il bredouille, Des yeux de carpes avec ses gros yeux de grenouilles ! ... Et je le hais depuis qu’il se permit, un soir, De poser son regard, sur celle... Oh ! j’ai cru voir Glisser sur une fleur une longue limace ! LE BRET, stupéfait Hein ? Comment ? Serait-il possible ? ... CYRANO, avec un rire amer Que j’aimasse ? ... Changement de ton et gravement. 1 J’aime.