Histoire de l'Italie fasciste

1 HISTOIRE Questions pour comprendre le XXe siècle Marianne BOUCHERET re Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95)

1 re HISTOIRE Questions pour comprendre le XXe siècle Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Marianne BOUCHERET Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU

toutes les mémoires comme le grand banquet des Scorta… Ce fut l’apogée du clan. Et il aurait fallu que rien ne change ». Les choses ne vont pas tarder à se gâter. Antonio ne rentre pas de la guerre d’Espagne où il est allé combattre aux côtés des fascistes… 3. En 1946, un nouveau curé arrive à Montepuccio. Il regagne progressivement la confiance des habitants mais le jour de la fête patronale de Sant’Elia, on vole les médailles du saint. C’est Elia, le fils de Carmela qui a commis ce larcin. Ses oncles

de fonder un Etat pour se rassembler, on va le fonder sur les sentiments qui unissent les allemands. Les éléments qui les unissent. Fichte dit qu’il y a au-delà des divisions politiques, il y a des éléments communs comme la culture, la langue, une histoire commune, un sang commun. Tout cela la langue, la culture allemande est pure. Car l’allemand est une langue pure qui est héritière des langues germaniques, qui n’a pas évolué contrairement aux autres langues. Place particulière et donc doit avoir

Fabien Darvey HIC-Notes de cours Unil SSP-2011-2012 Histoire Internationale et Contemporaine La conquête du monde : a) Discussion historiographique : Dans l’historiographie, on parle souvent de concepts, de notions et de séquence.    Concepts : il n’est pas possible de réduire la réalité sociale à des concepts, car ils sont changeants et évoluent avec le temps. Par exemple, le terme totalitarisme était d’abord un symbole de la lutte contre le fascisme puis c’est devenu le nom de combat des

état fédéral ( l’état régionaliste. Quelques notes sur le modèle de l’Italie : Elle ressemble très fort à l’Allemagne car c’est un état nouveau. Avant il y avait des espaces de culture sans qu’il y ait un état. Il y avait une nation mais pas d’état. En France c’est presque le contraire qui s’est produit car il y a eu d’abord un état et ensuite une nation. Dans l’Italie il y a un royaume d’où vient l’idée de l’Italie c’est le royaume du piémont. Le roi de ce royaume devient roi d’Italie

presented as \vell as severa! sub-fields of research. The main objectives of a course on history of translation are listed. Finally, an innovative multimedia and multilingual cd-rom on the history of translation is presented. Keywords/ Mots-Clés histoire de la traduction, traductologie, functions de la traduction, didacticiel, cd-rom 1. L'intérêt de l'histoire de la traduction Des études universitaires en traduction seraient incomplètes, à mon avis, sans un cours d'histoire de la traduction. Et

------------------------------------------------- CULTURE INTERNATIONALE : ------------------------------------------------- Les relations entre la France et l’Italie ECOLE DE COMMERCE EUROPEENNE Par Margaux MONTPEYROUX Dossier réalisé en Janvier 2011 Sommaire Introduction, l’Italie… 3 1. Etat des lieux des relations entre la France et l’Italie 4 a. Cadre historique des relations entre la France et l’Italie 4 b. Politique 5 c. Culture 6 d. Echanges et coopérations 8 e. Commerce 10 f. L’enseignement 11

les contextes particuliers dans lequel on l’emploie, les motivations de ceux qui y recourent, aussi bien que le cadre de pensée dans lequel il s’insère. Reconnaissons que ce terme est de nature polysémique. À cette ambiguïté de sens s’ajoute une histoire tumultueuse où, à plus d’une reprise, on a décrété à tort la disparition du concept même. En effet, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, par exemple, certains penseurs libéraux étasuniens, tels Daniel Bell (The End of Ideology [La fin des idéologies]

passion révolutionnaire. Ces thèses montrent la nécessité pour Furet d’étudier quelque chose qui a un rapport avec le présent, avec l’expérience de son époque, ce par quoi il se distingue de l’école des Annales en privilégiant une histoire-problème au détriment d’une histoire restitution. La réflexion qu’il mène au début de l’ouvrage sur la bourgeoisie s’ancre quant à elle dans la continuité de la thèse que François Furet a abandonnée sur la bourgeoisie pré-révolutionnaire. Malgré la rupture chronologique