Histoire Des Moeurs

Histoire Littéraire 2 XVIe siècle XVIe s. plus précisément 1515. --> Bataille de Marignan (France> François Ie monte sur le trône. Il n’y a pas de scission radicale entre le MA et la Renaissance. 1. Causes globales: On a soif de culture mais on nous donne des cours ex cathedra càd unilatéraux (il n’y a pas la possibilité de débattre.) La réforme apparait (Luther/Calvin). On s’oppose à l’autorité de l’Eglise. Elle pratique ce qu’on appelle les indulgences, une sorte de trafique entre

individus qui la compose (faire vrai) Le réalisme est un mouvement littéraire et culturel du XIXe siècle (vers 1850-1890) qui donna pour mission au roman d’exprimer le plus fidèlement possible la réalité, de peindre le réel sans l’idéaliser. Les histoires réelles (vécues) sont privilégiées, les personnages ont des sentiments vraisemblables et le milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec minutie et objectivité (→ importance de la documentation, des descriptions). Exemples :

des comportements à adopter grâce notamment à nos multiples expériences et toutes celle-ci nous paraissent donc totalement naturelle et logique. De plus, les conventions varient suivant les cultures et les mœurs de la société dans laquelle nous évoluons. En effet, suivant son histoire, ses mœurs, ses traditions et bien d’autres choses, la notion de juste et d’injuste diffère. En effet, nous trouvons par exemple totalement aberrant que certains peuples comme en Inde, trouve totalement naturel les mariages

théâtrale mais à une histoire réelle. Le mouvement classique à pour mot d'ordre de plaire. Racine à travers ses tragédies veut à tout prix plaire à son public, il accorde donc son écriture avec les mœurs de ses spectateurs afin d'éviter que ceux-ci soient choqués et pour biensur entraînés leur adhésion. C'est pour cela qu'existent les règles de bienséance. La bienséance «interne» doit faire correspondre l'intrigue et le comportement des personnages à leur âge, leur statut social, aux mœurs et coutumes du

en Europe et séjourne un an en Angleterre où il observe la monarchie constitutionnelle et parlementaire qui a remplacé la monarchie autocratique. De retour dans son château de La Brède au sud de Bordeaux, il se consacre à ses grands ouvrages qui associent histoire et philosophie politique :Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) et De l'esprit des lois (1748) dans lequel il développe sa réflexion sur la répartition des fonctions de l'État entre ses différentes composantes

lui fait remarquer « l’aisance, la facilité des mœurs de la nation française ». Elle fait aussi remarquer le passage par les différents pays. L’Italie où les tentations et les mensonges sont très présents autant au niveau sexuel que monétaires (Olympia, Biondetta, carnaval de Venise, le jeu,etc,) que par la première apparition du Diable qui parle italien (che vuoi). La France est nommée comme un pays de libres pensées et d’avancée au niveau des mœurs. Finalement l’Espagne est vue comme un pays

drame romantique). Il reprend donc les genres définis depuis l’Antiquité : la tragédie, la fable, la comédie. Il ne vise pas non plus à réformer les idées (à la différence des auteurs du Siècle des Lumières qui suit), ni à bousculer ou libérer les mœurs. On comprend dès lors que les dramaturges reprennent des tragédies antiques comme RACINE le fait en s’inspirant d’EURIPIDE et de SÉNÈQUE. Une application des théories d’ARISTOTE : La tragédie classique ne met en scène que de très hauts personnages

est tout Montesquieu. Il ne voulait que comprendre. Nous avons de lui quelques images qui trahissent cet effort et sa fierté. Il ne pénétrait dans la masse infinie des documents et des textes, dans l'immense 8 MONTESQUIEU héritage des histoires, chroniques, recueils et compilations, que pour en saisir la logique, en dégager la raison. Il voulait tenir le « fil » de cet écheveau que des siècles avaient emmêlé, tenir le fil et le tirer à lui, pour que tout vînt. Tout venait. D'autres fois

Fataliste » : Histoire d’un serviteur (intelligent) et d’un maître (idiot). >Renversement des valeurs. Réflexion philosophique sur la condition de l’homme dans l’univers (phénomène social). Le roman a un côté « voyeur » au 18ème siècle, selon les aristocrates (pas pour les bourgeois). Le roman est mal vu. Diderot est novateur, il écrit avec un « Je ». Le libertin (au 17ème) devient le philosophe (au 18ème). ➢ Le libertinage : remise en question des opinions reçues (dans les mœurs). Ce libertinage

à trois ou quatre mille personnages que présente une Société ? Comment plaire à la fois au poëte, au philosophe et aux masses qui veulent la poésie et la philosophie sous de saisissantes images ? Si je concevais l’importance et la poésie de cette histoire du cœur humain, je ne voyais aucun moyen d’exécution ; car, jusqu’à notre époque, les plus célèbres conteurs avaient dépensé leur talent à créer un ou deux personnages typiques, à peindre une face de la vie. (...)D’abord, presque toujours ces personnages