Histoires comme ça

Mon avis : Coup de cœur pour ce livre que j'ai littéralement adoré et de ce fait dévoré ! C'est une magnifique petite histoire toute en douceur qu'on prend plaisir à savourer... Milush est une jeune fille de 15 ans, délaissée par sa mère et n'ayant jamais connu son père. Andres est un vieil homme à la retraite, solitaire depuis la mort de sa sœur. Un jour, tandis que Andres cherche de la compagnie sur le banc d'arrêt de bus que prends tout les matins Milush, ils commencent à se parler et petit

mytique Blair and Chuck :Je suis leurs fille comme mon nom l’indique si bien. Mes parents ont connu une histoire forte,complique,intense … Mais ils ne sont pas les seuls car meme moi vit une histoire similaire que la leurs ,on peut dir que c’est genetique. Je fait aussi parti de l’elite de newyorkaise toute mon histoire commence au college ce n’était pas un coup de foudre c’est venue tout seule sans prevenir. Il s’appelait Brad nous etions aussi B&C comme mes parents l’était une autre coicidence

- Premier rôle du mythe : Sans les mythes il n’y aurait presque pas de sens moral (avec les Dieux qui nous regardent, le fait d’aller en enfer si on est méchant par exemple etc..). Par exemple, il y a une loi, je n’ai ca attendre que personne ne me regarde pour l’enfreindre. Alors qu’avec une autre façon de penser (celle transmise par la croyance en ces différents mythes), les gens se disent ce n’est pas bien. Le mythe du héro nous donne envie de nous conduire bien pour lui ressembler… Ils

Titre de l’œuvre : Les Mensch Auteur : Nicolas Couchepin Edition : Seuil Genre du texte : Roman, entre le réalisme et le fantastique. Coup de cœur OUI / NON Ce qui m’a beaucoup plus dans ce livre c’est de raconter une histoire qui devrait être originale mais par ces personnages complètement ordinaires, devient normale. Les sentiments et la sensibilité des personnages si bien retranscrite pas les images de Nicolas Couchepin donne le côté fragile de chacun qui met en valeur

Le luxe, c'est presque toujours pareil : ça commence par une belle histoire d'artisanat et ça finit par un ravissant emballage marketing. Et tant pis si l'âme du produit s'est perdue en cours de route… Prenez Ladurée, le salon de thé de la rue Royale, au cœur du « triangle d'or » parisien. Des serveuses qui s'activent comme des abeilles dans une ruche pour naviguer entre des tables microscopiques, plateaux chargés et théières bouillantes à bout de bras. Des clientes japonaises idolâtres, qui photographient

tragique, satirique, ironique, réaliste.) Dans ce film, il y a presque tous les tons que vous pouvez imaginer. Le film tourne souvent au tragique, au drame, et tout a coup de nouveau au comique. Julien et Sophie sont aussi très souvent sarcastique, et ça donne des moments ridicules. 4. Qui sont les protagonistes, les personnages principaux? Comment est leur nom, leur caractère, leur fonction dans le film? Sophie : Sophie est la petite voisine de Julien. Elle est d’origine polonaise. Pour cette

J’les entend tous ces zoulou, ils parlent de nous, qu’est qu’ils en savent des braves, nous on a galérés grave, qu’est ce qu’il connaissent de notre histoire, on revient de loin, passé trouble, présent fragile, avenir incertains, y’a ptet pas une équipe dans le rap qui ai tant souffert, la rue on y était, on y a saigné a cœur ouvert, la preuve nos frère sont tombés, on rejoint leur tombes pendants que les autres ne font que rapper, chez nous c’est l’hécatombe, alors ne venez pas tester

20 novembre 1914. In Istra, Multilivre CE2, 1994. Extrait d’un journal de guerre d’un soldat en 1914 « A 7 heures, la relève arrive ! Mais en sortant des tranchées, nous sommes fusillés comme des lapins. Notre camarade Fersit est tué raide. Revenons en arrière. Toute la journée, ça tire et à la tombée de la nuit surtout où l’ennemi nous reprend sa tranchée. Canons, mitrailleuses, charges à la baïonnette, rien ne manque et nous perdons environ une compagnie. Cinq des copains ont été

pertinence clinique, de la profondeur des savoir-faire, des bénéfices thérapeutiques, des intérêts, Etc. C’est quelque chose de l’ordre du dépliage. Je dirais qu’elle apparait comme l’accumulation d’un tas de savoirs et de savoir-faire. Un ensemble de méthodes, de médiations, de techniques, de dispositifs, Etc. Comme une collection. Comme une sorte de grande boîte à outils où tout un chacun pourrait aller y puiser ce que bon lui semble, selon les circonstances, selon ses convictions théorico-philosophiques

Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée… gallimard 342 pages écrit asser petit resumé :C'est une histoire vraie, une autobiographie. Dans les années 1970, à l'âge de 11 ans, Christiane débarque à Berlin, dans les quartiers pauvres. Battue par un père alcoolique, de nature rebelle, Christiane n'est que trop heureuse le jour où elle va habiter avec sa mère qui a demandé le divorce. Mais c'est une enfant fragile et influcençable. Délaissée par sa mère, elle dispose d'une très grande autonomie