Histoires comme ça

Lecture du Romain : L’ECHANTERESSE DE FLORENCE Salman Rushdie LES PERSONNAGES On fait connaissance avec Niccolo Vespucci debout dans une charrette à bœufs. Il est jeune - la vingtaine – beau et blond. Le conducteur de la charrette le décrit comme un fou avec des traits délicats. Ses cheveux blonds révèlent qu’il vient du monde occidental et donc qu’il est un étranger dans cette partie du monde. De plus, Il est vêtu d’un manteau de cuir alors qu’ici le climat est chaud. Au début de l’histoire

Pistes pédagogiques de travail en classe                                      Résumé du livre   Depuis cette toute première nuit où je suis devenue une enfant des rues, j’ai peur du noir et ne peux dormir sans lumière... J’ai une mère, j’ai un père. Mais c’est comme si j’en avais pas ! […] Je n’existe plus pour eux. Et moi, j’oublie petit à petit leur visage. Je me demande s’ils ont existé, même. Isabelle Girard Comment survivre quand on est une toute petite fille abandonnée sur un trottoir de Rio ? Comment

LHG – Lettres-Histoire-Géographie http://lhg.free.fr/ UBU ROI D'ALFRED JARRY (1896) Classe : Terminale BEP Edition utilisée : Folio classique (Gallimard) Durée de la séquence : 13 heures Auteur : Christophe Escartin Sur LHG depuis le : 01/04/2001 SEANCE N°1 : Entrée dans l'oeuvre Objectifs de la séance ♣ ♣ ♣ Mettre en relation du texte et une image Mettre en évidence la difficulté de "ranger" Ubu roi dans un genre théâtral Notions et savoirs : paratexte, dénotation, connotation, lecture

doléances (complaints). On a compris que la discussion était désignée de considérer la différence entre global et locale. In n’était pas clair exactement comment on puisse décider entre les deux sujets ou de quoi on parle. Jiajia a levé sa main. Comme ca elle a eu le droit de parler. Elle a dit que one peut utiliser des gestes pour assistance avec une lingue non maternelle. Elle a une doléance contre une autre élève, Mariama, qui a embêté Jiajia. Mariama a pris des poses hostiles à Jiajia.

Eleonora L’histoire suit un narrateur anonyme, inconnu qui vit avec sa cousine et sa tante dans la Vallée du Gazon-Diapré, un paradis idyllique rempli de fleurs parfumées, des arbres magnifiques, et une « Rivière du Silence ». Ca reste inexploré, vierge par les pas des étrangers donc ils vivent isolés mais heureux. Après avoir vécu ainsi pendant 15 ans, l’amour entra dans le cœur du narrateur et d’Eleonora, la vallée reflète la beauté de leur amour. Cependant un changement s’est produit des fleurs

s’apprêtait a lire. Nous décidâmes alors de l’écouter. « Tu as compris cette histoire ? Me demanda mon frère. - Non, mais de toute façon elle n’était pas intéressante ! - Et pourquoi dis tu ça ? Me rétorqua-t-il énervé par ma réponse. - Car elle ne signifie rien… - Ha oui, et que penses tu de l’attitude de la batelière, des cordeliers ou bien même du mari, de la foule insultant les deux hommes, y as-tu réfléchis a ça ? - Non, mais cela est-il vraiment important ? Hésitai-je - Bien sûr que

dire de la civilisation de l’écrit à la civilisation de l’image, ou, plus récente encore, de l’ordinateur et du CD Rom. En dépit de mon propre travail, mon rapport aux livres est instable, incertain, inquiet, comme celui de la plupart de mes contemporains. Quand j’ouvre, par exemple, une histoire de la littérature du début du XXème siècle et quand je regarde les photos de Proust, de Gide ou de Valéry, il me semble que tous ces écrivains sont d’un autre siècle: ils représentent ces purs hommes des livres

Aujourd’hui, les romans que l’on pourrait qualifier « de l’imaginaire », ou encore « de l’évasion » sont de plus en plus présents dans nos bibliothèques .Des romans qui racontent des histoires inventées, qui n’ont rien à voir avec des problèmes d’aujourd’hui, ou encore avec notre société, qui ne sont là rien que pour nous distraire .De plus en plus de gens lisent ce genre de romans, presque tous .Quel lecteur, aujourd’hui, peut affirmer n’avoir jamais lu un roman qui ne soit pas là pour lui ouvrir

J'aninsokoqjknhbdhebjcn ca j'os'x kekc'kék'c c'ek'eckéke nike' kf'k. R'c'rlc'el'cle dkéxé dkéx'éxl'ek ´dl'clédk en djendkknskx'ks'x skdéod'ek'dekndjekddjekkdkejd ejdn'el'diéd ejdnek'deij'rnvid'cl'eod'é dekn jvdhbx'z'dos'´ cjrhckr jf rubik's cuencjrh j'en jf jccbruncjr hcbdjc jf chf cjrhckr jd'chdcbdjcbcbjdb jbfnjjeujeiuefbuidvvbbvijihicjdhejhbbcb j job euuuh b uhvhdhdc chbechechdsdbc chbechechdsdbc c hdbcjdbcjdbjcbjb cheb hd bj hd Jubszjcbjenc cjndicnejc ejcniejckrjijekcndj Che ca djcbudnxkzhusnzibdn

famille et l’affaire de personne d’autre. Elle était aussi inquiète que si c'était une telle connaissance commune, alors tôt ou tard certain journaux ou magasines avaient l’intention de commencer à chercher une histoire. Et Clare n'aimait pas l'idée que quelqu'un d'autre utilise son histoire. Clare est entré dans le commissariat de police et s'est présenté. 'Bonjour. Mon nom est Clare Newton. Je suis venu au sujet de mon grand-père, Edward Crowe. » « Bonjour, Mme Newton. Nous vous attendions