Historicisme

on isole des faits pour en tirer des généralisation. Alors que l'école autrichienne chercher dans les faits historiques. -Essentialisme et ignorances (essence des phénomènes et on ignore l'histoire qui amène ses phénomènes) vs relativisme et historicisme. L'école historique rejette les généralisations a moins d'avoir accumuler beaucoup de faits qui pourraient permettre une telle généralisation. De la même façon, elle rejette l'analyse dite isolante des phénomènes économiques c'est-à-dire une

« dellavolpisme », dont l'inspirateur a toujours témoigné à l'égard de l'œuvre de Gramsci - tout comme, du reste, envers toute tentative de définition d'une « philosophie de la praxis » - une politesse faite de réserve et de froideur (5). Cet « historicisme absolu »dont on fait gloire à Gramsci de s'être fait le héraut, qu'est-il de plus en effet qu'une dialectique spéculative a priori; qu'un autre type de dialectique manipulatoire ? A l'instar, précisément, de ce stalinisme dont Gramsci aurait évité

pensée totalitaire ? Il y a dans le marxiste 3 éléments : • utopisme : idée que la société marxiste est une société magnifique, utopique qui n’achèverait aucunes dominations, paradis d’égaux, volonté de réaliser cette société magique. • Historicisme : loi de l’histoire dans laquelle l’histoire est une lutte perpétuelle contre une classe sociale spécifique. Est une succession d’une lutte de classe. Plus de domination, une société d’égaux, une société communiste. Il faut que la classe des dominée

humain est décalqué sur le progrès technique : absurde. Pour le PT, on peut se baser sur l'efficacité d'une technique, d'un outil – critère objectif pour juger du progrès. - le schéma théorique est établi a priori, et plaqué sur une société - historicisme : l'histoire a une force explicative beaucoup trop forte. - critères arbitraires et jugements de valeur : il n'y a pas de critère objectif qui donne de la valeur aux différentes formes de religion par exemple. La hierarchisation est basée sur un

selon Marx enferme l'état dans une succession des sociétés humaines: - Esclavagisme - Féodalisme - Capitalisme qui doivent aboutir enfin à une société radieuse, le communisme. L'histoire aurait donc un sens unique. Cet historicisme possède une portée mécanique et permet de mobiliser les foules. En effet, on leur promet un avenir radieux, l'avènement d'une société sans classe ; le communisme. Ce message propose également une vision manichéenne de la société qui oppose une

cette opposition amènera fatalement une révolte qui aura pour conséquence la fin d'un système de production, donc la fin d'un système d'organisation politique. C) Une explication scientifique et une fin de l'histoire La théorie de Marx est un historicisme, cad une doctrine qui essaye de rendre apparente certaines lois de l'histoire, cela signifie donc que l'historie des sociétés humaines obéit a une évolution particulière, qu'elle n'est pas due au hasard et qu'il convient de découvrir cette loi

sont pas naturels, mais doivent être fournis par quelqu’un d’autre sous la contrainte. 3 Karl Popper, « La société ouverte et ses ennemis » (1945). Cette élite peuple habituellement les organisations nationales et internationales. 4 On appelle « historicisme » ce point de vue. En réalité l’histoire ne progresse pas, seuls les individus progressent. 5 Titre du dernier livre de Hayek (1988). 1 2 Thierry Falissard – 65 / 70 20 – Comment peut-on être antilibéral ? Le moteur antilibéral le plus puissant

l'Etat rejet du droit théorique affirmé par le code civil en France au profit d'une coutume enracinée dans l'eugénisme allemand. Abond droit de l'hommes au nom de l'impératisme supérieur filiation entre le marxisme et le stalinisme • historicisme: loi dans Histoire les sociétés humaines passent par 4 étapes: esclavagisme féodalisme capitalisme enfin sociét radieuse= communisme. Portée messianique pour mobiliser les foules. Vision manichéenne de la scté. Bourgeoisie mauvaise et prolétariat

Est-ce à dire que nous nous désintéressions complètement de toute recherche d’ensemble sur la religion, c’est-à-dire sur le total des phénomènes religieux ? Nous ne pouvons penser ainsi, parce qu’alors nous tomberions dans un nominalisme pur, un historicisme que nous combattons précisément. Il n’y aurait que des phénomènes isolés, sans lien rationnel, dont on ne pourrait faire que la description, jamais la théorie. Tout au contraire, nous estimons qu’entre la philosophie et la simple histoire, il y

scientifiquement élaborée du passé de l’humanité : « L’histoire est la reconstitution par et pour les | | |vivants de la vie des morts. » R Aron | |historicisme |Explication du droit, de la morale, et de la religion par l’histoire. | | |* L’histoire selon différents auteurs, serait soumise à des lois inconditionnelles