Hobbes Léviathan Chapitre 13 La Guerre Naturelle De Chacun Contre Tous

3 auteurs émergent. A- Thomas Hobbes Philosophe anglais du XVIIe. Il affirme que l’homme est naturellement mauvais : « L’homme est un loup pour l’homme ». Sans organisation sociale et étatique, il applique la loi du plus fort. L’Etat est là une contrainte pour l’homme. L’intérêt du plus grand nombre est de souscrire tacitement et par résignation un contrat. Celui-ci confie le pouvoir à une autorité incontestable qui garantit l’ordre et la paix civile. « Léviathan » -> 1651, c’est un monstre représenté

une menace, quelque chose qui, lorsque tous les autres moyens dont dispose l’Etat ont faillis, la violence physique constitue une raison ultime. L’Etat dispose de toute une gamme de dispositifs pour faire accepter par avance la contrainte, pour induire dans la tête des gens la légitimité de la contrainte et, infine, mettre en oeuvre cette contrainte. Deuxième implication de cette définition : ce monopole spécifique dont dispose l’état, le distingue de tous les autres groupements sociaux existants

de la violence. Il a un pouvoir de coercission que l'on peut critiquer. C'est ainsi qu'on a l'enernel débat entre Hobbes et Lock. Hobbes est traumatisé par les guerre de religion et qui dit que l'Etat doit être fort car s'il ne l'est pas c'est l'anaechie ( la guerre). Pour lui avec l'ordre il n'y a pas de libertés. La coercission de l'Etat est nécessaire car elle evite les guerre de religion. Lock dit que l'Etat doit etre fort. En effet la société doit etre organisé mais il y a des droits individuels

6 IV - LES GRANDES CONCEPTIONS DES RELATIONS INTERNATIONALES 6 IV - THEORIES DES RELATIONS INTERNATIONALES APRES LA FIN DE LA GUERRE FROIDE 7 1 - Problématiques : 7 2- Les théories du changement systémique 8 3 - Les théories du changement infra systémique 8 PARTIE 1 : Les acteurs et les règles des relations internationales 8 Chapitre 1 : Les acteurs 8 Section 1 : Un acteur traditionnel, l’État 9 I - LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE L’ETAT 9 A - Le territoire

être sollicités par référendum Tout ce qui nous paraît naturel aujourd’hui, une vie politique organisée, une participation des citoyens au pouvoir des partis politiques, c’est le produit de l’Histoire et aux réflexes liés aux sciences politiques. Le fonctionnement des institutions politiques est garanti par le droit constitutionnel. Problématique: Pourquoi sommes-nous passés d’un état de nature à un état de droit? ★ La théorie du droit naturel (Aristote, Cicéron, St Thomas d’Aquin): L’état résulte

que cette approche propose comme analyse de son domaine, devrait également trouver ici les éléments pour satisfaire sa curiosité. La littérature du domaine est en très grande partie rédigée en langue anglaise. Il a paru opportun d’ajouter à chaque chapitre des notes de lecture qui orientent le lecteur pressé vers un petit nombre de sources essentielles en langue anglaise dont il voudra prendre connaissance en priorité. Ceux qui veulent approfondir leurs connaissances au-delà de ce minimum trouveront

décolonisation (1945) et aussi la dislocation d' État (lorsqu'un État se divise en plusieurs entités) comme la Yougoslavie. Il est important que ces entités ai une reconnaissance internationale et donc un respect de ces choix politiques et des ressources naturelles. Il y a une diversité des États, grands ou petits. Dans ce titre 2 questions : Existence de l’État (chap1) Formes d’État (chap2) Chap 1 : L’existence de L’État Le concept d’État c'est développé

renommée internationale 7 1.2.Biographie de Robert W. McChesney 9 II) Postulats 10 III) Hypothèses 11 IV) Mode de dÉmonstration 12 V) RÉsumÉ de l’ouvrage 13 Première partie : Noam Chomsky – « Les exploits de la propagande » 13 DeuxiÈme partie : Noam Chomsky – « Le journaliste venu de Mars » « Comment faut-il rendre compte de la “guerre de la terreur” ? » 16 Troisième partie : Robert W. McChesney « Les géants des médias » « Une menace pour la démocratie ? » 18 VI) Discussion 21

Thierry Falissard Avant-propos Le libéralisme est-il une menace planétaire au même titre que le seraient le réchauffement climatique, le terrorisme islamiste ou la prolifération nucléaire ? Est-il dépourvu de toute éthique au point d’abandonner chacun d’entre nous au jeu aveugle des forces du marché ? Ne laisse-t-il pas chaque personne livrée à elle-même en détruisant tout lien collectif ? Faut-il intervenir vigoureusement pour en limiter les dérives ? La sagesse populaire dit que « la peur n’évite

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