Holisme

partage les idées, les goûts, les aspirations, qui lui permettent de s’identifier au «  nous »  collectif. I Socialisation primaire : la socialisation des enfants A) Comment intériorise-t-on les normes, valeurs et rôles ? Vision Durkheimienne : holisme méthodologique. Par E. Durkheim (fin 19°, début 20°) père fondateur de la sociologie. Pour lui, l’éducation est au cœur de la cohésion d’une société. En effet l’éducation transmet les normes et valeurs du groupe social dont l’individu appartient

distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur : holisme, conduit à de redoutables apories. Il est vrai que l'action individuelle est soumise à des contraintes sociales; il est rare de pouvoir agir à sa fantaisie. Mais cela n'implique pas que les contraintes sociales déterminent l'action individuelle. Ces

religion et même celle des théologiens espagnols du XVI° siècle. La conséquence de cette théorie de l’ « homme extérieur », selon laquelle l’esprit humain n’existe que par la relation à des rapports collectifs externes, c’est bien entendu le holisme, c'est-à-dire l’idée que la société est un être mystérieux et indépendant, existant par lui-même indépendamment des individus qui la composent, différent également de leur réunion ; les membres de cette société qui là encore, y naissent et vivent

Individu et société : l’apport de la sociologie. 1. Holisme et individualisme : deux voies théoriques pour quatre grands paradigmes. 2.1. Des théories et des méthodes utiles pour combattre le sens commun, spontanément subjectiviste. 2.2.1. La sociologie holiste. 2.2.2. La sociologie individualiste. 2.2. Une stratégie de la preuve. 2. Une sociologie du sport ? 3.3. Problèmes de définitions et de mesure de l'activité sportive. 3.4

un âge de référence vue l’hétérogénité des trajectoires sociales? Peut-on encore définir clairement des rites de passages entre ces deux étapes ? Durant l’exposé je vais m’appuyer de deux paradigmes théoriques bien connu que sont le paradigme holisme (durkheimien et bourdiosien) qui tend à formuler l'hypothèse de la primauté de la Société et donc des interactions sociales, sur les comportements individuels et donc à prouver un certain déterminisme social auquel l’individu n’échappe pas. Ou encore

au-dessus des consciences individuelles et contraignants. L'aspect collectif de ces faits est primordial: Durkheim ne considère les individus que dans leur totalité, c'est-a-dire, qu'a travers le groupe qu'ils forment en faisant partie d'une société. Cet holisme marqué a bien entendu soulevé les contestations des individualistes qui pensent que «l'individu est parfaitement autonome». Durkheim explique que les «manifestations privées» des faits sociaux ont certes quelque chose de social car elles reflètent

saisissant. Les deux chercheurs ont identifié trois principes : celui de changement permanent (la réalité se modifie en permanence), celui de contradiction (les contradictions sont omniprésentes puisque seul le changement est constant) et enfin celui de holisme (toute chose étant soumise au changement et se trouvant en perpétuelle contradiction, on doit toujours considérer chaque objet et son contraire). Le monde tel qu’il est vu par les Orientaux est un monde en transformation permanente. Le processus prime

que tous les phénomènes sociaux doivent être conçu comme agrégation du comportement individuelle. Weber fait une approche ascendante, pour lui, les phénomènes sociaux doivent être expliqué à partir de l’action des individus. Ce modèle s’oppose au holisme de Durkheim, qui fait une approche descendante, qui affirme que les caractéristiques des individus ne se comprennent que à partir du tout sociale dans lequel il s’intègre. Weber réintroduit le sujet dans le fait social et affirme qu’il ne faut pas

personnellement » - P6 postulat du calcul coûts/avantages 2) L’intérêt de la rationalité instrumentale de la TCR - Elle permet des explications autosuffisantes évitant les « boîtes noires » voire les « forces obscures » du holisme ( culture, socialisation, habitus, …) - Une perspective d’unification des sciences sociales (Becker, 1996) - Une réelle fécondité scientifique mais… 3) Des limites ponctuelles et plus générales • La difficulté

L'individu ne peut transformer sa société. Il n'est pas acteur mais simplement agent. De plus il n'est pas toujours conscient de cette socialisation car il en a intériorisé les valeurs et les normes. 2) Les faits sociaux sont des choses Le holisme, issu d'Emile Durkheim (1858-1917), consiste à expliquer des faits sociaux par d’autres faits sociaux. La société exerce une contrainte sur l’individu qui doit intérioriser les principales règles et les respecter. Les comportements individuels sont