Hollywood Bowl

Lang lors d’une pièce de Mariduise Fleisser « pionnier à Ingolstadt » dans lequel il jouait un assassin arriéré. «…Mou, infantile, presque gentil parfois, toujours inquiétant... » Peter Lorre quitte l’Allemagne en 1933 comme Fritz Lang et va a Hollywood où il se spécialise dans les rôles de maniaques et d’assassin. Il va jouer dans les mains d’Orlac de Karl Freund (allemand). Lien avec l’expressionisme allemand : début du film d’horreur hollywoodien influencés. M est double, il est le mal incarné

Klux Klan par une autre superproduction, Intolérance, qui romance notamment la chute de Baylone Création de la Paramount 1918 : Carl Th. Dreyer, jusqu’ici scénariste, réalise son premier film 1919 : Premiers films d’Ernst Lubitsch (qui rejoindra Hollywood en 1922) Création de la United Artists par Chaplin, Griffith, Douglas Fairbanks et Mary Pickford 1920 : Le Cabinet du Doceur Caligari, de Robert Wiene, marque les débuts de l’expressionnisme allemand Ce crétin de Malec, fait de Buster Keaton l’égal

que cette période située entre la fin des années 1910 et la fin des années 1950, oscille sans cesse entre une grande hétérogénéité et en même temps une cohérence remarquable. Il est vrai que l’immense diversité des films produits chaque année par Hollywood semble être un obstacle infranchissable pour toute tentative de prise en compte globale de cette période. L’intérêt majeur de ce séminaire sur le « Classicisme » relève ici d’une volonté de mettre en valeur l’altérité entre cette production hétéroclite

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Le Cinema ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- (Hollywood, Bolywood, Nolywood) ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Dans la ------------------------------------------------- Mondialisation -------------------------------------------------

« propagande » de la cause alliée. Au cours de ces quatre années, il réalise la série de documentaires Why we fight ? et Know your enemy, dont plusieurs seront primés. A son retour à la vie civile, en 1945, « c’est un Capra différent qui revient dans un Hollywood différent »[3]. L’après guerre a bouleversé le système économique cinématographique, et Capra ne peut se faire à l’idée que son concept phare « un homme, un film » soit en train de disparaitre au profit de la quantité de productions. Il fonde

Dans son autobiographie (cf. Bibliographie), Marilyn mentionne qu'elle ne savait pas qui était « cette dame rousse » (sa mère) qui lui rendait visite de temps en temps pendant cette période[12]. En 1933, elle peut vivre quelque temps avec elle à Hollywood mais en 1934, Gladys endure une nouvelle dépression et Norma Jean est placée successivement dans des foyers puis dans un orphelinat. Grace McKee, la meilleure amie de Gladys, demande en 1936 à devenir la tutrice de Marilyn, ce qui sera officialisé

le besoin de cette époque et la base de film de Frank Capra. Bibliographie 1. Olivier-René Veillon, Le cinéma américain : les années trente, Éditions du Seuil, Paris, 1986 2. Jean-Loup Bourget, Hollywood la norme et la marge, Éditions Armand Colin, Paris, 2005 3. Jean-Loup Bourget, Hollywood, années 30 : du krach à Pearl Harbor, Hatier, Lausanne, 1986 4. Frank Capra Jr., Commentaire de L’Extravagant M. Deeds, le bonus de dvd

Justification------------------------------------------------------7 2.2 Grace à quoi et à qui ?---------------------------------------------------------7 2.3 Le cinéma belge----------------------------------------------------------------8 2.4 Bollywood VS Hollywood---------------------------------------------------9 2.5 Informations générales sur l’Inde-------------------------------------------10 2.6 Impact économique du cinéma sur l’Inde----------------------------------12 2.7 Faits

en Floride. Mais vers 1910, beaucoup de producteurs quittent la Cote Est pour réaliser des films à Hollywood, un lieu inconnu dans le domaine du cinéma à l’époque. Certaines personnes affirment que ce changement de lieu de production serait dû en partie pour échapper au trust Edison. Il s’agissait d’une entreprise ayant des positions dominantes dans le secteur cinématographique. De plus, Hollywood avait encore biens d’autres qualités : climat, diversité des décors naturels, terrains à bas prix

Représentations et point de vue REPRESENTATIONS DE FEMMES NOIRES DANS LE CINEMA NORD-AMERICAIN Représenter, étymologiquement, est « l'action de replacer devant les yeux de quelqu'un ». Ce quelqu'un a donc un point de vue sur ce qui est devant ses yeux. C'est à dire qu'il voit d'une certaine manière, d'un certain angle, et peut se construire une opinion. Les représentations des femmes noires sont multiples. Souvent, hélas, on ne représente pas des individus à la peau noire, mais des figures noires