Homais Portrait

Le pharmacien Homais apparaît dans la deuxième partie de Mme Bovary, quand les Bovary s’installent à Yonville, personnage qui prendra de l’ampleur au fil du roman. I – Personnage prétentieux, pédant Jure par la science. Déiste, suit les idées de Voltaire Prétentieux : sa pharmacie nous le montre = Nom lettre dorée Dit appartenir à de nombreuses sociétés savantes Appelle son office « laboratoire » Utilise des noms complexes pour des chose simple : « Coryza » pour un simple rhume, la

réconcilier avec le ciel avant de mourir ; il devient intolérant, fanatique ; Selon Homais, l'abbé Bournisien est à contre-courant de l'esprit du siècle et ne manque pas, au sermon, de raconter la mort de Voltaire. Identité sociale : il est l'abbé de Yonville et se dit médecin des âmes ; il connait une grande difficulté de communication et est mal à l'aise avec les enfants ; il s'oppose souvent au pharmacien Homais qui est la figure du bourgeois antichrétien. Les deux types sont notamment en contradiction

cela, mais incapable de comprendre le mal dont souffre son épouse. Il n’a pas, après la mort d’Emma, de raison de lui survivre : il ne lui survit pas. Emma croit trouver mieux ailleurs : elle se trompe. Finalement, les grands vainqueurs du roman sont Homais et Lheureux. La bêtise sentencieuse du pharmacien et la cupidité sournoise du commerçant triomphent dans cette société bourgeoise. L’arsenic du premier, et l’argent que réclame le second, condamnent Mme Bovary, et ses rêves de bonheur. -------------------------------------------------

meurt en homme brisé. mr Homais L'apothicaire à Yonville; un homme pompeux, auto-impressionné de la classe bourgeoise qui aide Charles à devenir établie comme un docteur dans la ville. Homais est superficiel et très désagréable. Il aime s'entendre la conversation et ses longs commentaires sont remplis de clichés. Sa solennité peut causer le mal réel(vrai), comme quand il encourage Charles à opérer(fonctionner) sur Hippolyte à l'effet désastreux. Un homme irréligieux, Homais se dispute souvent avec

qu'elle découvre avec sa propre vie déclenche chez elle une maladie nerveuse. Son mari décide alors de s'installer dans une autre bourgade, siège de comices agricoles renommées, Yonville-l'Abbaye. Là, elle fait connaissance des personnalités locales, Homais, pharmacien progressiste et athée, le curé Bournisien, Léon Dupuis, clerc de notaire, Rodolphe Boulanger, gentilhomme campagnard. La naissance d'une fille la distrait un peu, mais bientôt Emma cède aux avances de Rodolphe. Elle veut s'enfuir avec

de Madame Bovary de Gustave Flaubert publié en 1857, car il marque la fin tragique de l'héroïne éponyme. Flaubert décrit minutieusement l'agonie d'Emma qui s'est empoisonnée à l'arsenic qu'elle a pu dérober dans l'arrière-boutique d'Homais. Lorsque Homais rapportera ce triste évènement dans le fanal, il évoquera une méprise avec su sucre glace, ce qui n'est pas sans rappeler symboliquement à la fois le gâteau de mariage et le bal (les deux évènements les plus importants de sa vie). Froid de glace du

monde enchanté qu'elle imagine existe réellement. Dès lors, son quotidien lui semble insupportable. Charles, qui endure toutes ses extravagances, accepte de déménager dans un bourg plus important, Yonville-l'Abbaye, microcosme dominé par le pharmacien Homais et le curé Bournisien. Emma croit alors trouver un exutoire à son profond ennui en la personne de Léon Dupuis, mais celui-ci quitte Yonville sans avoir osé se déclarer. Si la naissance de sa fille provoque un bref répit dans sa dépression, ce n'est

chapitre le pharmacien Mr. Homais et Charles s’entretiennent de l’exercice de la médecine, tandis que de son côté, Emma engage une conversation romantique avec Léon Dupuis, clerc de notaire et habitué de l’auberge, qui dine avec eux. Ensemble, ils se confient leurs goûts communs. L’extrait se concentre sur les discussions autour de la table, plus particulièrement sur celle d’Emma et Léon, deux personnages qui partagent les mêmes aspirations, opposée à celle de Charles et Homais. Nous verrons les différences

persiste à travers le roman. Flaubert pense donc que cela est le destin de tous les mariages, la routine et l’ennui. Mais a Yonville, nous découvrons la situation de M. Homais, lui aussi marié et semble heureux. Malgré tous, Flaubert ne pense pas pensé que le mariage amène amour : « Amour… Conjugale » voici les phrases dites pas Homais en parlant de l’amour a sa femme, le choix de détacher es deux termes fait pensé que Flaubert ne les croit pas relié. Flaubert croit donc que l’amour dans le mariage

l'enfance de Charles Bovary (son futur mari) ainsi que de son premier mariage avec une femme stricte, pas forcément belle... mais à la fortune appréciable. Lui n'est qu'un médecin de petites gens, sans grande renommée ni ambition (contrairement à M. Homais le pharmacien). Madame Bovary, c'est le titre d'une œuvre qui s'achève en nous narrant l'état d'esprit de Charles, veuf, en découvrant les tromperies d'Emma, désespéré par l'enterrement, par les dettes accumulées par sa compagne, par le futur sordide