Homais Ridicule

En premier lieu, Flaubert critique la société de son époque ; il voit noir. Ensuite, c’est au tour d’Emma Bovary de voir d’une couleur qui sera le bleu et reflétera son romantisme et enfin vient le reste des personnages dont en particulier Charles, Homais, … symboles de la bêtise humaine. Pour définir le réalisme pour Flaubert, il faut en premier lieu se pencher sur sa définition qui n’est pas si simple. Le réalisme est en quelque sorte une représentation ou imitation de la réalité, les réalistes

de son quotidien dans son village. Son apathie finit par la rendre malade. Lorsqu’Emma tombe enceinte, Charles décide de déménager dans une autre ville pour qu’elle recouvre la santé. C’est à Yonville, donc, que les Bovary rencontrent Monsieur Homais, le pharmacien de la ville, un moulin à parole qui adore s’écouter parler. Emma y rencontre aussi Léon, un clerc qui, comme elle, s’ennuie profondément dans sa vie campagnarde et aime s’évader en lisant des histoires romantiques. Lorsqu’Emma donne

hémorragie cérébrale. RESUME : Première partie : Chapitre 1 : Charles Bovary, âgé d'une quinzaine d'années, est un "gars de la campagne". Il entre en 5ème au Collège de Rouen et ses camarades se moquent de lui à cause de son air un peu ridicule. Il arrive d'un village situé entre le pays de Caux et la Normandie où ses parents se sont retirés. Son père est un incapable qui n'a accumulé que des échecs et sa mère, frustrée, reporte ses espoirs sur l'amour qu'elle a pour son fils. Charles quitte

satisfait de sa vie et qui aspire à des choses raffinées et sophistiquées dans sa vie. Flaubert utilise Homais comme un représentatif de la médiocrité de la bourgeoisie. Homais les longs discours vantards sur divers sujets qu'il croit être un expert montre sa folie. A travers les discours de M. Homais, Flaubert montre que les attitudes bourgeoises sont ridicules, nuisibles et destructives. C’est Homais qui rend Charles d'opérer la jambe d'Hippolyte, après avoir lu un article sur la chirurgie du pied

roman) *M. Homais, l’apothicaire d’Yonville (importante place dans le roman à partir de son apparition II,1, libre penseur) *Mme Homais et les enfants : Napoléon, Athalie, Irma, Franklin *Leur aide : Justin (transi d’amour pour Emma) *Mme Lefrançois, aubergiste du Lion d’or + son aide Hippolyte (a un pied bot) + la bonne, Artémise *Tellier, gérant du Café français (concurrence entre les deux établissements) *M. Léon Dupuis (clerc chez maître Guillaumin, 2e habité du Lion d’or, loge chez M. Homais) *M.

hâtifs d'un empirisme téméraire”, ou “Il n'avait pas besoin de l'appeler, car toutes les bouches de la multitude se tenaient ouvertes, comme pour boire ses paroles.” Ce discours, imprégné de romantisme, perd toute consistance et arrive à la limite du ridicule. C'est cependant à son écoute que les défenses de Emma cèdent. Elle se laisse divaguer dans son idéal du désir, croyant l'avoir enfin atteint. À la suite d'une accumulation de refus d'aide financière, Emma se retrouve dans l'impasse de l'endettement

alors que son mari y est un peu insensible. Nous allons donc observer les liens entre le comportement des personnages et les lieux qui les entourent. Développement La pharmacie d’ Homais Partie 2, Chapitre 1 (pages 148-149) « Mais ce qui attire le plus les yeux, c’est, en face de l’auberge du Lion d’or, la pharmacie de M. Homais ! Le soir, principalement, quand son quinquet est allumé et que les bocaux rouges et verts qui embellissent sa devanture allongent au loin, sur le sol, leurs deux clartés de couleur

caracterise l'existence humaine dans sa double dimension grotesque et derisoire. La peinture d'Yonville, du pharmacien Homais, superbe specimen de pseudo-savant de chef-lieu de canton, la description des comices agricoles, sont egalement bien connues pour la derision jetee par Flaubert sur la societe de son temps et la betise humaine. Dans le roman, Flaubert critique les exces et les ridicules de la bourgeoisie qui rend les gens malheureux et betes. Embleme d'une societe videe de tout ideal et rongee par

mais aussi l’apposition des mots séduisants de Rodolphe et du thème quasi animal et donc violent d’agricole, prédit la souffrance potentielle qui résiderait pour Emma dans une liaison avec Rodolphe. Guy Riegert (1992) explique ; « les…expressions ridicules du discours officiels semblent dévoiler la face cachée du discours amoureux et le réduire à ce qu’il est : l’instrument grossier d’une cynique entreprise de séduction » (66). Flaubert introduit ici une nouvelle nuance ironique définie par Gothot-Mersch

charles, la mère de charles, Madame Dubuc. | -Un narrateur, élève au collège de Rouen, raconte l’arrivée dans sa classe de Charles Bovary, un jeune homme d’alors un 15aine d’années. Tout en lui : de sa façon de se tenir, à sa façon de s’habiller est ridicule. Ce nouveau est « un gars de la campagne » et arrive d’un village reculé du pays de caux et de la normandie. Son père est présenté comme un incapable qui ne sait qu’accumuler les échecs. Il est ancien chirurgien et ne vit que pour l’argent si bien