Homéotéleute

STOP QUESTION DOIGTS PIEDS FROISSES CONTACT TALON PRETENDU VOLONTAIRE STOP JNHOMME ABANDONNE DISCUSSION POUR PLACE LIBRE STOP QUATORZE HEURES PLACE ROME JNHOMME ECOUTE CONSEILS VESTIMENTAIRES CAMARADE STOP DEPLACER BOUTON STOP SIGNE ARCTURUS. Homéotéleutes Un jour de canicule sur un véhicule où je circule, gesticule un funambule au bulbe minuscule, à la mandibule en virgule et au capitule ridicule. Un somnambule l'accule et l'annule, l'autre articule : "crapule", mais dissimule ses scrupules,

artères, à trembler au bout des doigts » (l. 44), «  Et puis il est revenu là, devant nous, presque tout de suite, crispé, déjà en train de prendre tout son poids de mort » (l. 48) → émotion d) un rythme souligné par les jeux de sonorités - homéotéleutes : «  paroi / doigts / endroits » (l.3), « chassée / tracassée / pitié » (l. 14), « épuisé là-bas, minuscule déjà » (l. 44)  - reprise de sonorités : « la vie / la vacherie », « plutôt, plus doucement » ((l. 18) 3) une langue expressive qui

» (« blanchâtre », « verdâtre ») ou encore « une sorte de ». Cependant, sous des apparences descriptives, ce texte présente les caractéristiques d'un texte poétique. II. Les caractéristiques d'un poème A) Des jeux de sonorités - Des homéotéleutes (figure consistant à répéter des finales de mots) : « noirâtre », « blanchâtre », « verdâtre » qui fonctionnent presque comme des rimes. - Des jeux sur les allitérations et assonances : En [k] : « les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent

corps du texte. Les allitérations sont nombreuses : « mes bras habitués, en étreignant ton ombre », « baiser sur cette bouche », « contour de ton corps », etc. De même, les assonances : « tant marché, tant parlé, tant couché », qui est ici une homéotéleute. Le poème tisse étroitement les mots entre eux selon un rapport musical d’écho sonore, qui contribue à faire du texte une entité parfaitement cohérente, un « objet poétique ». On peut insister sur l’allitération en [t] par exemple dès la première

qu'on puisse faire / Li faucons ne laisse l'emprise / dou change qu'il a entreprise / se sa proie prent en volant » : dans ces vers, MACHAUT évoque le fait que le faucon n'écoute pas son maître et attrape la proie qu'il a choisi. Nous avons une homéotéleute aux vers 8389 et 8390 avec les mots « volant » et « dolant ». Cette homophonie finale met l'accent sur le courroux du maître suite à la trahison de son élève. Le comte rappelle alors son faucon et le traite « felonnessement », c'est-à-dire avec

étant petite ?· Didascalie -> donne du rythme. Il reprend une auscultation qui avait déjà commencé mais qui semble ici plus approfondie par l’emploi du verbe du champ lexical médical· Accumulation de verbes d’action tous à l’impératif, homéotéleute en « é » qui rend le moment comique autant par la gestuelle que par les mots· Il termine par une interrogative directe totale surprenante et peu approprié dans le cadre d’une auscultation médicale puisqu’il s’agit d’un accident précis et anecdotique

discussion reste ouverte. 2. L’offrande à la source (strophes 1 & 2) Les deux premiers vers sont une explosion de joie et d’admiration, rendue par la multiplication des dentales, dont une allitération (« dulci digne »), et l’assonance en i et o, dont un homéotéleute (« uitro » / « mero »), et par le rythme martelé, qui isole au premier vers les deux choriambes (« Bandusiæ », « splendidior », longue, deux brèves, longue), symétriques de part et d’autre de la coupe (Cf. Nougaret, Traité, § 281), et qui multiplie

complète). À plusieurs reprises, Balzac use du procédé de | |l'accumulation ( ou climax) pour dresser un catalogue des caractéristiques de l'endroit qu'il décrit. « service, | |office, hospice » + alitération en -ice qui crée une homéotéleute dysphorique ( effet de rîme intérieur). | |L'accumulation est la plus nette à la fin du texte, le narrateur résume et conclut sa description en juxtaposant les | |adjectifs qualifiant le mobilier « vieux, crevassé, pourri... ». Ces

autonomie. À ce portrait élogieux de la dame convoitée, succède un autoportrait antithétique de Dorante : « moi qui ne suis rien, moi qui n’ai point de bien ?». L’anaphore en « moi », ainsi que la rime interne en rythme binaire qui est aussi une homéotéleute de cet alexandrin ( diérèse sur suis) avec parallélisme et deux négations. Cette question rhétorique très travaillée insiste sur la pauvreté de Dorante et fait entendre sa plainte et son pessimisme. Dans cette longue phrase à paliers on trouve

les autres et fait des essais qui ne sauraient faire des effets (Montaigne, Essais) 2) Plusieurs phonèmes différents Mon coeur jette aux échos l'éclat des noms divins (Valéry, Charmes) Un lièvre en son gîte songeait (La Fontaine, Fables) HOMEOTELEUTE (n.m): répétition d'un phonème en fin de mots (rime de la prose). Le parler que j'aime, c'est un parler simple et naïf...non pédantesque, non fratesque, non plaideresque, mais plutôt soldatesque. (Montaigne, Essais) CRITERE SEMANTIQUE SYLLEPSE