Homéotéleute

conduit pas bien les autres et fait des essais qui ne sauraient faire des effets (Montaigne, Essais) 2) Plusieurs phonèmes différentsMon cœur jette aux échos l'éclat des noms divins (Valéry, Charmes)Un lièvre en son gîte songeait (La Fontaine,Fables) HOMEOTELEUTE (n.m): répétition d'un phonème en fin de mots (rime de la prose).Le parler que j'aime, c'est un parler simple et naïf...non pédantesque, non fratesque, non plaideresque, mais plutôt soldatesque.(Montaigne, Essais) CRITERE SEMANTIQUE SYLLEPSE (de

puisque mon époux l’est (mon nez-poulet) Corneille, Horace. Et le désir s’accroît quand l’effet se recule. Corneille, Polyeucte. La cacophonie peut provenir d’un hiatus (succession de voyelles dans des syllabes différentes) : fatigué et énervé. Homéotéleute (f) [gr. homoios = semblable + teleutè = fin] : effet de ressemblance, par leur finale, de mots situés à proximité les uns des autres. (…) elle pue le service, l’office, l’hospice. Balzac, Le Père Goriot. Onomatopée (f) : terme imitant un bruit

que constituent les 3 § est en adéquation avec la masse grossière de l'enveloppe de « L'Huître ». - La beauté formelle du poème est en effet moins évidente que celle du poème versifiée. Elle est pourtant bien présente, ce dont témoignent les homéotéleutes du poème : en [ir] dans le §1 : « ouvrir », « tenir », « se servir », en [u] dans « qui flue et reflue à l'odeur et à la vue » + assonances et allitérations (« visqueux et verdâtre », etc.) + travail sur les rythmes (ex : le poème s'achève sur

puisque mon époux l’est (mon nez-poulet) Corneille, Horace. Et le désir s’accroît quand l’effet se recule. Corneille, Polyeucte. La cacophonie peut provenir d’un hiatus (succession de voyelles dans des syllabes différentes) : fatigué et énervé. Homéotéleute (f) [gr. homoios = semblable + teleutè = fin] : effet de ressemblance, par leur finale, de mots situés à proximité les uns des autres. (…) elle pue le service, l’office, l’hospice. Balzac, Le Père Goriot. Onomatopée (f) : terme imitant un bruit

Ponge (prose + poème) Figures de diction fondées sur la continuité phonique : Allitération Répétition de consonnes Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine) Assonance Répétition de voyelles « A bon chat, bon rat » Homéotéleutes Mot finissant de la même façon « Tiens, Polognard, soulard, bâtard, hussard… » (Ubu Roi) Homéoptotes Mot finissant de la même façon parce que sur la même désinence « es aultres demoulloyt les reins, avalloyt le nez, poschoyt les yeulx, fendoyt

blanchâtre », « verdâtre ») ou encore « une sorte de ». Cependant, sous des apparences descriptives, ce texte présente les caractéristiques d'un texte poétique. II. Les caractéristiques d'un poème 1) Des jeux de sonorités - Des homéotéleutes (figure consistant à répéter des finales de mots) : « noirâtre », « blanchâtre », « verdâtre » qui fonctionnent presque comme des rimes. - Des jeux sur les allitérations et assonances : En [k] : « les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent

Ponge (prose + poème) Figures de diction fondées sur la continuité phonique : Allitération Répétition de consonnes Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine) Assonance Répétition de voyelles « A bon chat, bon rat » Homéotéleutes Mot finissant de la même façon « Tiens, Polognard, soulard, bâtard, hussard… » (Ubu Roi) Homéoptotes Mot finissant de la même façon parce que sur la même désinence « es aultres demoulloyt les reins, avalloyt le nez, poschoyt les yeulx, fendoyt

nobles.] La personnification. « l’injure du temps » (l.10). La périphrase. « le fils du baron » (l. 22). Les figures de son. Assonance. « métaphysico-théologo-cosmolonigologie » (l. 26). Allitération. - Thunder-ten-tronckh. Homéotéleutes (= mots qui se terminent par le même son). « Candide écoutait attentivement, et croyait innocemment » (l. 42) Noms des personnages Thunder-ten-tronckh: Ce nom est vraisemblablement formé à partir de mots appartenant à un dialecte allemand proche

« Proêmes » de Ponge (prose + poème) Figures de diction fondées sur la continuité phonique : Allitération Répétition de consonnes Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine) Assonance Répétition de voyelles « A bon chat, bon rat » Homéotéleutes Mot finissant de la même façon « Tiens, Polognard, soulard, bâtard, hussard… » (Ubu Roi) Homéoptotes Mot finissant de la même façon parce que sur la même désinence « es aultres demoulloyt les reins, avalloyt le nez, poschoyt les yeulx, fendoyt les

la justice […] apaisait les querelles » (l.30-31) ↔ encore une fois, insistance sur sa tranquillité et sa bonté. Accentué par l'harmonie des sonorités qui souligne l'harmonie des activités, l'assonance en « ai » des V. à l'imparfait – on appelle homéotéleute la répétition d'un même son à la fin des mots d'une phrase. La suite du § qui lui est consacré (1 seul !) va ds le même sens : activités clames voire contemplatives : Un bémol : il a eu « beaucoup d'aventures » (l.34) : pas un saint ! Et idée