Homéotéleute

prospectus. C’est un texte court, chargé de draguer le lecteur, d’insister sur les aspects séduisants. Elle fonctionne comme un signal d’appartenance (capter facilement par ceux qui savent s’en servir et apprise par ceux qui ne savent pas) Homéotéleutes Ridiculise la rhétorique, répéter le signifiant « ul ». Il utilise la rhétorique de manière comique et incite le lecteur à s’amuser. Surprises Consiste à déformer le récit avec une forme, une machine. Il incite le lecteur à l’écriture de

elle recherche le sens. Herméneutique et structuralisme étant fondés sur des méthodologies fort différentes, les représentants de ces deux tendances ne manquèrent pas de s'affronter, Ricoeur et Lévi-Strauss notamment. -> Sens 90 ~Homéotéleute. Figure de diction dans laquelle on utilise des mots de même finale dans des fins de phrase ou des membres de phrase : [... ] celui [qui] joue aux dés, aux osselets, au jeu des gobelets [... ] (Saint-John Perse, Anabase)

obstrué les sentiments arrivent à la lumière. (Gaz qui poussent) Utilisation de la préposition « vers » dans « vers toi que j’ai tant aimé »  fait de la femme aimée un lieu de convergence. Reprise de sonorité en « on »  « gonflés », « siphons » Homéotéleutes « cafés », « gonflés », « fumée »  son qui évoquent par musicalité le bonheur d’une petite chanson. Conclusion Le poème offre une célébration de la vivacité créative en dépit de l’échec sentimental. La ville est le lieu du retour

sur le « signifié » : chaque genre possède ses figures spécifiques ou favorites. Les romans usent de procédés descriptifs ou allusifs comme l'analepse ou la digression, la poésie privilégie des figures jouant sur les sonorités (allitération, homéotéleute) ou les images (métaphore, personnification) alors que l’art dramatique du théâtre utilise quant à lui des figures mimant les tournures orales ou permettant de moduler l'intensité de l'action. Cependant beaucoup de figures de style sont transverses

de lutter contre les clichés, contre l’usage d’une langue littéraire stéréotypée, et de renouveler notre perception de l’émotion – d’ailleurs l’ambiguïté du style ne renvoie-t-elle pas à celle de la relation entre Marceline et Mado ? 66.  ’homéotéleute (en grec « qui finit de la même façon ») est une figure de style qui consiste en la répétition L d’une ou de plusieurs syllabes de même sonorité, en fin de vers ou de phrase. 84 Séquence 2 – FR01 © Cned – Académie en ligne Dans le

(prose + poème) Figures de diction fondées sur la continuité phonique : Allitération Répétition de consonnes Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine) Assonance Répétition de voyelles « A bon chat, bon rat » Homéotéleutes Mot finissant de la même façon « Tiens, Polognard, soulard, bâtard, hussard… » (Ubu Roi) Homéoptotes Mot finissant de la même façon parce que sur la même désinence « es aultres demoulloyt les reins, avalloyt le nez, poschoyt les yeulx

en [v] et l’assonance en [a], cette dernière étant en outre disséminée dans l’ensemble du sonnet (bâtiments, matière, ouvrages, roi, soit, miracles, art, parcs, jardins, etc.) - les effets d’homophonies finales sont encore renforcés par les homéotéleutes « agréable »/ « aimable », et « ouvrages » / « ombrages » / « visages », les léxèmes concernés étant en outre à chaque fois à la même position dans le vers. - À cela s’ajoutent les très nombreux effets sonores que l’on peut relever à l’échelle

Litotes, Métaphoriquement, Rétrograde, Surprises, Rêve, Pronostications, Synchyses, L'arc-en-ciel, Logo-rallye, Hésitations, Précisions, Le côté subjectif, Autre subjectivité, Récit, Composition de mots, Négativités, Animiste, Anagrammes, Distinguo, Homéotéleutes, Lettre officielle, Prière d'insérer, Onomatopées, Analyse logique, Insistance, Ignorance, Passé indéfini, Présent, Passé simple, Imparfait, Alexandrins, Polyptotes, Aphérèses, Apocopes, Syncopes, Moi je, Exclamations, Alors, Ampoulé, Vulgaire

(allitérations): “La grande dolicocéphale sur son sofa s’affale et fait la folle...” (T.D.D., p. 14 et 15); “La pipe au papa du pape Pie pue” (La Crosse en l’air, p. 110). b) Variations sur des retours de sonorités semblables à la finale du mot (homéotéleutes): “Les maîtres avec leurs prêtres leurs traîtres et leurs reîtres[...]” (Pater noster, p. 59). c) Les répétitions systématiques: “des mouches qui tombent comme des mouches[...]” (T.D.D., p. 8); “à chaque question qu’il se pose malgré lui le

l'altitude d'un point. Homélie : (o-mé-lie), n. f. Instruction sur l'Evangile ou sur des matières de religion, qu'on nomme aussi prône. Au plur. Leçons du bréviaire extraites des homélies des Pères, et qu'on chante au troisième nocturne des matines. Homéotéleute : n. m. Fait d’homophonie finale entre deux mots qui figurent dans une même phrase ou un même membre de phrase, le plus souvent pour produire un effet euphonique ou d’harmonie imitative. Le lourd roulement des tambours, Victor Hugo. Homilétique