Hommage féodal

sacerdoce. Sous Charlemagne ceci est tellement vrai que Charlemagne se fera appeler roi par la grâce de dieu. En ce sens, le sacre va devenir ainsi le fondement du pouvoir monarchique à partir de cette période. Même si par la suite pendant la période féodale, on aura tendance à oublier cette csq du sacre. Le roi est donc un personnage sacré, son ministère est religieux, et le roi est assimilé au prêtre, au prophète, et au martyr. On peut dire que ce roi n'appartient plus vraiment au monde des laïques

pourquoi on a choisit à la date de 987 pour fixer la fin de la dynastie des Carolingiens e le début de celle des Capétiens sachant que cette dynastie règnera en continu jusqu’à la Révolution Française. Chapitre 3) L’Europe éclatée à l’époque féodale (fin Xème-XIIIème siècles) L’évolution de l’Europe fut alors caractérisée par le morcèlement de l’autorité au sein de chaque royaume et par le développement du système seigneurial. Ni le Pape, ni le nouvel empereur ne vont pouvoir empêcher les

elle va apporter, du modèle carolingien, l’image du prince qui gouverne avec autour de lui, un conseil, un entourage de fidèles. Le déclin carolingien va léguer quelque chose à la société du 10ème siècle, va laisser de profondes traces dans le monde féodale des 10ème et 11ème siècle : le Moyen-âge va hériter d’un système très répandu sous les carolingiens ; système des liens personnels ; au temps du déclin carolingien, l’Etat recule ; de ce fait, les carolingiens ont recours à ce que l’on va appeler

L'immersion de l’Église dans la société féodale ne l'empêche néanmoins pas de poursuivre son élan religieux. Une réforme se prépare et se déploie au XIe siècle : la réforme grégorienne. Au XIIe siècle, l’Église est triomphante. Pourtant, cette situation n'empêche pas l'éclosion de mouvements hérétiques. Pour défendre leurs domaines fonciers, les clercs s'insèrent dans le système féodo-vassalique. Évêques et abbés deviennent des seigneurs, prêtant hommage aux puissants et s'entourant à leur tour

les mains de son protecteur. Il s’agit d’un acte fort de soumission personnelle et le protecteur en acceptant les mains prenait l’engagement de lui porter secours et assistance comme un père. Ce rite va persister en Europe pendant toute la période féodale par la suite. D’autre part il y avait un rite verbal, le serment de fidélité, le protégé jure fidélité à son seigneur le plus souvent sur la bible ou sur des reliques. Le parjure du protégé était puni par la damnation éternelle. Le roi carolingien

et l'approche juridique va changer. TITRE I : L'ETAT RELAYE : LA SEIGNEURIE ET LE REGIME SEIGNEURAL : INTRODUCTION : Le mot « féodalité » vient de Montesquieu qui l'a fait pénétrer dans la langue du droit, en imposant l'idée que les lois féodales caractérisent un moment de l'histoire de l'humanité. Les historiens modernes tendent à réserver ce mot à un régime propre à la période médiévale. Ce régime présente deux caractères : d'un point de vue social : la féodalité se scinde schématiquement

disparition de l’E, et le Moyen age va en hériter. L’espace se divise en petits territoires, on assiste donc a l’apparition d’une multitude de chefs locaux qui vont exercer le pouvoir. Avec la décadence carolingienne on peut dire que la Sté du MA, la Sté Féodale, seigneuriale, est en gestation, en formation. Les Francs à l’époque de leur splendeur, ont bcp légué à l’Occident médiéval. b) Francs et droit. Les rois francs, carolingiens, pour restaurer leur autorité avaient utilisé le dr. Leur rêve de dr

liens qui unissait le Mérovingien à ses leudes. La vassalité intervient en deux temps. Le vassal va se recommander au roi, il va effectuer la commendatio. Le vassal place ses mains dans celles du roi pour montrer qu’il se place sous sa protection. (=hommage au Moyen-Âge). La seconde cérémonie est un serment de fidélité, il jure fidélité au roi. Le premier exemple connu de vassal est Tassilon III, duc de Bavière, qui se recommande à Pépin le Bref en 757. Après Tassilon III, les Carolingiens vont beaucoup

territoire le roi va utiliser différents procédés : • Le procédé de droit féodal : commise du fief Le Seigneur devait prêter hommage au roi et celui-ci lui confiait un fief en échange. Le seigneur devait renouveler cet hommage au successeur mais il y a des seigneurs jaloux de leur indépendance qui perdent cette habitude. Mais dans le droit féodal, l’hommage et le fief sont liés donc en cas de rupture de cet hommage, le roi pouvait reprendre ses terres (c’est une des origines de la guerre de

constante n’est bonne que pour les ridicules» suivi par le lexique moral et juridique : « ont droit de nous charmer » (l.9), « dérober aux autres » (l.10-11), « justes prétentions » (l.11), « faire injustice » (l.16), « le mérite » (l.17); « les hommages et les tribus où la nature nous oblige » (l.19) révèlent la justification ironique de Don Juan à l’inconstance masculine, qu’ il considère comme un devoir « naturel » et une justice rendue à la beauté des femmes, habile récupération des valeurs chevaleresques