Hommage féodal

roi. Ch I : la négation de l’Etat : la féodalité : Les royautés carolingiennes et mérovingiennes vont se désagrégées au fur et à mesure que vont s’associer au sein du royaume deux principes : les liens féodaux vassaliques et l’organisation seigneuriale. 1/ Par les liens féodaux vassaliques le roi n’aura plus de soutien en son royaume, application de façon rigoureuse cet adage « le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal ». Ces écrans auront pour conséquence d’empêcher le roi d’exercer

juridiction particulière.) Les membres du clergé sont régis par le droit canonique. Les nobles ont le privilège de l’arme, c’est eux qui doivent se battre. Ils payent très peu d’impôts et les prélèvent et ils sont jugés par leurs pairs c’est-à-dire la cour féodal. Des corps distincts • Communautés des métiers, universités, monastères, marchands, serfs, etc Les universités ont parfois leur propre droit. Les monastères c'est la même chose ; c'est une sorte d'auto gestion (anarchie organisée). Dans les villes

libre. § 2 seigneurs et vassaux A coté des vilains, les chevaliers constitue l’autre groupe sociale sous la coupe des seigneurs. Les chevaliers étaient à l’origine des paysans libre. Le lien de dépendance est différent. Il s’agit ici du lien féodaux vassalique, certains de ces éléments de ce lien existaient déjà mais précisé au 11ème siècle. A la vassalité Elle résulte d’un contrat, dans lequel le chevalier s’engage en la dépendance d’un autre homme, le seigneur. 1 Contrat vassalique :

ravit partout où je la trouve et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne » 3. La nature est la valeur nouvelle qui se substitue aux valeurs aristocratiques. « Les hommages et les tributs où la nature nous oblige » 59. Cette phrase révèle la référence morale du séducteur. « Hommages et tributs » sont des termes qui appartiennent au langage de la conquête guerrière que la classe aristocratique menait. L’hommage désigne l’acte par lequel le vassal se déclarait l’homme de son

minimise l’influence des invasions germaniques. Elles considèrent que la société à conserver la plupart des institutions germaniques qui ont évolué ensuite vers le régime féodal. Pour la deuxième école les germains ont eu une influence secondaire, et aurait gardé les institutions romaines qui auraient évolué vers le régime féodale. En réalité on peut noter que le monde franc a adopté les institutions que les germains pratiqué avant les invasions. Par exemple en matière militaire ou judiciaire qui sont

pouvoir absolu. Cette situation dure jusqu’en 1333. Elle correspond à ce qu’on appelle dans l’histoire du Japon, la « période de Kamakura ». Au milieu du XIIe siècle, la plupart des guerriers se trouvent ainsi liés aux deux grandes familles. Ce système féodal est fondé sur la loyauté personnelle. C’est alors qu’apparaît le guerrier gentilhomme : le samouraï. III. Histoire A partir de 1333, les querelles de succession pour le Shogunat perturbent l’ordre et les Daimyo (chefs de clan) prennent à leur tour

31 articles formulés par André Le Chapelain dans son opuscule Tractatus de Amore (Traité de l'Amour, 1184), qu'une idéologie mystique qui place l'amour au sommet de toutes les lois sociales et religieuses. Une conception de l'amour issue du modèle féodal : la dame suzeraine L'amour courtois n'est ni libertinage, ni passion brutale, il est presque une ascèse pour le chevalier, qui doit, pour mériter la femme qu'il aime, se soumettre entièrement à elle. La dame est suzeraine, le chevalier est son vassal

des unités lexicales qui disparaissent,parce que les choses et les notions qu’ils expriment,n’existent plus : Par ex. arbalète f. (arme de trait ,arc d’ acier monté sur un fût ); seigneur m. ( propriétaire féodal );vassal,e n. ( personne liée à un suzerain par l’ obligation de foi et hommage, et qui lui devait des services personnels ), etc. Les historismes n’ont pas de synonymes qui pourraient les remplacer dans la langue moderne.On les trouve dans ouvrages traitant de l’ histoire du pays ou bien

Seigneuries, entités politiques de taille réduite et totalement autonomes dont la puissance est symbolisée par le Château Féodal. {text:soft-page-break} Corrélativement les liens entre personnes ont pris le pas sur les règles publiques. Le fonctionnement de la société est désormais basé sur un réseau de fidélités, le Seigneur alloue un Fief à un Vassal qui lui rend hommage et se tient à son service, le processus se poursuit jusqu'au bas de l'échelle sociale où se trouvent les Serfs qui constituent

personnalité juridique. Il est donc considéré comme homme et non une chose, lié par un contrat à une autre personne. Il appartient pas au maitre mais il est attaché a sa terre dont il ne peut être chassé. tiroir 2: historique général. = la société féodale est une société chrétienne dans laquelle le savoir est détenu exclusivement par les clercs, la pensée chrétienne a façonné l'organisationsociale selon une image tirée du nouveau testament = la société assimilé au corps humain = tous les membres du