Homo sapiens sapiens

appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. Problématique : Un trait semble caractériser de manière universelle, au moins depuis l'apparition de l'homo sapiens, l'humanité: toutes les cultures associent un

est vécu comme une pression, l’homme risque de devenir étranger à lui-même, de se sentir dépossédé. Une telle vision exclut la fonction " réalisante " du travail : l’homme se réaliserait par son travail. L’homme n’est pas seulement homo sapiens, il est aussi homo faber. Comme action sur la nature, le travail est avant tout productif. L’idéal est un travail conciliant passion, plaisir et métier. Quand il est heureux dans son travail, l’homme a l’impression d’exister pleinement. Pour Hegel, le

création artistique traduisant la sensibilité, la beauté, les sensations n'aurait en fait pas d'utilité pour l'humanité, et que celle-ci pourrait finalement s'en passer. Pas si sûr... Au commencement fut le verbe et avec lui le langage. Homo sapiens sapiens, dans le but de passer des émotions ressenties, des connaissances acquises et diverses informations, créa à partir de signes et de sons codifiés la communication humaine et ses divers avatars : les langues humaines. Ces outils d'échanges

paléo-anthropologue du CNRS, Anne Dambricourt-Malassé, propose une explication de l'évolution qui refuse de laisser le rôle dominant au Hasard[]. Une polémique a d’ailleurs eu lieu dans le monde scientifique, suite à la diffusion en 2006 du documentaire Homo sapiens - une nouvelle histoire de l'homme de Thomas Johnson. Interviewée dans ce film, Anne Dambricourt-Malassé refuse comme moteur de l'évolution le rôle exclusif de la sélection naturelle et de l'adaptation au milieu ; elle prétend que l’origine de

excès : « Cire vierge » et « Fatalité génétique » à partir d’un texte extrait du Monde de F. Jacob : à préparer chez soi. • Les limites de l’approches culturaliste. • Déterminisme social et atypiques. Culture et Protoculture. • Transition : Homo faber et homo sapiens: la conscience, le temps et la mort. 

milliers d’années, depuis un Hominidé indéterminé. Ce début varie selon les chercheurs en fonction des critères utilisés pour définir l’Homme, qui peuvent être anthropologiques, culturels voire philosophiques… Le genre Homo apparaît avec Homo rudolfensis (-2,9 Ma[2]) puis Homo habilis (-2,4 Ma), deux espèces qui ont coexisté en Afrique de l’Est. Ces deux espèces avaient adopté une locomotion bipède et produisaient probablement des outils, deux traits qui ont longtemps été considérés comme propres

technicienne. La fabrication d'outil suppose l'intelligence mais sa fonction n'est pas théorique mais bien pratique. Ce n'est donc pas tant d'être homo sapiens qu'homo faber qui définit l'homme. La théorie bergsonienne opère donc un retournement complet de l'opinion commune en affirmant que si l'être humain est homo sapiens c'est dans la mesure exacte où il est homo faber (« homme fabricateur d'outils », « homme technicien »), càd qu'il connaît pour agir par la technique sur son environnement. L'intelligence

l�argent, le mariage, la dot, etc. Dans les comédies de Molière, le rire a aussi une fonction morale : docere et placere => plaire et instruire. * homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la

continent. Il aurait évolué de l’Homo Sapiens archaïque et aurait par la suite émigré d'Afrique pour remplacer progressivement les autres populations humaines dans le monde. De même, tous ses prédécesseurs, à commencer par les premiers représentants du genre Homo (la branche biologique de l’Homme), auraient aussi vu le jour en Afrique : les Homo Habilis, puis les Homo Rudolfensis, ensuite les Homo Eragster qui vont parcourir le monde tout en engendrant les Homo Erectus. Preuve en est : les nombreux

diversification on doit donc repousser apparition de la bipédie à 4 ou 5 millions d'années. 3) Evolution du genre Homo : Critère majeur Hominisation = développement boîte crânienne (volume, menton, réduction arcade osseuses) et cerveau de plus en plus performant grâce à une meilleure irrigation vers celui-ci. Premiers voyageurs du genre Homo = Homo erectus (cohabite avec Homo habilis) Entre 1m60 et 1m80, bassin court, volume crânien important face réduite, premiers outils Coexistence