Homo sapiens

entre l’homme et le monde ». Et, pour Edgar MORIN : « … nous avons quelque chose qu’on peut appeler l’esprit-cerveau lié et récursif puisque l’un coproduit l’autre […] surgit à partir d’une évolution biologique, via l’hominisation, jusqu’à homo sapiens ». Tandis que Antonio DAMASIO avec sa théorie des marqueurs somatiques lie raison et émotion : «… le début de la conscience est le ressenti d’un état de l’organisme » . Ces positions réfutent la séparation radicale esprit/matière en les liant

Il y a deux théories principales des origines de la population humaine de la planète :    ● La théorie​  qui recueille le plus de suffrages est celle ​ de la souche unique,​  dite "Out of Africa"  (​ voir cette carte​ ),  selon laquelle tous les hommes proviendraient du même Homo Sapiens africains  dont l'origine a pu être retracée par l'ADN. Cet ancêtre unique aurait quitté l'Afrique il y a environ  100 000 ans et ensuite émigré dans toutes les parties de la planète.    ● La   théorie  pluricentriste  (dite  du  "candélabre") 

vient de deux mots grecs, anthrôpos qui signifie homme (au sens générique) et logos qui signifie "spécialité", étude (ou science). Cette discipline vise particulièrement les faits anthropologiques, c'est-à-dire qui sont spécifiques à l'homme (comme homo ou anthrôpos) par rapport aux autres animaux : langages articulés et figuratifs, rites funéraires, politiques ou magiques, arts, religions, costumes, parenté, habitats, techniques corporelles, instrumentales, de mémorisation, de numération, de représentations

au-delà de 3 par exemple. Mais il y a la possibilité pour tout homme d’apprendre à compter, une capacité qui existe aussi chez les grands singes. Cette capacité peut être développée avec l’accès aux symboles. Organes naturels >< outils artificiels Homo faber : l’homme se distingue des autres êtres car il peut « faire » : des outils notamment.  On y oppose l’animal qui se sert d’organes naturels. Mais cette conception est abandonnée. Des animaux utilisent des outils : des insectes utilisent des pierres

 L’homme est un être inachevé et il a donc besoin d’éducation. L’humanité de l’homme n’est pas immédiatement donnée mais elle se construit et s’acquiert tant au niveau de l’individu que de l’espèce. Nous sommes biologiquement des homo-sapiens mais notre humanité c’est à dire la dignité humaine est au-delà de la stricte biologie. L’éducation construit donc notre humanité, l’humanité de l’homme se transmet, or le propre de l’éducation est de transmettre une culture qui est celle des prédécesseurs

connaissances ? 10 Optimisation des documents 10 Gestion électronique documentaire 11 Conclusion 12 Bibliographie 13 Résumé 14 Introduction « Que serions nous de nos ancêtres sans les peintures rupestres illustrant la vie des Homo sapiens ou la pierre de rosette qui a permis à Champollion de traduire les hiéroglyphes ? », selon O. BOUTOU (1). Nous avions là les premiers qualiticiens de l’époque qui souhaitaient laisser une trace de leur façon d’exister, de faire et d’être. La gestion

caractères propres, ses propriétés, lui permettant d’être classée dans un certain groupe en fonction de ces mêmes critères. Nous pouvons de ce fait comprendre l’existence du groupe humain, désignant tous les êtres vivants appartenant à l’espèce Homo Sapiens, se distinguant physiologiquement par la bipédie, la pilosité beaucoup moins dense que celle des autres primates, le volume important du cerveau et bien d’autres critères encore. Or, chez l’homme, tout comme chez un grand nombre d’espèces végétales

appartient à tous les hommes (sauf accident) et rien qu'à eux. Mais il faut d'emblée distinguer ce qui est propre à l'homme en tant qu'animal et ce qui est propre à l'homme en tant qu'homme. En effet, comme toutes les espèces animales, l'espèce humaine (Homo sapiens) présente des traits qu'elle partage avec tous les vivants (naître, se nourrir, mourir), avec certains animaux (avoir des dents, une boîte crânienne), et des traits qui lui sont propres (avec telle dentition, telle boîte crânienne). Il reste que

Les enfants privés trop tôt de tout commerce social, - ces enfants qu'on appelle "sauvages" - demeurent démunis dans leur solitude au point d'apparaître comme des bêtes dérisoires, comme de moindres animaux. Au lieu d'un état de nature où l’homo sapiens et l’homo faber rudimentaires se laisseraient apercevoir, il nous est donné d'observer une simple condition aberrante. (...) A la vie close, dominée et réglée par une nature donnée, se substitue ici l'existence ouverte, créatrice et ordonnatrice

Est-il souhaitable que les hommes se soumettent en tout à la souveraine raison ?Définitions souhaitable : Qui peut être désiré, voulu, recherché. homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la