Homosexualité Déviance

planète en consomment. Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer les raisons qui poussent les gens à consommer de la marijuana. Howard Becker, un sociologue (et jazzman professionnel), dans son ouvrage intitulé, Outsiders : étude de la sociologie de la déviance, édition médaillée, (1985), tente d’analyser cet état de fait. Mon travail consiste à résumer les aspects principaux du troisième chapitre, qui se concentre sur la "carrière" des fumeurs de marijuana, du débutant à l’expérimenter. En gros, le questionnement

Popper, PUF, Coll. Questions, 1994, 242 p. P. BAUDRY, C. BLAYA,M. CHOQUET, E. DEBARBIEUX, X. POMMEREAU, Souffrances et violences à l’adolescence. Qu’en penser ? Que faire ?, Ed. E.S.F., 2000, 161 p. H.S. BECKER, Outsiders. Etude de sociologie de la déviance, PUF, 1985, 247 p. J. BERGERET, La personnalité normale et pathologique, Ed. Dunod, 1978, 33 p. Criminologie – Robert 4 CARIO – 2008-2009 A. BERISTAIN, Protagonismo de las victimas de hoy y manana, Tirant Lo Blanch, 2004, 398 p. J.C. BERNHEIM

déviant; transgresser une règle qui a force de loi c’est être délinquant. Sont qualifiés de déviants les comportements qui s’écartent des normes sociales dominantes dans un groupe de référence (cette déviance peut-être le fait d’un individu comme d’un groupe - sous-culture). Analyser les comportements de déviance demande d’établir une grille de lecture (attitude commune à l’ensemble des sciences sociales). Pour simplifier deux types d’analyses s’opposent: • les analyses qui reposent sur le déterminisme:

vont dans un premier temps se poser la question de la pression vers la déviance et le résultat de celle-ci. Ce qui nous amène à faire un lien avec Robert K. Merton et sa théorie de l’anomie. Ils vont ensuite s’intéresser aux normes de conduites dans les bandes délinquantes, ce qui les conduira à mettre en place une typologie des sous-cultures. Cloward & Ohlin ne cherchent pas à faire une théorie générale de la déviance contrairement à Merton, Cohen ou beaucoup d’autres. Celle-ci reste relativement

La montée de la déviance est-elle révélatrice d’un défaut d’intégration sociale ? L’idée d’une montée de la déviance (Définir ce qu’on appelle « déviance» et ses différents degrés, en particulier la délinquance) semble communément admise : on serait dans une société de plus en plus dangereuse, idée martelée par les médias, et reprise par les hommes politiques. Question principale : la montée de la déviance s’explique-t-elle par une moindre insertion de l’individu dans la société, c’est-à-dire

intéressant en ce qui concerne les dysfonctions. Si le dysfonctionnement est poussé à l’anomie2, c’est-à-dire que si un individu se doit de contourner des moyens légitimes d’action pour arriver à des objectifs légitimes,3 alors il y a une certaine déviance sociale de cet individu. Cette action peut menacer le maintien du système en annonçant des changements ou des crises. Mais cette approche reste minimaliste, du sens où avec un contrôle social efficace des institutions, l’élément perturbateur sera

Le terme de déviance utilisé dans le texte outsiders qui désigne le domaine de la vie sociale a un sens plus large que celui de délinquance dans la sociologie américaine. Les personnes qualifiées de déviantes sont celles qui transgressent les normes acceptées par tel groupe social ou telle institution. L’important pour Becker c’est de se demander ce que l’on qualifie de déviant Becker donne deux sens au terme outsider. Tout d’abord outsider signifie étranger au groupe : Les groupes sociaux

adapté, et donc refuser son intégration. Cette situation provoque ce sentiment de haine de sois. En tenant le groupe comme responsable de sa non-intégration l’individus dénigre le groupe, mais également, s’auto-accuse et donc se marginalise. La déviance - Les individus qui s’écartent des normes et valeurs sont considérés comme des déviants. Quelles sont les réactions d’un individu déviant ? Les individus qui se savent non conformes aux normes du groupe, vivent dans une situation anxiogène

------------------------------------------------- CHAPITRE 3 ------------------------------------------------- CONTRÔLE SOCIAL ET DEVIANCE I – Le contrôle social A – Définition Le contrôle social est l’ensemble des sanctions positives ou négatives que s’attire un individu selon qu’il transgresse les normes ou qu’il s’y conforme. Il y a des sanctions diffuses, qui ne sont pas prévues d’avance : positives (médailles en concours) ou négatives (humiliations). Il y a des sanctions formelles

Sociologie clinique Bergeret : le normal et le pathologique. « Le normal » : qu'est-ce que c'est ? Différentes approches de la normalité C'est une pression qui s'exerce sur l'individu. La définition de la normalité existe bel et bien. Lecture de la normalité (approche différente de la normalité) Critères de la normalité : 1. La normalité comme concept statistique. (Exemple : courbe de Gauss, notion d’écart, de moyenne). Ici on met une frontière car ceux qui sont aux extrémités sont anormaux