Honneur

atteint dans son honneur *introduction du perso après avoir préciser que "le rôti manqua"L.8 et par contraste elle utilise un mot fort: "cela saisit Vatel". -> paroles de vatel au style direct = + présent. paroles référence à l'honneur= champs lexical "honneur", renforcé par "affront" et "réputation". * emploie de la négation dans les propos de Vatel, emploie du futur qui annonce a fin de Vatel. Cette idée de mort est commune au 17ème siècle. C'est un moyen de venger son honneur. Au 17ème siècle

suscite car deux dramaturges rivaux de Corneille l'accusent de plagiat et d'avoir enfreint la règle des trois unités. Cette pièce raconte comment Don Rodrigue, un jeune noble de la cour d'Espagne et amant de Chimène doit faire un choix entre amour et honneur. Nous allons étudier la scène 4 de l'acte III (v. 905-1000). Rodrigue s'introduit chez Chimène afin de lui donner la possibilité de venger la mort de son père. Par un dialogue très animé, Rodrigue essaie tant bien que mal de convaincre Chimène

s’appelle-t-il le garçon qui voit l’homicide du commissaire ? a) Ben b) Julius c) On ne le sait pas 4) Pourquoi la petite fille s’appelle Verdun ? a) En honneur du père b) En honneur du grand-père c) En honneur d’un ami 5) Quel est le travail de Benjamin ? a) Journaliste b) Bouc émissaire c) Magasinier 6) Pour qui travaille principalement Pastor ? a) Cercaire

dans le palais royal, de Don Fernand : le Roi qui veut mettre de l'ordre et mettre à la raison tout ce qui se passe. L'infante : c'est la fille du Roi. Don Gomès : c'est un Comte et le chef des armées. Parvenu à la force de l'âge et au sommet des honneurs, se croit indispensable à l'état et ne tolère aucune atteinte a son prestige. Il est le père de Chimène. Don Diègue : il est plus âgé que Don Gomès, il est vieux, il a beaucoup d'expériences. Le Roi l'a choisi comme gouverneur à son fils. Il est

prouve en demandant au roi, la mort de Rodrigue, celui qu’elle aime tant. On comprend alors que Chimène n’a jamais eu le choix elle doit laver son honneur bafoué pour être digne de Rodrigue. Le problème est que pour retrouver la face, il faut que Rodrigue meure. Je pense également que Chimène n’a jamais eu le choix, elle devait faire passer son honneur avant le reste. Car elle se devait de laver l’affront qu’elle a subit lorsque Rodrigue a tué son père. Mais même si le devoir doit avoir la priorité

taire (1329), couvrir (1342), cacher ( 1345), cacher (1346), cacher (1361), cacher (1408) - « La noblesse » et « l'honneur »: honneur (1335), trône (1369), Seigneur (1376), honneur(1380), honneur(1381), ma gloire (1385), Seigneur (1385), gloire (1385), noble (1387), princes (1393), temple (1394), roi (1407), Prince (1407). 7.3. Figure de style: -(1335) antithèse :honneur <-> reproche honteux -(1337) la phrase se termine en plein milieu d'un vers, enjembement? -(1350) métaphore: horrible

l’honneur et de l’amour. * Métaphore de la blessure « percé », « il me tue » * « Contre mon propre honneur, mon amour s’intéresse » : Parallélisme qui met en valeur le dilemme, l’opposition, le tiraillement. Les conjonctions de coordination viennent appuyer la notion de dilemme. * Chiasme « mon père est l’offensé, et l’offenseur le père de Chimène » * Paronomase : honneur, bonheur qui accentue le dilemme B. Progression de l'argumentation * Son monologue l’achemine vers

Situation de Rodrigue Père, maîtresse, honneur, amour, Noble et dure contrainte, aimable tyrannie Tous mes plaisirs sont morts, ou ma gloire ternie. Premier vers : Identité des partis qui s’opposent Au moyen de deux antithèses, Rodrigue présente les deux partis entre lesquels il est déchiré. La première oppose les figures incarnant son dilemme, son « père » et sa  « maîtresse », la deuxième les valeurs qu’elles représentent, soit respectivement, l’« honneur » et l’« amour ». Or, les deux figures

« s'ensevelir... être mort » → Dom Juan évoque la mort pour qualifier l'acte de fidélité qui conduit à l'ennuie et à la mélancolie. Le fait d'être enfermé dans un quotidiens lassant et rythmé de gestes coutumiers. Outils 2 : termes péjoratifs « faux honneur » « des ridicules » → Dom Juan critique les hommes fidèles qu'ils trouvent hypocrites, et stupides. Il démontre que ces hommes ne cherchent qu'à prouver qu'ils sont honnêtes et bon, tandis que l'acte même de fidélité et repousser au second plan comme

dignités sont les marques de la première servitude, lorsqu’on ôte aux grands le respect des peuples, et qu’on les rend de vils instruments du pouvoir arbitraire. Il se corrompt encore plus, lorsque l’honneur a été mis en contradiction avec les honneurs, et que l’on peut être à la fois couvert d’infamie et de dignités. Il se corrompt lorsque le prince change sa justice en sévérité ; lorsqu’il met, comme les empereurs romains, une tête de Méduse sur sa poitrine ; lorsqu’il prend cet air menaçant