Honneur

promise a offensé son père en le giflant. Il vient alors de charger son fils d’y remédier étant trop âgé pour venger son honneur par un duel ,l’honneur étant la vertu capitale du XVIIéme siécle. Rodrigue doit donc faire face à un dilemme tragique : sauver son honneur en tuant Don Gormas mais perdre alors Chimène ou préserver son amour en renonçant au duel mais alors perdre son honneur, Comment choisir entre l’honneur et l’amour ?Comment s’exprime le dilemme de rodrigue ? Cela laisse donc place à un

future a l'inverse des autres qui sint pour la victoire dans le présent. 3 : l.38 il y a un honneur dans la revolution, il refuse d'être un meurtrier. 3)des valeurs qui s'opposent -Valeur d'humanité : la liberté ne peut passer que par la révolution -valeur de stepan : il faut guérir les maux a long terme -valeur de liberté : -Valeur de l'innocence -valeur d'honneur:stepan : pas d'honneur K. : honneur Une scéne révélatrice 1)de personnalité des différents protagonistes Stepan :-didascalies

Ouvertures - Majeure cinquième - Meilleure mineure - 2 Majeur faible - 2§ fort indéterminé - relais à 2¨ - 2¨ forcing de manche - 1 SA 15 - 17,5 H Texas et Stayman - 2 SA 20 -21 H Texas et Stayman Ouvertures de Barrage - 3¨ / 3§: 7 cartes par 2 gros honneurs (en 1ère et 2ème position). - 3ª / 3©: plus souple qu'en mineure. - 3 SA: Mineure 7ème affranchie sans reprise de main extérieure Interventions du joueur N°2 - Cue-bid en jump d'une majeure demande un arrêt pour jouer 3 SA. - Les jump sont faibles

| | | |Contre mon propre honneur mon amour s’intéresse: | | |

non seulement de meurtre , qui est une atteinte à son statu en tant qu'homme mais en plus de meurtre sur un roi par félonie et là c'est une atteinte suprême à son statut de chevalier. On va voir que les femmes vont lui permettre de reconquérir son honneur puisque c'est avec les femmes que Gauvain montre ses qualités d'homme courtois. Un des épisode les plus importants, c'est le tournoi de Tintagel,, Gauvain y fait une halte avant son rendez-vous avec Guiganbrésil où Gauvain fait la rencontre des

rédigé par Tacite est un extrait de ses annales, rédigées vers la fin de sa vie (109). C’est un texte de nature historique qui nous montre l’ouverture d’esprit des romains et notamment de l’empereur quant à l’acquisition de la citoyenneté et des honneurs par les peuples faisant partis de l’empire romain (un des peuples de la Gaule dans cet exemple). Le second document, quant à lui est un extrait du phamplet rédigé par Sénèque s’intitulant Apocoloquintose du divin Claude ou « La transformation

dedans la rêverie ? L' INFANTE Non, je veux seulement, malgré mon déplaisir, Remettre mon visage un peu plus à loisir. Je vous suis. Juste ciel, d'où j'attends mon remède, Mets enfin quelque borne au mal qui me possède, Assure mon repos, assure mon honneur. Dans le bonheur d'autrui je cherche mon bonheur Cet hyménée à trois également importe ; Rends son effet plus prompt, ou mon âme plus forte. D'un lien conjugal joindre ces deux amants, C'est briser tous mes fers et finir mes tourments. Mais je tarde

Messieurs les jurés, messieurs les juges, votre honneur, permettez-moi de vous présenter la personne que je suis charge de défendre. Tout d'abord, il s'agit d'un jeune homme ne et grandi dans la misère, orphelin des 12 ans. Il a prit son père comme modèle qui volait pour subvenir les besoins de sa famille. Claude grandi dans le mépris des lois. Pour lui, voler du pain était le droit de tout un chacun et surtout pour un affamé comme lui. Messieurs les jures, pouvez vous imaginer une peine de 8 ans

troisième fois le trône, décide qu’on attribuera tout les honneurs à Etéocle qui a su défendre et protéger la ville et on jettera la dépouille de Polynice aux rapaces, qui aux yeux du royaume n’est qu’un voyou. Seulement Antigone, la sœur des deux défunts ne tolère pas qu’on attribue tout les honneurs à l’un et qu’on insulte l’autre. Elle décide donc de remplir son devoir familial envers Polynice. Pendant qu’Etéocle est enterré avec tout les honneurs, de façon divine et royale, Polynice est jeté dans une

créature peut souffrir ». Elle est prête à partir, à laisser ses enfants pour se repentir de sa faute, mais l'amour que son fils Jean lui porte est bien trop grand pour qu'il accepte d'abandonner sa mère. Elle continue donc à vivre, sans bafouer son honneur. Elle est la mère des deux héros. Âgée de quarante-huit ans, c'est une belle femme que le temps a peu marquée : « Mme Roland, une femme de quarante-huit ans et qui ne les portait pas ». La description que l'auteur nous fait d'elle est très positive