Horace Acte V Scène Iii

nom de monsieur de la Souche. Dès le premier acte cependant, Arnolphe apprend que sa jeune promise a rencontré un jeune homme qui lui a fait la cour. Ce jeune homme qui n’est autre qu’Horace (un ami de longue date d’Arnolphe) raconte en détail ses visites secrètes à la jeune dame. Comme on le comprend très vite, Horace ignore qu’Arnolphe est Monsieur de la Souche, homme qui veut se marier avec la dite Agnès. Ainsi se met en place un jeu de scène où Horace raconte, à chaque fois, ses mésaventures à

pièce en cinq acte et disposé en vers, qui parut en 1663. C’est une comédie de genre théâtrale. Elle appartient au classicisme. Il y a plusieurs personnage. Arnolphe est le tuteur d’Agnès et veut l‘épouser. Il a une idée bien précise sur l’éducation des femmes et veut élever Agnès dans l’ignorance. De plus, c’est un personnage d’un certain âge. Agnès est la protégé d’Arnolphe. C’est une belle jeune fille, naïve douce et gentille. Elle obéit a Arnolphe et aime Horace. Horace est un jeune

Discussion et analyse de L'école des femmes • Moments forts de la pièce interpretée à la Comédie française (le Français) • 1ère scène entre les domestiques (2'41) • citations au cours de la pièce (1'44) • Extraits Acte III scène 2, Acte III scène 4, ActeV, scène (3'12) • Extraits ActeII, (2'35) • Extraits Acte III scène 2, Acte V Scène 4 & 5 (3'31) La question du mariage au XVIIème siècle Comme dans toutes ses autres pièces, l'enjeu de L'école des femmes est le mariage

charge féministe plutôt moderne : l’intrigue prouvera que même en enfermant une jeune fille loin du monde, de la morale, des êtres et de la connaissance, celle-ci trouvera la force de l’amour véritable et réussira à s’échapper des pièges tendus. La scène présentée exprime parfaitement le mélange de comique et de pathétique qui fait la particularité de la pièce : Arnolphe va « souffrir en damné », mais il l’a bien cherché, car la cause de sa souffrance est l’ingénuité et la naïveté dans laquelle il

laissant mourir. *Résumés : -Acte I : 5 scènes Hippolyte est le fils de Thésée et d’une Amazone. Il compte quitter la ville de Trézène et le confie alors à son confident, il lui explique que cette idée lui vient afin de pouvoir fuir l’amour qu’il porte pour Aricie qui est l’héritière d’un clan ennemi de Thésée. Phèdre est l’épouse de Thésée et avoue à sa confidente, Oenone, la passion qu’elle a pour son beau-fils Hippolyte. Thésée meurt à la fin de l’acte. -Acte II : 6 scènes Lorsqu’Aricie dévoile

CORNEILLE, Horace [ CORNEILLE, Horace [1640], acte III, scène 1 – Approche rhétoriqueSITUATION - De l’œuvre  : Horace fait partie des tragédies les plus célèbres de Corneille (1606-1684) ; après avoir remporté un grand succès avec L’Illusion comique (comédie baroque, 1636) et Le Cid (tragi-comédie, 1636), Corneille donne successivement

| Passage clé [pic][pic][pic] Scène 4 « Propos sur la mariage » : tel pourrait être le titre de cette scène où s'oppose la conception des précieuses et le bon sens de Gorgibus. SCÈNE 4. GORGIBUS, MAGDELON, CATHOS. GORGIBUS. Il est bien nécessaire vraiment de faire tant de dépense pour vous graisser le museau[pic]. Dites-moi un peu ce que vous avez fait

Objet d’étude : La tragédie et la comédie au XVIIe siècle : leclassicisme Rappel du sujet En procédant à une lecture analytique de la scène 6 de l'acte IV de L'École des femmes, vous répondrez à la question suivante : Montrez que l'intérêt de ce récit n’est pas uniquement dramatique. Vous réaliserez une lecture analytique de ce texte en suivant point par point « la Méthode à suivre » qui vous indique comment l'organiser. Vous développerez votre étude en suivant trois axes de

envisage d'épouser sa pupille, Agnès, qu'il a fait élever, dès l'âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction : De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte Alain et Georgette, les serviteurs, sont réprimandés pour avoir permis à un jeune homme de rencontrer sa pupille. Arnolphe interroge Agnès afin de savoir ce qui s'est passé lors de cette entrevue, et la teneur de leurs

début des années 1640, il aurait fallu qu’à l’acte IV, scène 5 « cette fille désespérée [Camille] voyant son frère l’épée à la main, se fût précipitée dessus ; ainsi elle fût morte de la main d’Horace, et lui eût été digne de compassion, comme un malheureux Innocent »1. De plus, il importait par la suite que « Valère cherche une plus noble voie pour venger sa Maîtresse [Camille] ; et nous souffririons plus volontiers qu’il étranglât Horace que de lui faire un procès »2. Il s’agissait donc à la