Horemheb

revenir à Thèbes, de rétablir le culte d'Aton et même de corriger son nom de "celui qui plaît à Aton" en "celui qui plaît à Amon" ; il mourut peu après. La succession de Touthankamon échut à un fonctionnaire âgé nommé Aÿ. Elle revint ensuite à Horemheb (~1340 - ~1320), général des armées et 1° conseiller des derniers rois de la XVIII ème dynastie. Pour complaire au clergé d'Amon, il donna un caractère de violence à la réaction contre le disque Aton, commencée pacifiquement sous Touthankamon et

OD ‘la vida’ que es el elemento móvil (y llega a ser posesión) en una construcción pronominal: “Del mismo modo que el Nilo se lleva la vida y trae la muerte, también trae y se lleva la derrota y las victorias de los pueblos. Así regresó Horemheb a Tebas y toda la población se revolucionó con su llegada.” (Párrafo 73) Mediante el pronombre reflexivo ‘se’ se expresa la dirección del desplazamiento: es un desplazamiento hacía el Nilo mismo. Más que una meta o una dirección, como en

el-Amarna, de nos jours) et fait la sourde oreille aux affaires étrangères tout absorbé qu'il est par sa nouvelle religion et son style artistique. Après sa mort, le culte d'Aton est rapidement abandonné et les pharaons ultérieurs Toutânkhamon, Aÿ et Horemheb effacent toute référence à l'hérésie d'Akhénaton, maintenant connue comme l'époque amarnienne[46]. Vers -1279, Ramsès II monte sur le trône et continue à construire plus de temples, à ériger de nouvelles statues et obélisques et engendre plus d'enfants

el-Amarna, de nos jours) et fait la sourde oreille aux affaires étrangères tout absorbé qu'il est par sa nouvelle religion et son style artistique. Après sa mort, le culte d'Aton est rapidement abandonné et les pharaons ultérieurs Toutânkhamon, Aÿ et Horemheb effacent toute référence à l'hérésie d'Akhénaton, maintenant connue comme l'époque amarnienne47. Vers -1279, Ramsès II monte sur le trône et continue à construire plus de temples, à ériger de nouvelles statues et obélisques et engendre plus d'enfants

l'Antiquité, Paris, Sirey, 1967, p. 68) ». Cette mission royale est qualifiée très justement par J.-Cl. Génin de « fonetion prophylaetique13 » . n s'agit-là d'une prophylaxie sociale qui s'épanouit sous les règnes de certains rois réformateurs tels Horemheb ( 1339 -1320 av. J.-C. ), Bocchoris dont on connaît l'œuvre sociale grâce à Diodore de Sicile14 ( 720- 715 ), Hamasis15 ( 568 - 516 ) dont les historiens grecs ( Hérodote, Thucydide, nous ont laissé des portraits légendaires. Enfin, en dehors de

Empire. Les sources sont difficiles à interpréter, les historiens ne sont pas tout le temps d’accord. CF papyrus de Rekmara. Les égyptologues ne sont pas d’accord sur la nature de ce papyrus, Droit ou pas ? Par contre, dans le temple de Karnak, Horemheb, le pharaon, se présente comme législateur, il fait allusion à l’enregistrement quotidien des lois qu’il édicte. Sorte de JO avant l’heure même si de ces lois on n’a pas trouvé  véritablement de traces. Pour les périodes plus récentes, les historiens