Houle

Que de haine elle distille ! Là, immobile, et les yeux ardents et fixes dans son appartement désert, comme les éclats de ses rugissements sourds, qui parfois s'échappent avec sa respiration du fond de sa poitrine, accompagnent bien le bruit de la houle qui monte, gronde, mugit et vient se briser, comme un désespoir éternel et impuissant, contre les rochers sur lesquels est bâti ce château sombre et orgueilleux ! Comme, à la lueur des éclairs que sa colère orageuse fait briller dans son esprit, elle

entraîne beaucoup de contraintes environnementales: il faut une surface suffisante pour pouvoir installer les machines tout en préservant l'espace pour les animaux ainsi que pour les bateaux. En outre, l'énergie houlomotrice issue des vagues et de la houle est en cours de développement. Elle vise à exploiter l'énergie créer par les vagues et le vent à la surface des mers. Lorsque celles-ci arrivent sur un obstacle flottant ou côtier elles cèdent une partie de cette énergie qui peut être transformée en

Ce passage est composé de multiples allusions au monde oriental telles que les bijoux orientaux « calcédoines », les instruments de musiques « crotales », « gringas », des détails de la danse orientale « balançait son ventre avec des ondulations de houle » ainsi que plusieurs comparaisons « comme la prêtresse des indes », « comme les Nubiennes des Cataractes », « comme les bacchantes de Lydie » . On retrouve également une succession de termes en ’s’ tels que « ses; sa; son » qui produisent le son du

chansons. Un sensuel et convaincant crochet à la basse de Devin Sola se désignera comme l'un des meilleurs moments de la chanson, mais aussi chaque refrains se montreront tels des vagues irrésistibles où nous, auditeurs, seront porté et secoué par la houle de riffs de guitare et les blasts à la batterie impressionnants dans un rythme juste épique. Toutefois Sinematic change de rythme en ralentissant soudain, et transporte l’auditeur avec un jeu électronique un peu abusé, mais donnant à cette chanson

« l'or sonnait dans les caisses » (synecdoque « or », métaphore lexicalisée « sonnait » (des espèces sonnantes et trébuchantes) - Des images évocatrices d'un mouvement de foule : les métaphores marines « de longs remous brisaient la cohue », « la houle désordonnée des têtes », la métonymie « les ombres noires » , les termes de généralisation (le « peuple de femmes », « la clientèle », « les mères », « les âmes inoccupées », « son petit monde ») ou les expressions génériques (« la femme »), métaphore

dichotomie des sentiments : pour appuyer cette hésitation Sénèque à recours au champs lexical de la navigation, de la mer, afin de rendre ce côté houleux de l’âme : « Rigant, aestus, venti saeua, fluctus maria, feruet pelagus » Médée compare la houle aux fluctuations de son cœur. Cela permet de donner une image de l’ivresse que rencontre Médée face à cette situation. De plus on constate qu’ une once d’amour maternel perdure lorsqu’elle les prend dans ses bras. Cet ultime sursaut d’amour pour

vent est nettement plus fort en mer qu’à terre. Il s’établit sur les vastes étendues libres d’obstacles - Énergie des vagues (houlomotrice) : Le vent soufflant sur de grandes surfaces marines crée des vagues et concentre ainsi l’énergie éolienne. La houle peut voyager sur de très longues distances et apporter sur une côte de l’énergie qui a été collectée fort loin. - Énergie des courants de marée: Les marées provoquent de puissants courants qui sont concentrés en certains endroits près des côtes.

forêt aromatique ! Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour ! Nage sur ton parfum. J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève, Se pâment longuement sous l'ardeur des climats ; Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève ! Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts : Un port retentissant où mon âme peut boire À grands flots le parfum, le son et la couleur ; Où les vaisseaux, glissant dans l'or

qu’accidentellement, et souvent pour son malheur (manifestation, grève) Dans la séquence du canard, la foule est incarnée, elle représente une masse compacte, pas hostile directement mais elle menace de le noyer, seul le plateau surnage sur cette houle, entraîné dans un ballet avant que le canard finisse échoué sur le lustre. La folie A la fin de l’épisode de la machine, Charlot est emmené à l’hôpital psychiatrique car son comportement est celui d’un dément mais bien sûr, tout le film tend à

provoquaient des maladies. Les soldats qui ne pouvaient se raser reçurent en France le surnom de «Poilus». Ceux-ci appelaient ceux de l’arrière : les « Epilés ». Un poilu a dit  » nous sommes les naufragés de cet océan de boue. Je nous vois emportés par une houle molle, où rien de tient droit et sur lequel dansent des croix de bois « . Les douches étaient sommaires et étaient parfois installées en 2ème ligne, avec de pseudos salons de coiffure. Cela devenait la  » corvée des douches « . Parfois ils n’avaient