Hubertine Auclert

phases de féminisme du 19ème siècle à nos jours. Le concept de féminisme apparaît donc au cours du 19ème, dans l’objectif premier de ridiculiser les hommes souhaitant accorder du pouvoir aux femmes. Le m� est alors appropriée par la journaliste Hubertine Auclert qui en fait le m� désignant le combat pour l’égalité femme/homme. La première phase commence alors lors de la Révolution française qui nourrit les espoirs de liberté de certaines, comme Olympe de Gouges, femme de lettre considérée comme une des

association internationale des femmes. 1870 : Création de l’association pour le droit des femmes par Maria Deraismes et Léon Richer. 1876 : Hubertine Auclert fonde le premier mouvement suffragiste Le droit des femmes.   1878 : Le Congrès International des Femmes revendique une aide des municipalités aux mères pauvres, pendant 18 mois. 1880 : Hubertine Auclert lance le journal La Citoyenne. 1882 : Création de la Ligue Française pour le droit des femmes par Léon Richer.   1888 : Première organisation

création de sa revue elle s’intéresse au droit de vote des femmes. Elle estime que l’accession des Françaises au suffrage permettrait d’empêcher une nouvelle guerre. Louise Weiss mènera un long combat pour l’Europe, les droits des femmes, la paix. Hubertine Auclert : La première suffragette française. Elle pensait que le droit de vote devait être le préalable nécessaire à toute évolution pour les femmes, afin d’obtenir des droist politiques et sociaux. Elle obtient un vif succès sur le terrain politique

femmes, d’autant plus que l’idée de parité des femmes et des hommes dans les assemblées réactives les mouvements associatifs féminins. L’idée de parité fut avancée pour la première fois par l’une des féministes française les plus audacieuses, Hubertine Auclert, celle-là même qui, en 1880, dans une lettre au préfet, avait refusé de payer ses impôt tant qu’elle ne voterait pas : « Je laisse aux hommes qui s’arrogent le pouvoir de répartir à leur gré (…) Je n’ai pas de droits, donc je n’ai pas de charge

explique que Léon Richer avait interdit que l'on parle du droit de vote des femmes à son congrès de 1878. Hubertine AuclertLa première suffragette française, Hubertine Auclert, pensait que le droit de vote devait être le préalable nécessaire à toute évolution pour les femmes. C'est en possédant le suffrage universel que les femmes pourraient accéder au progrès politique et social. Hubertine Auclert fit donc passer l'émancipation politique des femmes en priorité, avant l'émancipation civile. Elle obtient

Georges Sand, autre grande figure de la manifestation. En 1849, Jeanne Deroinmène campagne et tente de se présenter aux élections législatives. Elle réussit à rendre son combat public mais sa candidature n'est pas acceptée Hubertine Auclert fonde en 1879 le premier groupe suffragiste français : la société le Droit des femmes. Parmi ses revendications, on trouve celle d'une égalité politique entre les hommes et les femmes. 1891, Maria Martin créé le Journal des Femmes

puissent disposer librement de leur salaire. | 1909 | Création du congé maternité (8 semaines), mais il n'est pas rémunéré. Les salaires des instituteurs et des institutrices deviennent égaux : première application du principe énoncé par Hubertine Auclert : à travail égal, salaire égal. Grande manifestation à Paris pour le droit de vote des femmes. Création de l'Union française pour le suffrage des femmes. Rappel de la circulaire de 1892. Le port du pantalon n'est plus un délit si la femme tient

la question du droit de vote prend de plus en plus d’importance et le mouvement touche, au début du 20e siècle, l’Europe occidentale et l’Amérique du nord. En 1881, paraît à Paris le journal La Citoyenne, lancé et rédigé pour l’essentiel par Hubertine Auclert, pionnière du suffragisme en France, qui prend ses distances à l’égard des socialistes trop peu réceptifs selon elle à l’idée d’émancipation des femmes et mène un combat parfois solitaire, aux formes originales (la grève de l’impôt), et parfois

(UNVF) qui s’inspire des principes conservateurs et catholiques. Ces grandes fédérations refusent l’activisme des suffragettes britanniques (féministes souhaitant une évolution dans l'égalité homme femme) hormis quelques exceptions telles que Hubertine Auclert ou Caroline Kauffmann. Tous ces combats et ces mouvements sont soutenus par bon nombre de personnalités comme des écrivains de l’époque qui publient des ouvrages sur ce sujet tels André Tardieu, Joseph-Barthélemy, ou encore Raymond Poincaré…

dérision par la presse. 1868 Une vingtaine de femmes diffusent, avec l'appui du journal l'Opinion nationale, un manifeste réclamant le droit de vote. 1869 L'État du Wyoming, aux États-Unis, instaure le vote des femmes. 13 février 1881 Hubertine Auclert lance le journal La Citoyenne. 1891 Création du Journal des femmes, par Maria Martin. 1893 Création de La Fronde, journal quotidien, par Marguerite Durand. 1893-1902 Instauration du vote des femmes en Nouvelle-Zélande (1893) et en