Hugo Et Ponge

difficilement définissable de la poésie. On peut aussi se poser les questions suivantes :Y a-t-il des choses, des sujets plus poétiques que d’autres ? Y a-t-il des mots plus poétiques que d’autres .Pour y répondre on pourrait citer Victor Hugo qui nie toute thématique particulière à la poésie:« Tout a droit de cité en poésie » ;le même poète revendiquait aussi une rénovation du langage poétique, l’usage en poésie du vocabulaire courant, voire familier :dans un poème extrait de son recueil

matière spécifique, celle des mots, du langage : l’étymologie grecque met d’ailleurs en valeur cet aspect de fabrication et le poète apparaît alors comme l’homme du poiein, du faire. C’est résolument à cette deuxième conception que se rattache Francis Ponge lorsqu’il définit dans une note de 1954 : « à partir du moment …. Ces jeux ? ». La formule, on le voit, est ouvertement démystificatrice. Loin du rêveur sacré hugolien ou même du voleur de feu rimbaldien, le poète se présente humblement comme un joueur

adopte un plan dialectique.   I. Le poète s'engage A. La poésie : une arme ex : liberté, Paul Eluard B. Utilisation de genres variés (la fable par exemple,) ou de registres très divers (pathétique, satirique, polémique dans les Châtiments de V. Hugo).   II. Mais il reste un artiste avant tout A. L'écriture poétique, une écriture particulière. C'est ce qui donne la force à l'engagement. Durant le Seconde Guerre Mondiale, on assiste à un retour à une tradition esthétique que le symbolisme et

nouvelle lumière, et cela tout simplement parce qu’elle en parle autrement. Elle nous dévoile donc ces objets, même ceux qui peuvent paraître laids. Rôle du langage poétique, des métaphores… Exemple : « Le Pain » Le Parti pris des choses de Francis Ponge « La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes » c. Fonction expressive : exprimer ses

quelque chose que je ne comprends pas, voyez-vous, je me demande comment la poésie peut-elle traiter des sujets du quotidien. Quand on évoque la poésie, je pense uniquement au lyrisme, et aux Fleurs du Mal, de Baudelaire, ou aux Contemplations, de Victor Hugo. Les plus connus. D'ailleurs, au lycée, j'affectionnais particulièrement le poème de Baudelaire « Le serpent qui danse » , pour son titre original, et dans lequel il fait une véritable déclaration d'amour à la femme aimée. J'avais également un professeur

(la syllepse par exemple). «torche, flamboyer, éclairé, rayonne, flamme, resplendir, clarté, lumière, étoile » = champ lexical de la lumière dans « Fonction du poète » de Hugo. À distinguer, parmi ces mots, ceux qui évoquent la sagesse ou la connaissance, ceux qui suggèrent le guide, etc. ✓ Dans « Les Mûres », Ponge utilise les sens concret et abstrait de l’adjectif mûr, qu’il associe au fruit tout comme au poème (qui est « fait »), et le sens figuré du verbe mûrir (mener à point en y appliquant

d’Apollianire ▪ Fin de la versification : poème en prose avec Aloyius Bertrand ▪ Victor Hugo : « J'ai disloqué ce grand // niais d'alexandrin. » • Celle rébellion peut être thématique : Modernité de chaque période historique : nouveauté du thème : Napoéleon III : Victor Hugo dans Chanson ▪ Nouvelle découverte : le train : Cendrars : La prose du Transibérien ▪ Découverte

ÉTRANGERS Pondichéry SÉRIES TECHNOLOGIQUES   Objet d'étude : La poésie. Texte A : Victor Hugo, L'araignée et l'ortie, Les Contemplations, Livre III (1856). Texte B : José Maria de Heredia, Midi, « La Nature et le Rêve », Les Trophées, 1893. Texte C : Francis Ponge, Ode inachevée à la boue (extrait), Pièces,1962. Texte D: Philippe Jaccottet, Fruits, Airs, 1961-1964.  Texte A -  Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII

choix délibéré d’objets prosaïques comme sources de création : La Ballade 13FRTEME1C 6/8des Pendus de Villon ; « L’araignée et l’ortie » Victor Hugo, « Le pain » ou l’« Ode inachevée à la boue » de Francis Ponge, « Une charogne » Baudelaire, « Le pou » Lautréamont. Mais aussi des réalités sociales qui nous étreignent : « Melancholia » (Hugo), « Le joujou du pauvre » (Baudelaire), la figure du vitrier ou du vieux saltimbanque. Buts : défier une tradition poétique, s’attacher

L'homme qui rit Victor hugo : Chef de file du romantisme . A l’inverse de la raison, le Romantisme est un retour au « moi » , aux passions, à la nature et à l’irrationnel. C'est un portrait de gwynplaine . Texte parut en 1869 . I - Un portrait compliqué : a) Un portrait double : -CL de la laideur/monstruausité -Horriblement défiguré mais rapprochement a l'art b) Une vie malgré lui : -Saltimbanque -> Il divertit les autres mais ce divertissment est une conséquence .c) Un homme torturé