Hugo Les Orientales La Douleur Du Pacha

bataille navale de Navarin. Lors de la lecture de ce recueil de poèmes j’ai remarqué que dans un grand nombre d’eux la guerre et plus particulièrement cette bataille est évoquée. De plus je pense que ce tableau montre une partie de l’Orient de Victor Hugo avec les Turcs aux portes de l’Europe, en Grèce. Ambroise Louis Garneray ; La Bataille de Navarin (1827) Ce dossier sera divisé en trois parties dans lesquelles différentes questions seront traitées. Ces parties sont : Les thèmes ; La langue ;

Un recueil de poèmes romantiques : Les Orientales (1829) de Victor Hugo Séquence élaborée par M. Sylvain Leroy, professeur agrégé de lettres classiques, pour ses élèves de seconde du lycée Victor Hugo à Marseille. Projet proposé dans le cadre des TraAM 2012-2013 pour son exploitation des outils numériques (image et son) dans l'étude des rapports entre Hugo et Delacroix / Berlioz (voir plus précisément les séances 4, 7 et 10). Deux diaporamas accompagnent ce document : ils sont téléchargeables

V.HUGO 10) Que diras-tu ce soir … C.BAUDELAIRE PREFACE Cette anthologie est constituée de dix poèmes d’auteurs français contemporains au XIXème et XXème siècles dont Louis Aragon, Charles Baudelaire, Alfred de Musset et Victor Hugo. Ces poèmes sont accompagnés de deux tableaux de peintres italiens de la fin du XVème et du début du XVIème siècle, Raffaelo Sanzio et Léonard de Vinci. Ces poèmes ont tous pour thème principal la femme et plus particulièrement sa beauté.

d’artistes qui recopiaient des costumes. (Biblio : Histoire du romantisme par Théophile Gautier : portrait de Delacroix) *Caricature de Gautier au moment de la bataille d’Hernani (bataille du théâtre romantique avec la pièce d’Hernani de Victor Hugo et qui promeut des valeurs nouvelles au théâtre : la couleur locale, la multiplicité des actions qui tranche sur les valeurs classiques du théâtre du 17eme s, sur l’unité de lieu et d’actions recommandé par celui-ci. Donc véritable révolution. Bataille

faramineux pour transmettre les lettres du Pacha. Il s'habille de gloire et d'honneurs, gonfle d'orgueil de jouer un rôle conséquent dans une vie de noblesse. Mais un jour, lors d'une course dont les lettres étaient sujettes à l'infidélité du grand pacha, l'on abattit le pauvre pigeon pour en savoir plus sur l'objet de cette trahison. Et dans cette descente du silence, le pigeon regretta son ambition, et la tranquillité de son colombier. «Il expire plein de douleur, condamnant sa vaine ambition et regrettant

LES ORIENTALES par VICTOR HUGO I PRÉFACE DE L’ÉDITION ORIGINALE L'auteur de ce recueil n'est pas de ceux qui reconnaissent à la critique le droit de questionner le poëte sur sa fantaisie, et de lui demander pourquoi il a choisi tel sujet, broyé telle couleur, cueilli à tel arbre, puisé à telle source. L'ouvrage est-il bon ou est-il mauvais ? Voilà tout le domaine de la critique. Du reste, ni louanges ni reproches pour les couleurs employées, mais seulement pour la façon dont elles sont

affaiblissement politique et économique. Sous la pression des grandes puissances, il effectue des réformes en faveur des minorités chrétiennes, ce qui est vécu par les musulmans comme une humiliation. Cependant, Les Perses gouvernèrent l'Arménie orientale jusqu'en 1828, puis elle fut annexée par la Russie. De plus, pour éviter les massacres, les arméniens de Zeïton ont été obligés de prendre les armes de 1859 à 1878, s’ensuit la guerre russo-turque de 1876 à 1878, puis le traité de San Stephano en

Victor Hugo (1802-1885), Les Orientales, 1829.. I : Le Feu du ciel II : Canaris III : Les Têtes du sérail IV : Enthousiasme V : Navarin VI : Cri de guerre du mufti VII : La Douleur du pacha VIII : Chanson de pirates IX : La Captive X : Clair de lune XI : Le Voile XII : La Sultane favorite XIII : Le Derviche XIV : Le Château-fort XV : Marche turque XVI : La Bataille perdue XVII : Le Ravin XVIII : L’Enfant XIX : Sara la baigneuse

Victor HUGO (France) (1802-1885) Né à Besançon, le 26 février 1802, il fut élevé à Paris, loin de son père, Léopold-Sigisbert qui, issu d'une lignée de cultivateurs et d'artisans lorrains, était officier dans l’armée napoléonienne où il allait s'élever par degrés au grade de général. La gloire militaire, avec ses accents d'épopée sous l'Empire, marqua son enfance. Sa mère, d'origine vendéenne et d'esprit voltairien, unissait à un déisme émancipé des convictions royalistes. La « blonde enfance»

fillette sauvage, ne sachant rien, l'air malingre et opprimé, peureuse et ombrageuse, maigre et pitoyablement vêtue de ses mauvaises petites robes de campagne. Étourdie, comme assommée sous ce supplice de toutes les heures, elle devint leur souffre-douleur. Ils se jouaient de ses ignorances, ils la trompaient et l'abusaient par des farces, ils l'accablaient sous la fatigue, ils l'hébétaient de risées continues et impitoyables qui poussaient presque à l'imbécillité cette intelligence ahurie. Puis encore